Chasse-galerie

Buret Estelle Term STAV AVE 06/04/2015 Le parc amazonien de Guyane http://www.franceinter.fr/galerie-photos/452615/diaporama Sommaire Introduction I – Le milieu naturel a) Les caractéristiques b) Intérêts du parc II – Les menaces III – Les actions de prévention Conclusion Sitographie Introduction Le parc amazonien de Guyanne est le plus grand parc national de France et de l’Union européenne. Il existe depuis le 27 Février 2007 et couvre une superficie de 3,4 millions

cro-magnon (=sapiens) La civilisation paléolithique 1ère période : paléolithique inférieur (Date : 30 000ans av J-C) Apparition de l’outil marque cette première période du paléolithique (galet aménagé). L’Homme préhistorique vit de la cueillette, de la chasse, dans des abris aménagés, c’est un nomade, il se protège dans les grottes (à l’entrée, mais ne s’aventure jamais dans la grotte car le feu n’existe pas encore). 2ème période : paléolithique moyen (Date : 200 000 à 35 000ans av J-C) C’est l’époque

époque, régnait encore le roi Charles 5 et 3 font 8 et 8 font 16 de Tachycardie (portrait du Roi). Ce n'était pas un bon roi. Il détestait tout le monde, et tout le monde, dans le royaume, le détestait aussi. La solitude - et la chasse - étaient ses passe-temps favoris (galerie de sculptures représentant le Roi dans diverses activités). Enfin, pour tout vous dire, nous n'étions pas amis. [pic] (Sculpture du Roi étranglant l'Oiseau ; carte de tir avec un dessin de l'Oiseau au centre ; le Roi s'exerce

la fois guerrière et courtoise. Jusqu’à 7ans, le futur chevalier est confié aux femmes de la maison. Il joue aux de l’enfance et surtout s’initie à l’équitation. De 7 à 10ans, il apprend des rudiments d’escrime et de chasse, la lutte au bâton, la lutte au pied et les joutes. La chasse comprend la vénerie et la fauconnerie. Après 10ans, le jeune adolescent, damoiseau (fils du seigneur qui devient chevalier) ou varlet (au service du seigneur), font leur apprentissage d’écuyer dans deux domaines :

occupait la moitié de l'établissement et était identique à la partie où j'avais fait mes études pendant quatre années. Même cour carrée, plantée de quelques arbres, dont faisait le tour une haute galerie couverte, élargie à un endroit pour former préau : même disposition des classes tout du long de cette galerie ; et sur les murs, entre les fenêtres, semblables moulages de bas-reliefs antiques. Néanmoins, comme c'était la première fois, le matin de cette rentrée d'octobre, que je pénétrais dans cette

s’interroger sur les mobiles ayant poussé les hommes du Paléolithique à s’aventurer sous terre dans des galeries difficiles d’accès, pour y graver ou y peindre, parfois à plusieurs centaines de mètres de l’entrée, des motifs figuratifs et abstraits, avec autant de soin et de préparation. Dès 1903, S. Reinach propose de voir dans les animaux représentés dans les cavernes l’expression d’une magie de la chasse : en accord avec la vision calamiteuse que l’on se fait alors de l’homme préhistorique, il apparaît

d’objet. * Présence de signes abstraits dont la signification reste inconnue. * D’après leur position dans des endroits difficiles d’accès, devaient être réservées à quelques initiés, probablement lors de cultes exceptionnels en rapport avec la chasse ou la fin de l’adolescence. Peut-être s’y déroulait-il également des cultes, par exemple celui de l’ours des cavernes : intérieur de la grotte Chauvet Composition et perspective des peintures rupestres * Souvent réalisées dans des endroits

1759 :Maître de harpe des filles de Louis XV. 1760 (?) :Rencontre le financier Pâris-Duverney, qui le fait entrer dans ses affaires. 1761 :Achète la charge de Secrétaire du roi. 1763 :Achète la charge de Lieutenant-général des chasses (juge des délits de chasse sur le domaine royal). Idylle avec une jeune créole, Pauline Le Breton. 1764-1765 :Voyage d’affaires en Espagne, pour le compte de Duverney. S’occupe aussi des problèmes matrimoniaux de sa sœur Lisette, modiste à Madrid, délaissée

cadeau d'un rat. Parfois, quand je vide une prise, je jette les entrailles à bouton-d’or. Il a cessé de cracher dans ma direction. Des entrailles. Pas de crachats. C'est le grand amour. Je balance mes jambes hors du lit et me glisse dans mes bottes de chasse. Le cuir souple épouse la forme de mes pieds. J'enfile un pantalon, une chemise, je fourre ma longue natte brune dans une casquette et j'attrape ma gibecière. Sur la table, sous un bol en bois qui le protège des rats affamés et des chats, m'attend

cadeau d'un rat. Parfois, quand je vide une prise, je jette les entrailles à bouton-d’or. Il a cessé de cracher dans ma direction. Des entrailles. Pas de crachats. C'est le grand amour. Je balance mes jambes hors du lit et me glisse dans mes bottes de chasse. Le cuir souple épouse la forme de mes pieds. J'enfile un pantalon, une chemise, je fourre ma longue natte brune dans une casquette et j'attrape ma gibecière. Sur la table, sous un bol en bois qui le protège des rats affamés et des chats, m'attend