Chasse aux phoques

Madagascar et Hawaï résultent d'une soudaine introduction d'humains dans des environnements remplis d'animaux qui n'en avaient jamais vus auparavant et étaient ainsi complètement inadaptés à leurs techniques de prédation. La surexploitation par la chasse peut mener à la disparition totale d'une espèce : ce fut le cas du dodo ou des grands mammifères disparus au cours des derniers millénaires. De nos jours, la croissance des échanges internationaux augmente le risque de propagation d'espèces invasives

mers du Globe (même l’Arctique) Taille du groupe: 5-100 individus Poids adulte: 5 à 9 tonnes Régime alimentaire: L’Orque est carnivore et mange surtout des poissons et des mammifères marins, comme les marsouins, les baleines, les otaries, les phoques, les lions de mer, les requins Taille adulte: De 5 m à 10m de long Longévité: Peut vivre jusqu’à 50 ans PLAN 1. DESCRIPTION 2. HABITAT 3. COMPORTEMENT 4. REGIME ALIMENTAIRE 5. REPRODUCTION 6. LES MENACES L’orque :

2)Les premiers habitants de la région : les Inuvialuit Figure [ 3 ] : Chasseur inuvialuit dans un kayak en peau de phoque - vers 1909 Les Inuavialuit sont les descendants des Thulé, qui vivaient sur cette terre , il y de cela quelque 1000 ans. Les Thulé vivaient de la chasse et de la pêche, « un mode de vie auquel leurs descendants actuels, les Inuvialuit, ont très peu dérogé au cours des siècles, d'où l'importance qu'occupent les ressources

l'ours polaire. Les conséquences pourraient également être significatives pour les phoques, les caribous, les troupeaux de rennes et pour des peuples comme les Esquimaux, dont l'alimentation est basée sur ces animaux. Certaines espèces menacées d'oiseaux migrateurs devraient également perdre plus de la moitié de leur zone de reproduction.L'ours blanc se nourrit en effet essentiellement de petits phoques lovés dans des cavités de la banquise qu'il brise en bondissant dessus. Les changements

Autrefois, les Naskapis étaient un peuple nomade qui tirait sa subsistance presque entièrement de la chasse au caribou et à d’autres animaux à fourrure, ainsi que de la pêche blanche. Pratiquant une chasse collective, ils suivaient les migrations des grands troupeaux de caribous sur les vastes territoires du Grand-Nord. Ils ont vécu au sud de la baie d’Ungava jusqu’au 19e siècle, avant de se déplacer vers Schefferville où un nouveau poste de traite avait été établi. Inauguré en 1984 à la suite

pourchassé pour sa fourrure mais aussi car il est considéré comme très dangereux par les agriculteurs qui vivent dans son milieu. Il n’en resterait qu’entre 3000 et 4500. -L'aigle royal : à cause de l'urbanisation, cette rapace voit son terrain de chasse diminuer à vue d'œil. Ainsi, sa population diminue, il n'en reste par conséquent plus que 400 couples en France -Le chat viverrin, aussi appelé «chat pêcheur», vit à Java, en Inde ou encore à Sumatra. Cependant, cet adorable félin est traqué pour

caribou sert d'étoffe et le nerf de l'animal de fil idéal pour la confection des habits. Ainsi encore, la meilleure semelle des bottes imperméables est confectionnée en peau de gros phoque tente). Les Eskimo ont su ingénieusement tirer parti de tous les éléments de la faune arctique (notamment les mammifères, phoque, morse, baleine, ours polaire, caribou, ou bœuf musqué), en utilisant chair, sang, graisse, os, fourrure ou cuir, pour se nourrir, se vêtir, construire leur tente, leurs embarcations

sous-marines est également touché à cause de la chaîne alimentaire. Par exemple, l’orque est une espèce relativement peu pêchée par l’Homme, néanmoins ce prédateur se nourrit entre autres de phoques, qui sont eux chassés pour leur fourrure. Indirectement, l’orque est donc menacé à cause de la disparition des phoques provoquée par l’Homme. Autre exemple, le cabillaud est l’espèce la plus menacée par la pêche en Europe : en 6 ans, on en a pêché 46% de moins. Les conséquences de la surpêche concernent

| |Comportement : |Sédentaire ou migrant | |Régime : |Carnivore - poissons, autres cétacés, oiseaux, phoques… | |Longueur : |7 à 9 mètres | |Poids : |4 à 9 tonnes

chasseuse. Son alimentation est essentiellement constituée de poissons, de manchots et d’autres mammifères marins (lions de mer, otaries, phoques, marsouins, baleines). Les proportions de ces proies dans le régime alimentaire ainsi que les techniques de chasse employées varient en fonction des populations. Les orques chassent les mammifères marins tels que les phoques et lions de mer en rôdant très près des plages, et en utilisant la technique d’échouage sur le rivage. Bien que réputée opportuniste