Chauprade Et Lacoste

quoi Aymeric Chauprade s'oppose-t-il à la vision de la géopolitique développée par Yves Lacoste ? Cette critique vous paraît-elle pertinente ?" Introduction : Après avoir terminé la lecture des deux textes dont les auteurs sont mentionnés ci-dessus, la première impression qui me vient à l’esprit et ce, sans avoir pris en considération le contenu des ces deux introductions d’ouvrages, c’est la différence de ton qu’utilise A. Chauprade dans sa manière

ressources nécessaires. Le pétrole n’apparaissant pas encore comme une ressource essentielle, cela conduisait à l’idée de grandes zones d’hégémonie du Nord sur le Sud, ce que Haushofer appelait les Pan-Ideen. François Thual et son disciple Aymeric Chauprade traduisent ce mot par «panismes». Il y a, en fait, une certaine ambiguïté dans ce terme de Pan-Ideen. Il recouvre à la fois l’idée déjà ancienne d’unités géographiques, ethniques et culturelles comme le pan-islamisme, le pan-turquisme ou le pan-slavisme

Aymeric Chauprade, docteur en sciences politiques, enseigne la géopolitique à l’université de Paris I-Sorbonne et participe à des revues telles que Conflits actuels. Il est également l’auteur de "L’espace économique francophone" (1996), "Introduction à l’analyse géopolitique" (Ellipses, 1999) ou un "Dictionnaire de géopolitique" avec François Thual (Ellipses, 1998). L’ouvrage est d’ailleurs dédicacé à François Thual (A. Chauprade s’inspire beaucoup ici de ses travaux et publications), ainsi qu’aux

ne réapparaîtra en France qu’avec Yves LACOSTE dans le années 70. Son courant de pensée est le sel méthodique et réellement construit dans le domaine de la géopolitique. Ses principes : - importance de la carte, formalisation visuelle qui soutien et fait émerger l’analyse - place de l’histoire en tant que source de représentations géopolitiques qui lient le passé au territoire - le concept de frontière au sens juridico-politique Lacoste a une approche territorialiste : « l’homme

européenne  3.3 Configuration de la concurrence en Méditerranée occidentale : Maroc, Espagne, Algérie CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE Ouvrages AUFFRAY Danièle, La politique maritime à l’heure mondiale, éd. L’Harmattan, Paris, 2004 CHAUPRADE Aymeric – Géopolitique, constances et changements dans l’histoire – Paris – Ellipses – 2003 – 890 p. COMBACAU Jean, SUR Serge, Droit international public, éd. Montchrestein, Paris, 2000. COUTAU-BEGARIE Hervé – Traité de stratégie – Paris – Economica

politique en un risque commercial difficilement surmontable ; pour l’entreprise les conséquences sont une perte de valeur immédiate « il convient de comprendre la mutation pour prendre position et dépasser les crises qui sapent les certitudes » Y LACOSTE Le terme géopolitique est employé pour la première fois par un professeur de géographie suédois. Rudolf Kjellen (1864-1922) dans son ouvrage Stromkterna (les grandes puissances), paru en 1904. Pour son auteur, la géopolitique est la science de

1 1 31 Q Géopolitique CM Qui a inventé le terme « géopolitique » (Geopolitik) ? A. Karl Haushofer B. Rudolf Kjellén C. Yves Lacoste D. Friedrich Ratzel 2 En quelle année le terme « géopolitique » a-t-il été créé ? A. 1859 B. 1879 C. 1899 D. 1919 3 Comment le terme « géopolitique » a-t-il été initialement défini ? A. « La géopolitique est la science de l’État en tant qu’organisme géographique, tel qu’il se manifeste dans l’espace » B. « La géopolitique est la science de la politique d’aménagement

lequel elle s’exerce » ( Gallois, 1990) P.Moreau Defarges souligne : «  qu’il n’y a pas de démarche géopolitique sans, au départ, une analyse de la terre, notre planète, comme un vaste et unique champ de manœuvre ». La géopolitique est selon Yves Lacoste «  une nouvelle manière de voire le monde qui dépasse la simple lecture des données économiques et propose d’autres mobiles que la recherche de profits ou la conquête de terres fertiles ». il présente la géopolitique comme un savoir penser l’espace

intellectuel. Une nouvelle géopolitique ? 1970. En parodiant une formule célèbre de Jacques Lévy sur la géographie (5), on pourrait dire que « la géopolitique n’est pas de retour, c’est une autre discipline qui émerge ». Aussi bien en France avec Yves Lacoste, Béatrice Giblin, l’IFG (Institut français de géopolitique) et la revue Hérodote, qu’au Royaume-Uni avec Peter Taylor, et aux États-Unis avec John Baylis et Steve Smith (6)…, la géopolitique propose désormais des analyses sociales sur l’exercice de

pratique une politique impérialiste qu'après de longues incursions occidentales. la mer, en tout cas est une frontière sûre en même temps qu'elle ouvre au monde : venant de Corée ou de Chine, les influences n'ont jamais cessé.        Aymeric CHAUPRADE et François THUAL indiquent que "le territoire de l'Empire du Japon s'est formé par la conquête lente du nord de l'archipel à partir des villes du sud. L'orientation séculaire Sud-Nod, produit de l'histoire japonaise, continue d'apparaître, à l'époque