Charognard

Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux charognards. Seule Antigone refuse cette situation. Malgré l'interdiction de son oncle, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère et tente de le recouvrir avec de la terre. Ismène, sa sœur, ne veut pas l'accompagner car elle a peur de Créon et

mutisme obstiné: L.15 p.124 : un silence entêté. Tarauder (verbe fam.): L.6 p.126 : tourmenter. Mouchard (nom masc.) : L.13 p.127 : personne qui dénonce ; syn : dénonciateur, accusateur. Prostré,e (adj) : L.3 p.128 : immobile, catastrophé(e). Des charognards : L.11 p.128 : des vautours. EPILOGUE (conclusion de l’histoire) Les rudiments : L.16 p.129 : premières notions ; syn : les principes.

Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux charognards. Seule Antigone refuse cette situation. Malgré l'interdiction de son oncle, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère et tente de le recouvrir avec de la terre. Ismène, sa sœur, informée de sa décision, refuse de la suivre, craignant

tournoyant silencieusement en découpant des spirales inquiétantes dans un ciel sans nuages, de leurs grandes ailes si inquiétantes. Le soleil me paraissait immobile, brûlant, et implacable tel un énorme projecteur de cinéma. Des lugubres marabouts, charognards en costume de croque-mort, m'invitèrent chaleureusement à finir de dépecer un pathétique âne mort et allaient m'ouvrir les portes d'une désolation morbide, bientôt portée à son apogée. D'autres habitants, paisibles autochtones, d'une telle dignité

familles d’homininés. Premièrement, il y a l’homo habilis qui lui, a vécu il a environ 2,5 millions a 1,5 millions d’années. Ce qui peut nous paraître étrange, c’est que cette espèce du genre homo ne chassait pas, car elle était principalement charognard! La deuxième espèce est l’homo erectus qui signifie ‘’homme dressé’’ en latin (wikipédia*) qui a vécu il y a 2 millions d’années. Comme son nom l’indique, cette espèce est la première à pratiquer la bipédie. Également, nous lui devons la découverte

Première strophe : « le vol noir » fait référence aux stukas (avion de guerre allemand) et « noir » à l’uniforme SS. « Les corbeaux » sont les soldats allemands qui pillent le pays et vivent sur le dos des Français, ils sont donc décrits comme des charognards. 
« Les cris sourds » soulignent la répression sur les opposants et résistants (« le parti communiste » en est l’une des premières victimes, il devient d’ailleurs le parti des fusillés). 
« Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser

par « le vol noir des corbeaux sur nos plaines ». Il s'agit d'une image, d'une métaphore : - allusion aux avions de guerre allemands (« le vol »). - allusion aux uniformes noirs des S.S. (« noir »). - les corbeaux sont des prédateurs et des charognards (ils pillent, volent et se repaissent du sang versé et de la souffrance du peuple). L'ennemi se manifeste par une privation (des gens) de liberté : « les cris sourds du pays qu'on enchaîne » et « c'est nous qui brisons les barreaux des prisons

Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux charognards. Seule Antigone refuse cette situation. Malgré l'interdiction de son oncle, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère et tente de le recouvrir avec de la terre.Ismène, sa sœur, ne veut pas l'accompagner car elle a peur de Créon et

Direction l’Intermarché, hier soir Ils l’ont pillé, rien à signaler Tout est calme, y’a rien qui crame ». Et dans sa chanson  Les Charognards, il y dénonce l’excès de la curiosité humaine qui finit par la rendre malsaine : « Je vois la France entière Du fond de mes ténèbres, Les charognards sont là La mort ne vient pas seule, J’ai la connerie humaine Comme oraison funèbre, Le regard des curieux Comme unique linceul »

(c'est-à-dire autant dénudée de fleurs que profanée) qui fut –cela nous est suggéré au vers 14- le théâtre d’affrontements inconnus. Inconnus, car ce n’est pas explicitement que Rimbaud nous indique quelle bataille fit rage sur ce champ envahi de charognards. Ces « morts d’avant-hier » peuvent aussi bien être les soldats –Français ou Prussiens, « écarlates ou verts »- ayant succombé lors de la guerre de 70 que –encore faut-il admettre que le paysage décrit soit universel, plus lieu commun que lieu particulier-