Chateaubriand Mémoires D Outre Tombe Expression Du Moi

12 13 14 14 14 15 15 15 17 17 17 18 19 Séries générales Sujet 6. Objet d’étude : Le biographique ......................................................................................................... Texte A. François René de Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, livre premier, chapitre III ......................... Texte B. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, livre premier ........................................................................... Texte C. Georges Perec, W ou le Souvenir

Montriveau, homme honnête tout juste rentré de voyage, elle décide par coquetterie de le séduire sans jamais se donner à lui (« Elle voulut que cet homme ne fût à aucune femme, et n’imagina pas d’être à lui », p. 105-106). Le général, novice en amour, tombe vite sous le charme de la duchesse, qui le reçoit chaque soir dans son boudoir. Leur intimité grandit, mais lorsque Montriveau se montre trop insistant, la duchesse lui oppose les règles inviolables du mariage et de la religion. Elle se flatte de

gothiques: je veux dire une grande création d’époque, conçue passionnément par des artistes inconnus, consommée dans son image, sinon dans son usage, par un peuple entier qui s’approprie en elle un objet parfaitement magique. La nouvelle Citroën tombe manifestement du ciel dans la mesure où elle se présente d’abord comme un objet superlatif. (…) La “Déesse” a tous les caractères (du moins le public commence-t-il par les lui prêter unanimement) d’un de ces objets descendus d’un autre univers (…)

convient de distinguer le temps des faits (l'époque dont on parle, l'enfance par exemple) et le temps de l'écriture (la période au cours de laquelle l'auteur écrit). Le plus souvent, de nombreuses années les séparent. Le souvenir, les mécanismes de la mémoire sont des thèmes fréquents de l'autobiographie. Parfois, le passé et le présent sont comparés ou bien les époques se mêlent. L'écrivain tire alors parti de cette superposition pour accéder à sa propre vérité par la recomposition de ses «moi» successifs

citations Toute affirmation doit être justifiée par la citation de mots, d’expressions ou de phrases du texte suivie de leur analyse. Les citations du texte sont d’un maniement difficile; elles doivent être: § courtes: citer des mots ou des expressions appelant des remarques précises, plutôt que de longues phrases; § exactes : utiliser des guillemets et respecter la ponctuation du texte; une coupure doit être signalée par des points de suspension entre crochets [...] § bien intégrées au

l’éducation tandis que Rabelais conseille à l’élève d’apprendre toutes les sciences et d’accumuler une grande masse de connaissances, Montaigne veut que son élève sache avant tout juger par lui-même. Pour lui, l’éducation consiste moins à charger la mémoire qu’à forme le jugement. Il déclare : ‘‘J’aime mieux une tête bien faite qu’une tête bien pleine.’’ Et pour cela il est nécessaire de ‘‘limer sa cervelle à celle d’autrui’’ ; ou, si l’on veut, de confronter son intelligence avec celle des autres. Au

allemands- peuvent faire de grandes et belles oeuvres et Chateaubriand remet le christianisme à la mode. De 1815 à 1830, c'est le règne des jeunes romantiques, qui comme Victor Hugo, Lamartine, Alfred de Vigny, Musset font connaitre la nouvelle poésie et le nouveau théatre. Le héros romantique devient à la mode. C'est un jeune homme rêveur, pessimiste, passionné et prêt à mourir pour une idée ou pour une femme. Il s'appelle René (Chateaubriand), Chatterton (Vigny), Raphaël (Lamartine), Coelio (Musset)

connecteur logique convenable, appuyez-vous sur la fiche suivante : LES TERMES D’ARTICULATION A. POUR CLASSER LES IDÉES ET LES FAITS : - Pour commencer : premièrement / d’abord / tout d’abord / en premier lieu. - Pour les éléments qui se suivent : en outre / de plus / par ailleurs / d’une part... d’autre part / en second lieu. - Pour mettre en parallèle : également / de même / ainsi que / encore / aussi. - Pour terminer : enfin / en dernier lieu / en somme. B. POUR DÉVELOPPER UNE IDÉE : - Introduire

; l’influence italienne avec l’adoption du sonnet à la manière de Pétrarque. L’intérêt pour la langue française, encore peu répandue jusqu’alors dans la littérature (qui lui préférait le latin), entraîne un renouveau profond des formes poétiques. Outre le sonnet, se développent alors le rondeau, le madrigal, la ballade. Marot, mais aussi ceux que l’on a appelés les poètes de La Pléiade (Ronsard, Du Bellay, Étienne Jodelle, etc.) exploitent toutes ces formes en associant le jeu poétique aux idées

moderne (Hugo, Baudelaire, Apollinaire). Ex. : « Mon beau navire ô ma mémoire / Avonsnous assez navigué / Dans une onde mauvaise à boire / Avons-nous assez divagué / De la belle aube au triste soir » (APOLLINAIRE, « Chanson du mal aimé », Alcools.) alliance de mots 4 L’alliance de mots consiste à rapprocher deux mots dont les significations sont, à première vue, contradictoires. Ex. : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles. » (CORNEILLE, Le Cid.) Les mots obscure et clarté, qui