Chef Joseph

(URSS) en 1922 et voyant sa santé décliner peu à peu, il se voit contraint de lâcher peu à peu les commandes et de léguer la tête du Parti le 3 avril de la même année à l'opportuniste qui l'emporta grâce à sa position clef au secrétariat général : Joseph Staline. b) En quoi il a marqué son pays Créateur du communisme russe et de la transformation de l'Empire en l'URSS. Lénine a crée la « Tchéka », police militaire communiste. Premier gouverneur et dictateur russe. Lénine a mené

Révision H3 1) Joseph Staline est un dictateur car il est le chef de l'URSS de 1924 à 1953. Ce chef infaillible a le soutien de la population. Le parti unique est tout puissant, le parti communiste en URSS. Toutes les libertés sont supprimés. 2) Adolf Hitler est un dictateur car il est le Führer (=le guide)de l'Empire Allemand de 1933 à 1945. Ce chef infaillible a le soutien de la population. La parti unique est tout puissant, le NSDAP = parti nazi en Allemagne. Toutes les libertés sont supprimés

République et prend le titre de "chef de l’Etat français". Il engage le pays dans une politique de collaboration avec l’Allemagne nazie et instaure un régime autoritaire, rejetant la République et le démocratie, qui ambitionne de régénérer la France grâce à une "Révolution nationale" résumée dans la formule "Travail, Famille, Patrie". Le régime de Vichy contrôle la presse, et la radio, les organisations de jeunesse en s’appuyant sur les assoiations d’anciens combattants. Le chef de l’Etat français est l’objet

parti nazi Hitler est nommé chancelier le 30 janvier 1933 par le président Hindenburg, puis devient dès 1934 le chef absolu du pays, après la mort du président, il impose rapidement un régime dictatorial, antisémite et fasciste d’extrême droite. La propagande est sans doute le meilleur outil pour Hitler, il lui permet de contrôler, d’embrigader et de soumettre le peuple (Joseph Goebbels sera ministre de l’information et de la propagande). II. Description Organisation de l’affiche :

l'identification et le sort réservé à sa dépouille restent cependant controversés. L'Allemagne est et demeure le pays de la loyauté. [...] Jamais l'histoire ne pourra dire qu'en ce moment crucial un peuple abandonna son chef, ni qu'un chef abandonna son peuple. C'est cela la victoire ! » — Joseph Goebbels, allocution radiodiffusée du 19 avril 1945 à l'occasion de l'anniversaire de Hitler[1]. Après avoir quitté son quartier général de l'Adlerhorst[N 1] (le « nid de l'aigle »), à Ziegenberg près de Francfort-sur-le-Main[2]

 Le Chant des partisans Maurice Druon et Joseph Kessel I-L’œuvre Titre : Le chant des partisans ou Le chant de la libération Paroles : Maurice Druon et Joseph Kessel Musique : Anna Marly Date : 1943 II-Les auteurs Kessel est né en Argentine, ses parents ont fui la Russie tsariste. Il s’installe à Paris et devient journaliste au moment de la guerre d’Espagne. En 1940, il devient correspondant de guerre et rejoint la résistance en 1941. En 1942, il rejoint Londres et le général

Parc agricole dont la vision imprimée par Joseph Kabila, vise désormais à renforcer l’industrie agricole au pays. Et c’est lui-même, Joseph Kabila, Président de la République

avant d’utiliser les appareils de répression (GESTAPO, SS et système concentrationnaire) pour le garder.  Ces trois régimes partagent une première pratique du pouvoir : le contrôle total exercé par un homme sur un parti (Benito MUSSOLINI en Italie, Joseph STALINE en URSS et Adolf HITLER en Allemagne), d’un parti sur l’État (Parti fasciste en Italie, NSDAP en Allemagne et Parti Communiste d’Union Soviétique en URSS) et du contrôle total de l’État sur la société. C’est le totalitarisme : le contrôle

des déplacements rapides pour remporter une victoire. La guerre de positions: est l' antithèse de la guerre de mouvement. Elle consiste en une attaque depuis un point fixe fortifié: tranchée, fort... Elle se résume par «laisser l'ennemi venir». Joseph Jacques Césaire Joffre, né le 12 janvier 1852 à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) et mort le 3 janvier 1931 à Paris (7e), était un officier général français pendant la Première Guerre mondiale, artisan de la victoire alliée lors de la bataille de la

Joseph Kessel Joseph Kessel est né en Argentine le 10 février 1898. Fils de Samuel Kessel, médecin juif d’origine lituanienne (à l'époque en Russie impériale) qui vint passer son doctorat à Montpellier, puis partit exercer en Amérique du Sud, Joseph Kessel vécut en Argentine ses tout premiers mois, pour être emmené ensuite de l’autre côté de la planète, à Orenbourg, dans l’Oural, berceau de sa mère (née Lesk), où ses parents résidèrent de 1905 à 1908, avant de revenir s’installer en France.