Chemise de nuit

m'indiqua l'emplacement du matériel nécessaire que j'ai pris et installé prés de son fauteuil. Avant de commencer le soin elle me demanda de lui faire sa toilette sans retirer sa chemise de nuit car elle avait froid. J'ai regardé l’aide-soignante, elle me fait signe d’exaucer ses désires. Alors je levai sa chemise de nuit le plus haut possible afin de ne pas la mouiller. Pendant la toilette, elle me complimenta pour le soin que je lui dispense. Elle discuta ensuite avec l’aide-soignante de ses visites

tout la matériel Indispensable au soin. Matériel personnel complété par le matériel hospitalier si nécessaire Le linge : Linge de toilette deux gants de toilette deux serviettes de toilette. Linge pour le change de la personne chemise de nuit, pyjama ; vêtements de ville si besoin. Linge pour le change du lit. Le matériel de toilette : Savon : normal, spécial dermatologique... Cuvette. Glace. Rasoir : électrique, mécanique, plus mousse à raser, after-shave. Produits

suis arrivée. Mme X porte une chemise de nuit donc je la remonte pour laver, rincer puis sécher les jambes, j’enfile ensuite les bas de contention puis le change que je laisse à hauteur des genoux pour éviter trop de manipulations (assis, debout, assis…). Je change l’eau puis je demande à Mme X de se laver le visage comme ça je peux laisser la chemise de nuit et pour respecter la pudeur. Pour continuer ma toilette je propose à Mme X d’enlever la chemise de nuit, je pose immédiatement une serviette

les deux draps propres. Il a ensuite vidé la bassine dans le lavabo reposé le savon et mis le gant et la serviette dans un sac plastique (poubelle). Et il m’a indiqué de mettre les draps sales dans un sac hydrosoluble. Il a également rangé la chemise de nuit dans l’armoire de la patiente. Nous avons ensuite retirés nos gants (que nous avons jetés) puis notre blouse que nous avons accrochés à une patère de la salle de bain. Nous avons dit à la patiente que l’on reviendrait bientôt pour le repas et

qu’elle songe à ce que je viens de lui dire. Je prépare la protection pour la nuit et la chemise de nuit. Je lui explique qu’elle va se préparer pour aller au lit, j’essaye de faire participer la patiente et lui demande de retirer son pull. Mme S y parvient lentement mais seule. Je la laisse faire. Je lui tends ensuite la chemise de nuit et je lui dis qu’elle peut l’enfiler. La résidente me regarde, me tend la chemise de nuit et me dit qu’elle n’y parvient pas. Je regarde Mme S dans les yeux, je lui

la porte de la résidente et attendons son invitation pour entrer et la saluer. Nous engageons la conversation, en lui demandant si sa nuit fût bonne et comment elle se sent, pour au final lui proposer de prendre le bain prévu par le planning. Sans hésiter, la résidente accepte avec plaisir. A notre arrivée, Mme M. est dans son fauteuil, vêtu d’une chemise de nuit courte. Je lui propose d’enfiler son peignoir en lui expliquant qu’il fait plus frais dans le couloir que dans sa chambre, mais aussi par

robe de nuit de Mme D). Ensuite Mme D se relève et je peux aisément essuyer si nécessaire et vérifier la quantité des défections que je pourrais inscrire en transmission. Suite à cela Madame D s’assoit sur la chaise qui se trouve juste à côté : sa chemise de nuit remonté, le siège sur une serviette qui entoure ses jambes pour sa pudeur. J’enlève mes gants. Je demande si elle peut enlever sa chemise de nuit pour qu’elle puisse faire la toilette de son visage sans mouiller sa chemise de nuit. Mme D

je viendrais la voir en première pour l’aider à se déshabiller et à se coucher mais qu’elle peut déjà commencer à essayer de se déshabiller seule et que je mets sa chemise de nuit sur le bord de son lit juste à côté d’elle. -Je lui prépare sa chemise de nuit sur son lit. -Je lui prends sa main pour lui montrer là où j’ai posé sa chemise. -Elle me dit « non, je ne peux pas ». -Je lui demande au mois d’essayer d’enlever son gilet et de baisser son pantalon afin que je vienne l’accompagner à faire le

dans un immense fauteuil qui fait face à la fenêtre, j'aperçois madame M, le regard vague comme perdu vers l'extérieur, elle tourne la tête, nous regarde et dit : « Et c'est reparti ! » Nous la suivons jusqu'à la salle de bains où se trouvent sa chemise de nuit et sa robe de chambre. Sentant l'atmosphère pesante, je tente d'entamer la conversation et lui demande si sa journée a été bonne. Lentement, elle s'arrête de marcher, tourne la tête, me fixe et me répond : « Ma pauvre je suis sourde et je ne vois

avec des vieillards » 3) « il y a peut être encore une solution, mais si cela ne réussit pas, il ne nous reste guère d’autre solution que de reprendre un train et de rouler jusqu’à demain soir. » 4) « avant le siège, j’avais reçu une belle chemise de nuit en soie qui tombait jusqu’à terre. C’était ma première pièce de lingerie féminine » 5) « je lui ai acheté deux milles schillings. Il me les a cédés à un cours honnête et il a pris pour nous les billets jusqu’à Vienne. Brave homme ! » 6)