Chérif de La Mecque

Drapeau actuel Le drapeau du Maroc, tel qu’il est, a été créé en 1915. C’est la dynastie alaouite, au pouvoir depuis le XVIIème siècle, qui changera la couleur du drapeau national marocain. Celui-ci devient alors tout rouge, couleur des chérifs de la Mecque, et le restera jusqu’à la période du protectorat. A ce moment, le drapeau rouge marocain faisait confusion avec d’autres drapeaux identiques utilisés par plusieurs nations. C’était notamment la couleur du drapeau communiste. “On gardera alors

négociations françaises portent sur la Syrie « naturelle » (de la Cilicie au Sinaï et du littoral méditerranéen à Mossoul) tandis que les Britanniques - d’après l’accord signé en 1915 avec le chérif Hussein de La Mecque, que nous présenterons ultérieurement - réservent les villes de Damas, Homs, Hama et Alep au chérif en échange de la Palestine, ce qui limite la zone française au nord de la Syrie. La France accepte les arguments Britanniques concernant les quatre villes mais refuse la domination Britannique

indépendant. Ils engagent dès le début de la guerre des contacts secrets avec les alliés, indispensables pour remporter la victoire. Contre l’appel au jihad lancé par les Ottomans, les Britanniques s’appuient sur le chérif de La Mecque Hussein. La correspondance lancée en 1915 entre le chérif et Mac Mahon, haut-commissaire britannique pour l’Égypte, sous protectorat depuis 1914, laisse entendre que si les Arabes acceptent d’entrer en guerre contre les Turcs, Londres établirait un royaume arabe regroupant

sous la direction de Mustapha Kemal. En 192, il abolie le califat, se qui accroit la concurrence entre les dirigeants du Moyen-Orient qui veulent l’unité du Monde arabo-musulman. Dans le même temps, en 1924, l’émir Wahhabite Saoud chasse le chérif de la Mecque et fonde le Royaume d’Arabie Saoudite en 1932. c) les puissances Européennes et les États-Unis au Moyen-Orient. - Au lendemain de la 1ère Guerre Mondiale les puissances Européennes sont de véritables rivales au Moyen-Orient. La France

Origines et naissance Du Djolof au Saloum Pendant que les européens investissaient la cote atlantique pour des raisons commerciales, RIDAH SANNI (RIDAH N°2), un arabe originaire de Benghazi jeta son dévolu à l’intérieur du royaume du Djolof. Ce chérif libyen, un missionnaire nanti de solides connaissances coraniques et islamiques et d’une fortune colossale, ambitionnait de répandre l’Islam au Sénégal. Pour encourager sa sédentarisation dans le Djolof, on lui donna la main de Dieynaba Niass NDIAYE

France et de l’Angleterre, les territoires arabes récemment libérés de la domination ottomane sont également autorisés à envoyer des délégués pour présenter leurs doléances. Pour sa part, déterminé à ne pas voir les accords Sykes-Picot appliqués, le chérif Hussein, désormais roi du Hedjaz, choisit son fils Fayçal pour représenter les Arabes à la conférence de Paris et plaider leur cause, c’est-à-dire concrétiser leur rêve d’indépendance. De son côté, le représentant britannique Chaïm Weizmann est désigné

LA FINANCE ISLAMIQUE : Analyse des produits financiers islamiques Travail de Bachelor réalisé en vue de l’obtention du Bachelor HES par : Karim CHERIF Conseiller au travail de Bachelor : Dr. Akimou OSSÉ, Prof. de Finance à la HEG Haute Ecole de Gestion de Genève (HEG-GE) Économiste d’entreprise Déclaration Ce travail de Bachelor est réalisé dans le cadre de l’examen final de la Haute Ecole de Gestion de Genève, en vue de l’obtention du titre d’économiste d’entreprise. L’étudiant

citoyennes et d’institutions qui voudraient associer leur image à ce périple inédit ». De son vivant au XIVème siècle,  Ibn Battuta (1304-1377) avait été le premier Marocain connu à se rendre en Chine. Il avait effectué plusieurs pèlerinages à la Mecque et refait le chemin de Tombouctou. En 27 ans de voyages, Ibn Battuta avait parcouru plus de 120.000 kilomètres. Des dizaines de livres lui ont été consacrés par des écrivains et des chercheurs marocains et étrangers, ainsi que des timbres-postes.

l’Allemagne et à l’Autriche-Hongrie pour tenter de récupérer ses anciennes possessions africaines et européennes et rentre donc en guerre contre les Alliés. La Grande-Bretagne s’étant rapprochée ultérieurement des musulmans arabes promet alors au chérif de la Mecque Hussein bin Ali (descendant du prophète) la création d’un royaume arabe. Cependant, en échange, les arabes doivent aider Londres sur le front contre les Ottomans. Hussein bin Ali reçoit alors l’aide d’un Britannique du nom de Thomas Edward Lawrence

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