Chaumière

Français _ Maupassant : Aux champs. Les deux chaumières cote a cote, au pied d’une colline, proche d’une ville de bains commençaient déjà a s’effondrer ici et la. Les deux paysans besognaient dur saur la terre inféconde pour élever tous leurs petits, les pauvres étaient maigres et ne mangeaient généralement que du pain sec et souvent dur. Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. Les deux ainés avaient six ans et les deux cadets quinze mois environ ; les

Il était une fois, au plus profond des forêts du Nord, un vieil homme qui vivait dans une chaumière. Il habitait loin de toute ville, et il avait pour seule compagnie, un cheval. Un cheval qui devait être aussi vieux que l’homme. La bête faisait peur à voir, en effet, sa robe était parsemée de déchirures anciennes, de croûtes, d’œufs de mouches... Sa crinière avait presque disparu et les seuls crins qui restaient étaient tout emmêlés. La seule partie du corps de la bête qui était soigné, était ses

Toute idée, humaine ou divine,Qui prend le passé pour racine,A pour feuillage l'avenir.Il rayonne! il jette sa flammeSur l'éternelle vérité !Il la fait resplendir pour l'âmeD'une merveilleuse clarté.Il inonde de sa lumièreVille et désert, Louvre et chaumière,Et les plaines et les hauteurs ;A tous d'en haut il la dévoile;Car la poésie est l'étoileQui mène à Dieu rois et pasteurs ! Victor Hugo, Les Rayons et les ombres

ou divine, Qui prend le passé pour racine A pour feuillage l'avenir. Il rayonne ! il jette sa flamme Sur l'éternelle vérité ! Il la fait resplendir pour l'âme D'une merveilleuse clarté. Il inonde de sa lumière Ville et désert, Louvre et chaumière, Et les plaines et les hauteurs ; À tous d'en haut il la dévoile ; Car la poésie est l'étoile Qui mène à Dieu rois et pasteurs ! (Hugo, Les Rayons et les Ombres, La fonction du poète) En savoir plus »

était brune avec de grands yeux bleus et était serviable,aimable gentille et n'était pas curieuse.Sa passion était de se balader dans la clairière en fredonnant la berceuse que sa maman lui chantait quand elle était petite.Goumie habitait dans une chaumière avec son petit chat Noisette qui était plutôt drôle et curieux. Un jour ensoleillé,alors que Goumie se baladait avec son chat Noisette dans la clairière verte et fraîche,une vieille dame vint à elle en pleurant.Goumie lui demanda pourquoi elle pleurait

ses 18 ans. Un soir en rentrant le long de l’allée, Cerise entendit des craquements de branches et elle crut voir des ombres qui passaient précipitamment. Elle était effrayée, alors, elle se mit à marcher de plus en plus vite. Arrivée dans sa chaumière, elle ferma sa porte à double tour, elle tira les rideaux et alla immédiatement se coucher. Endormie, une personne rentra chez elle, par la porte, il s’approcha d’elle mais cerise ouvra ses yeux et cria ; * QUI ETES VOUS ? * Le sorcier

inconsciente.Dès la première lecture, on se rend compte du réalisme dont a fait preuve Maupassant. Cet extrait de Aux champs est un sommaire en effet les descriptions y sont rapides et peu détaillées les deux familles ne sont pas distinct « les deux chaumières » (l.1),  « les deux paysans » (l.3). Dans cet extrait, Maupassant a fait le résumé d'une tranche de vie (naissance/mariage). Avec sa façon plutôt direct de parler, Maupassant écrit uniquement l'essentiel en utilisant des articles définis « le »

aisée de négociants russes de Riga. Après avoir terminé le lycée, elle poursuit ses études à Moscou, où elle apprend le dessin auprès de Constantin Juon et d'Ilya Machkov. En 1912, elle se rend à Paris, où elle assiste à l'Académie de la Grande Chaumière aux cours d'Antoine Bourdelle, avant de continuer son exploration de l'art et de la sculpture en Italie. Elle a été artiste du peuple de l'URSS et membre actif de l’Académie des Beaux-arts de l'URSS. Elle a remarquablement contribué au développement

avec le peintre André Mare. Après son échec aux Beaux-Arts, il s’exerce dans diverses académies. Daniel-Henry Kahnweiler, qui deviendra son marchand, se souvient ainsi de Léger allant dessiner le nu presque tous les soirs à l’académie de la Grande Chaumière. Léger dit effectivement avoir détruit entre 1902 et 1908 une grande partie de ses travaux au fur et à mesure de leur production. Peut-être contenaient-ils encore quelques traces du sentimentalisme du Jardin de ma mère, peint en 1905, ou de ces Gamins

sont là-bas sous un pampre attablés; L'horizon semble un rêve éblouissant où nage L'écaille de la mer, la plume du nuage, Car l'Océan est hydre et le nuage oiseau. Une lueur, rayon vague, part du berceau Qu'une femme balance au seuil d'une chaumière, Dore les champs, les fleurs, l'onde et devient lumière En touchant un tombeau qui dort près du clocher. Le jour plonge au plus noir du gouffre, et va chercher L'ombre, et la baise au front sous l'eau sombre et hagarde. Tout et doux, calme,