Charites

d'un amour de convoitise. La jalousie, alors, dans la mesure où aucun remède efficace ne lui est appliqué, est en réalité ennemie de l'amitié à la façon d'une force aveugle qui la détruit. Elle s'oppose donc à cette amitié surnaturelle qu'est la charité. La personne jalouse, incapable d'aimer vraiment, est toujours inquiète, anxieuse, au sujet de l'objet de son attachement ; son esprit est vite envahi de soupçons, qui la portent à de fréquents jugements téméraires et à des accusations injustes d'infidélité

relever aussi la critique religieuse qui est présente dans ce conte. Les religions principales sont le Judaïsme, le catholicisme et la religion musulmane. « Il s’adressa ensuite à un homme qui venait de parler tout seul une heure de suite sur la charité dans une grande assemblée. Cet orateur, le regardant de travers, lui dit : « Que venez-vous faire ici ? Y êtes-vous pour bonne cause ? –Il n’y a point d’effet sans cause, répondit modestement Candide, tout est enchaîné nécessairement et arrangé pour

« enfermier » en 1398, lui même dérivé du mot « enfermerie » en 1298. l’appellation est devenue courante vers le XVIe siècle (16). Cependant, on se rend compte que l’acte de charité ne suffit plus, le soin requiert des compétences et des formes d’organisation. En 1633, Saint Vincent de Paul, crée la compagnie des filles de charité et fait des recommandations qui font références aux besoins de la personne. Il incitait les sœurs à avoir une fonction de conseil et d’éducation : première forme de formation

intelligent, rusé et lucide face à l'attitude égocentrique et superficielle du chêne Il semble en confiance. Nous remarquerons une diérèse appuyée sur le mot « compassion »,(vers 18), qui montre bien la réponse du roseau au chêne sur sa charité. Le roseau rejette la charité du chêne, et montre ainsi qu’il n’est pas dupe sur le jeu du chêne qui essaie de se mettre en valeur. Nous noterons le rythme croissant, 2 syllabes, puis 4 et enfin 6 au vers 21. On le voit vers la fin mettre le chêne au défi, «mais

de l’hygiénisme. Invention de méthodes éducatives de plus en plus restrictives. (Internat, couvent) Pauvreté = fruit du péché. St Vincent de Paul va donner un vrai sens missionnaire dans le traitement de la pauvreté (fondation des filles de la charité=ancêtre de l’éducation spécialisée).Les religieuses rendaient visite aux pauvres et aux prisonniers (évangélisation). J.J Rousseau, « La pauvreté n’est plus considérée comme un vice mais comme un défaut d’assistance »=le contrat social. Evolution

Nous pourrons alors parler de la faiblesse du roseau, mais faiblesse uniquement apparente, car sa force vient de la souplesse. -Diérèse appuyée sur le mot « compassion », vers 18, qui montre bien la réponse du roseau au chêne sur sa charité. Le roseau rejette la charité du chêne. -Vers 21, un rythme croissant de la forme 2/4/6 : cela confère au roseau une prise de confiance progressive, afin d’essayer d’égaler, les propos du chêne. -La dernière parole du roseau « Mais attendons la fin » sonne comme

va "chaque jour à l'église" fait des actes de charité se cache en fait un homme qui utilise la dévotion pour ses propres intérêts. La vraie foi décrite par Cléante est bien différente de celle que pratique l'imposteur. Ce qui nous amène à faire un lien avec la religion. Le champ lexical emprunte de nombreux termes à la religion : Dieu y est constamment invoqué, on parle de péché, d'enfer, de tentation, de dévotion, de repentir, de pardon, de charité, de conscience et de bénédiction. L’amour et le

l’argent que nous renvoie le terme valeur automatiquement. Le commerce est bel et bien ancré dans nos coutumes. L’homme a besoin de ce commerce pour vivre, c’est la seule solution pour lui de subvenir à ses besoins car la notion de « don » ou de « charité » n’existe presque plus à notre siècle. C’est bien connu que l’argent fait vivre les hommes. L’argent permet de mesurer une quantité infinie de chose. Pour que tous soit acheté ou vendu, il faut que tous ai un prix. L’argent mesure beaucoup de chose

mais faiblesse uniquement apparente, car sa force vient de la souplesse, ce qui lui confère de l’habileté. Nous remarquerons une diérèse appuyée sur le mot « compassion », vers 18, qui montre bien la réponse du roseau au chêne sur sa charité. Le roseau rejette la charité du chêne, et montre ainsi qu’il n’est pas dupe sur le jeu du chêne qui essaie de se mettre en valeur. Le roseau montre également ainsi qu’il est sûr de sa propre force. Nous remarquerons de plus, vers 21, un rythme croissant de la

Ce livre est donc un roman universelle (il s'agit d'une pensée collective) et moderne (Il montre la solidarité avec toutes ses formes de souffrances). Baudelaire a même dit : « Ce livre est un livre de charité, c'est-à-dire un livre fait pour exciter, pour provoquer l'esprit de charité ». E) A partir de la quête du héros, de ce qui fait le moteur du roman, dégageons la pensé du livre. L'idéal planté dès le départ, la quête du héros sera de passer du « pêché à la sainteté » ; le