Chapou 20 Novembre 1954

première chargeant l'autre d'une mission d'intérêt général; et la création par la loi ou par un acte administratif d'une personne privée chargée d'une mission d'intérêt général. Cette dernière possibilité a été admise par le CE dans deux arrêts, CE, 20 décembre 1935, Société Établissements Vézia, et CE, ass., 13 mai 1938, Caisse primaire Aide et protection. Les cas son nombreux : organismes mutualistes (caisses de sécurité sociale (sauf les caisses nationales), associations, fédérations sportives

par accident (hôpital) ou un certain nombre d’heures par jour (école). Il existe aussi certaines administrations où les agents sont en quelque sorte contraints à vivre en case clos, selon une discipline plus forte qu’ailleurs (armée). ECOLE (CE) CHAPOU 20.10.1954 L’objet du recours était le règlement intérieur du lycée qui interdisait aux élèves de porter un pantalon de Ski sauf en cas de neige. Le recours était formé pour excès de pouvoir. PRINCIPE = Le règlement intérieur n’est qu’une mesure

Dossier 11. La police Chapitre 1. Police administrative et police judiciaire Section 1. Distinction 1. Textes a) Police judiciaire D11-1. Code de procédure pénale, art 12, 13, 14, 15, 16, 20, et 21. Art. 12. La police judiciaire est excercée, sous la direction du procureur de la République, par les officiers, fonctionnaires et agents désignés au présent titre. Art. 13. Elle est placée, dans chaque ressort de cour d'appel, sous la surveillance du procureur général et sous contrôle

attaqué. 13 II) Les conditions tenant au requérant. 14 III) Les conditions tenant à la requête. 14 I) La légalité externe. 16 II) La légalité interne. 16 Chapitre 2 : Les procédures d'urgences. 18 Chapitre 1 : Les actes administratifs. 20 Chapitre 2: Les contrats. 36 Chapitre 1: Le service public. 43 Chapitre 2: La police administrative. 53 Droit administratif. Cours du 22 & 23/01/10 GAJA: Grands arrêts de la jurisprudence administrative. La logique voudrait que ce droit

............................... 18 a - Les critères du caractère décisoire d’un acte .......................................................... 19 b - Les décisions exécutoires et les décisions non exécutoires .................................... 20 c - Les décisions explicites et les décisions implicites ................................................ 21 i - Définitions ......................................................................................................... 21 ii - L’intérêt

regrouper par classe, groupe ou catégories. 3) Explication : rechercher dans l’histoire économique, politique… les raisons de tel phénomène. 4) Conclusion : les conséquences des phénomènes décrits et leurs devenirs. Au choix : N°1 P. 18 ou N°1 P. 20 II. Les causes de la croissance, une approche systémique Quelques caractéristiques essentielles de cette croissance peuvent être mises en évidence : 1. une approche plus systémique Elle ne peut plus être expliquée seulement par une succession de

distinction 16 B - Les actes décisoires et les actes non décisoires 18 1 - Les actes décisoires 18 a - Les critères du caractère décisoire d’un acte 19 b - Les décisions exécutoires et les décisions non exécutoires 20 c - Les décisions explicites et les décisions implicites 21 i - Définitions 21 ii - L’intérêt des décisions implicites 24 2 - Les actes non décisoires 26 a - Les circulaires 28 i - Les

pouvoir hiérarchique. Certes il engage sa responsabilité vis à vis de son supérieur mais sa décision n’est pas illégale. En pratiques les fonctionnaires sont plus soucieux de suivre les ordres donnés. Tendance à couvrir sa responsabilité. ۩ CE novembre 1944, Langneur selon la décision du CE ,le fait que des ordres illégaux donnés par un supérieur ne permet pas aux fonctionnaires de se dégager de leur responsabilité propre. Le Conseil d'Etat cherche un équilibre entre l‘obligation de suivre les

et la théorie de la séparation des pouvoirs. L’action d’administrer va être rattachée à l’un des trois pouvoirs désignés par Montesquieu : le pouvoir exécutif. Cette notion d’administration prévaut encore de nos jours. On peut le voir dans l’article 20 de la Constitution : « le gouvernement détermine et conduit la politique de la nation, il dispose de l’administration. » Ce pouvoir d’administrer est subordonné à la fonction gouvernementale. Le gouvernement va disposer d’un pouvoir d’impulsion ou

distinguer entre les prérogatives de puissance publique et ce qui peut ressembler mais n’est pas prérogative de puissance publique. Càd qu’une personne privée peut disposer de prérogative importante en vertu de son statut de droit privée => arrêt du 20 juin 1946 MORAND et du 21 mai 1976 GIE BROUSSE CARDELL. Inversement ce n’est pas parce que l’acte est pris par une autorité administrative qu’il est obligatoirement un acte administratif. Il faut penser de l’hypothèse ou il s’agirait d’un acte de gouvernement