Chef de bataillon

1873 : 144e Régiment d'Infanterie de Ligne l’un de ses bataillons s’installe à Blaye en 1874 ; il y reste jusqu’en 1914. 1882 : 144e Régiment d'Infanterie. 1914 : À la mobilisation, il met sur pied son régiment de réserve, le 344e Régiment d'Infanterie 1928 et 1929 : le régiment est dissous en deux temps. Le bataillon de Marennes est dissous le premier quant aux deux bataillons de Bordeaux, ils fusionnent avec le seul bataillon du 57e Régiment d'infanterie pour former le nouveau 57e

était le sous-lieutenant de la 1re affectation au 24e bataillon de chasseurs à pied de Villefranche. En décembre 1883 a 1890 il était le lieutenant de la 1re affectation au 3e bataillon de chasseurs de Besançon. Entre temps il est rentré, en novembre 1888, a l’École de guerre 14e promotion En 1890, il était le capitaine à la sortie de l’école (affecté à l’état-major du 15e corps d'armée à Marseille). En 1892, il était affecté au 29e bataillon de chasseurs à pied à Vincennes. En 1893, il faisait

Des hommes ordinaires. Le 101e bataillon de réserve de la police allemande et la Solution finale en Pologne. Par Christopher R. Browning L’auteur Christopher Browning est un historien américain spécialiste de l’Allemagne nazie et en particulier de l’Holocauste sur lequel il a écrit près d’une dizaine d’ouvrages. Il fut en effet l’élève de Raul Hilberg, autre historien de la Shoah, reconnu mondialement pour avoir été le premier à réaliser une dans La Destruction des Juifs d’Europe une synthèse

A parir de la fiche du soldat: Antoine Jean MARINI est né le 9 mai 1887 à Calinzana en Corse. Il est mort alors qu'il avait 28 ans. Il a pour fonction d'etre chef d'équipe de son escoude mais il est gradé au rang de caporal dans le 42ème Régiment d'infanterie Coloniale. Il fut tué à l'ennemi à Souain dans le département de la Marne. A partir de la fiche de l'unité: 1ère Bataille de Loraine Le 9 août, le 42e était mis en route, par étapes, sur Avignon, point de concentration de la division

prendre part ; les suivants fournissent des remplaçants pour les hommes tués ou blessés. Les Grecs ne sont pas partisans, en général, des formations trop profondes ; c’est ainsi que Xénophon fait critiquer un chef lydien par Cyrus après la bataille de Thymbrée : « Crois-tu que des bataillons dont l’épaisseur fait que la plupart des soldats ne peuvent atteindre l’ennemi avec leurs armes puissent être d’un grand secours aux leurs et causer bien du mal au parti opposé ? Je voudrai que les piquiers égyptiens

DISCOURS DE FIN DE STAGE CA2 A/C PROMOTION 2013 Monsieur le CHEF D’ESCADRON, COMMANDANT DE BATAILLON D’ARTILLERIE SOL SOL, Monsieur le Commandant, Président De Commission De Stage, Messieurs les Officiers, Messieurs les Sous-Officiers, Il me revient la lourde tâche en tant que président de promotion de vous adresser nos vives remerciements. Au terme de 6 mois de rude apprentissage la promotion CA2 A/C 2013 par ma voix voudrait vous témoigner toute sa reconnaissante pour la qualité de l’instruction

entre les différents organismes de l’administration centrale ou d’un commandement. - Elle est adressée seulement à des organismes subordonnés ou d’un rang homologue à celui du signataire. - Elle est destinée aux organismes intéressés, et non à leur chef ou directeur. La note est rédigée sous forme impersonnelle et sans formule de politesse. La note- express : Correspondance militaire DAGO7 2 III - CLASSIFICATION : IV - DETAIL DES DOCUMENTS : Est utilisée quand l’urgence de la question n’exige

En Afrique Française du Nord (AFN) et surtout au Maroc, des unités de l'armée coloniale, européennes ou africaines (12 bataillons), servaient dans le cadre de la « pacification ». L'armée coloniale envoya en Métropole, dès le 17 septembre 1914, des unités de marche mixtes (Européens et Africains) à raison, pour chaque régiment mixte, d'un bataillon africain pour deux bataillons européens. Ces unités (régiments mixtes d'infanterie coloniale du Maroc - RMICM) renforcèrent en premier lieu la division

tir de la pièce (8 à 12 hommes) mais aussi à son approvisionnement en munitions (poudre et projectiles) et à la conduite ainsi qu'aux soins des 10 à 12 chevaux nécessaires à une pièce d'artillerie de campagne et à son caisson. • Régiment et Bataillon : un régiment est formé de 10, voire 12 compagnies ou 12 batteries dans l'Artillerie. Théoriquement, un régiment compte un peu plus de 1.000 hommes. En pratique, les pertes étaient telles que l'effectif était de 400 à 600 hommes en moyenne. Le régiment

soldats, le narrateur, chef de bataillon, dit : « Ils eurent soudain ce frisson de colère furieuse et bestiale qui pousse les foules au massacre (…) ils tiraient sur lui avec acharnement de brutes, se battaient pour avoir leur tour. » Pensez-vous que la guerre déshumanise les soldats et les transforme en monstres ? Développez votre point de vue dans un texte argumentatif illustré par des exemples précis. Enoncé 3 : Parlant de ses soldats, le narrateur, chef de bataillon, dit : « Ils eurent