Charlotte Corday

Biographie : Charlotte CORDAY Marie-Anne-Charlotte de Corday d’Armont, retenue par l'Histoire sous le nom de Charlotte Corday (elle-même toutefois se faisait désigner et signait sa correspondance de son premier prénom Marie), née le 27 juillet 1768 à Saint-Saturnin-des-Ligneries[] près de Vimoutiers dans le pays d'Auge, guillotinée le 17 juillet 1793 à Paris, est par son assassinat de Jean-Paul Marat (Montagnard

Révolution a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de septembre (Les massacres de Septembre sont une suite d’exécutions sommaires qui se sont déroulées du 2 au 6 ou au 7 septembre 1792 à Paris[1]) Son assassinat par Charlotte Corday permit aux Hébertistes d'en faire un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon. Débuts révolutionnaires [modifier] [pic] [pic] Marat par Viollat. [pic] Marat par Claessens. Le 25 juillet 1789

Charlotte Corday Identité : Nom de naissance : Marie-Anne-Charlotte de Corday d’Armont. Date de naissance : 27 juillet 1768. Lieu de naissance : Saint-Saturnin-des-Ligneries. Père : Jacques-François de Corday d’Armont. Mère : Charlotte-Marie-Jacqueline de Gautier des Authieux de Mesnival. Mari : Elle n’a pas eu de mari. Enfants : Elle n’a pas eu d’enfants. Portrait de Charlotte Corday Milieu social : Profession du père : ancien lieutenant aux armées du roi. Profession de la

des journaux, discutent des problèmes politiques et s'occupent des tâches philanthropiques. Club patriotique de femmes, vers 1793. Certaines femmes, activent dans la Révolution également, agissent seules, comme par exemple Madame Roland, Charlotte Corday, Olympe de Gouges, Marie Antoinette etc. Madame Roland : Manon Roland, née le 17 mars 1754 sous le nom de Jeanne Marie Philipon et mort le 8 novembre 1793, plus connu sous le nom de Madame Roland, tenait un salon fréquenté par les révolutionnaires

Convention qui ne sont jamais discutées. Marie-Anne Charlotte de Corday , prend connaissance des événements révolutionnaires. Considérant Marat comme un tyran et le principal instigateur des massacres révolutionnaires, elle décide de l'éliminer. 2) Lettre de Charlotte Corday : « Du 13 Juillet, 1793 Marie Anne Charlotte Corday au citoyen Marat, Il sufis que je sois bien malheureuse pour avoir droit à votre bienveillance. » 3) Dès août 1790, Charlotte David, en désaccord avec les opinions de son mari

sont dès à présent les Montagnards qui tiendront la convention. A la suite de cette élimination certains Girondins s’exile à travers la France, quand l’un d’entre eux, exilé à Caen, croise la route de Charlotte Corday qui elle-même est affiliée à la famille de Corneille lié à ces derniers. Charlotte Corday est indignée par les évènements se passant à la capitale et décide d’éliminer les investigateurs de ces massacres, qui selon elle, sont menés par Jean Paul Marat. Elle décide donc en Juillet 1793 de

Montagnards et faisaient partie des Jacobins. En 1793, les Montagnards dominent la Convention et les Girondins chutent4. Charlotte Corday, une jeune citoyenne, défendait les Girondins et les royalistes qui étaient contre les Jacobins. Pour elle, le seul responsable de la violence révolutionnaire était causé par Marat et pour cesser les massacres5, elle devait l’éliminer. Corday est allée chez Marat, lui étant dans son bain pour soulager sa maladie de peau et l’assassine avec un couteau. David peint

LUI A ETE COMMANDEE B- BIOGRAPHIE DE MARAT – SON ASSASSINAT C- ETUDE APPROFONDIE DE L’ŒUVRE CONCLUSION : Ce que l’histoire a retenu de cet assassinat Mes impressions personnelles sur l’œuvre Autoportrait de David Charlotte de Corday 1794-Musée du Louvre A-PRESENTATION DE L’AUTEUR ET CIRCONSTANCES DANS LESQUELLES L’ŒUVRE LUI A ETE COMMANDEE Jacques Louis David est un peintre et conventionnel français né le 30/08/1748 à Paris et mort le 29 décembre 1825 à Bruxelles-

responsable des massacres de Septembre, ce qui a noirci son image, même si les historiens sont revenus assez largement sur son rôle. Son assassinat par Charlotte Corday permit aux Hébertistes d'en faire un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon. L’assassinat de Marat Portrait de Charlotte Corday (Jean Jacques Hauer, xviiie siècle) Depuis le 3 juin 1793, Marat ne se présente plus à la Convention. L’évolution de sa maladie l’empêche de paraître en

dernier soupir assassiné chez lui |franchissant une barricade, guidée par une femme |divisée en trois parties : au centre, l’artiste, avec derrière | | |inscription sur un tombeau |le 13 juillet 1793 par Charlotte Corday dans sa |du peuple qui est coiffée d'un bonnet phrygien et|lui, un modèle nu. À sa droite, les élus, les bons ; à sa | | | |baignoire tenant une lettre de sa meurtrière dans|qui