Chemin rural

: questions de doctrines ou de théorie, plus ou moins clairement énoncés, éphémères ou durables, locales et nationales ou de résonance internationale. La seconde moitié du XXe siècle est marquée par un bouleversement social sans précédent : exode rural, croissance extraordinaire des villes, crise du logement, émergence d’une société dite « de consommation », etc. Ces phénomènes provoquent d'abord un rejet de la ville née du développement de l'industrie et l'énonciation de nombreuse théorie dont

sociales défavorisées font des manifestations. | | |- Population issues des migrations et des métissages, grande diversité linguistique et religieuse. |- Couverture sociales faibles, Hopitaux inaccessible à 45% des ruraux. | | |- Fortes inégalités sociales : riches 10% => profitent de la croissance économique par rapport aux |- Conditions de vie précaires des migrants dans les centres urbains mais qualité de vie plus|

passage des sociétés rurales au prolétariat qui se fait progressivement au cours du siècle de la première Révolution industrielle. Auparavant, la « classe » ouvrière n'existe pas à proprement parlé. Les petits exploitants agricoles constituent la classe paysanne et bientôt on assiste à une mécanisation de l'agriculture qui amène donc une diminution des offres d'emplois dans ce domaine grâce auquel nombres de travailleurs subsistent. Ce bouleversement engendre un fort exode rural vers les villes où

relèverait des mêmes causes, mais l’évolution des comportements de fécondité prendrait plus de temps. Le développement et la croissance économique pourraient inciter les familles à restreindre leur fécondité par différents biais : urbanisation, exode rural, scolarisation augmenteraient le coût des familles nombreuses ; les espoirs de mobilité sociale inciteraient les familles à restreindre leur fécondité pour se consacrer davantage à chaque enfant. ➢ Durant la période intermédiaire entre les 2

pays en développement, la croissance ne profite souvent qu’à certains secteurs de l’économie et peut au contraire bouleverser les équilibres traditionnels et appauvrir une partie de la population (opposition entre villes et campagnes en Chine, exode rural, développement des bidonvilles). La croissance que connaissent actuellement les pays émergents donne lieu à une nouvelle division internationale du travail : on assiste à la délocalisation de certaines entreprises vers les pays émergents. La croissance

changements entraînent une évolution du monde urbain et une certaine modernisation du monde rural II. [Titre] A) Le monde rural - positif: essor du machinisme, certaine modernisation du travail et hausse de la production, plan Frécinet de 1878 qui permet la circulation des hommes et marchandises ainsi que le désenclavement des campagnes - négatif: 40% des actifs dans le secteur primaire, exode rural suite à l'industrialisation qui entraîne une baisse de la main d'oeuvre et une agriculture

urbaine de Mohammedia s’est basée sur plusieurs facteurs : un exode rural important dû à la crise rurale ces dernières années casée par la sécheresse qui réduit nettement les récoltes D’abord, une activité industrielle très importante qui se traduit d’une part par l’immgration de nouveaux habitants et d’autre part par la création de nouveaux quartiers industriels très attractifs pour la main d’' uvre qu’elle soit issue du milieu rural ou du milieu urbain et cette masse de travailleurs s’installe à

des grandes agglomérations ou mégalopoles. J. VERON analyse la complexité de la dynamique urbaine dans la deuxième partie. Les facteurs de la croissance urbaine sont l’exode rural, la transition urbaine et la croissance démographie. L’exode rural grossit le nombre de citadins. La contribution de l’exode rural à la croissance urbaine est une réalité dans les pays en voie de développement. A ce phénomène s’ajoute la transition urbaine c’est-à-dire « le passage d’un faible niveau d’urbanisation

inter-urbaine (réseaux ferroviaires). Quartiers de banlieues en crise (ghettos) → quasi absence de mobilité dus à des lacunes de réseaux de transports par ex. • exode rural = migration massive qui dévitalise les campagnes au profit des villes. L’exode rural est lié à l’importance des écarts de niveaux de vie entre ville et campagne. Mais l’exode rural n’est pas 1 phénomène généralisé qui expliquerait la croissance actuelle des mégapoles des PVD. • migration = changement de lieu de résidence principale

seconde moitié du xixe siècle qui a vu une nette augmentation d'un exode rural qui s'est terminé dans les années 1960. Depuis cette période, les villes concentrent la population et structurent l'espace.  Ces dernières décennies ont vu une accentuation du processus d'urbanisation et des mouvements de population en faveur des plus grandes métropoles (métropolisation), mais aussi une migration des citadins vers les périphéries rurales des agglomérations (périurbanisation). Ces mouvements de population ont