Chérif de La Mecque

mobilisant les bédouins, dont les mœurs guerrières fascinent les Édouardiens, élevés dans l’admiration des « races martiales ». Contrée en Palestine comme en Syrie, cette subversion se déplace en Arabie où les Britanniques poussent à la rébellion le chérif de la Mecque (juin 1916), sans pouvoir ni vouloir régler d’innombrables points de frictions futurs comme la déclaration Balfour (2 novembre 1917). 3. Un projet hégémonique au Proche-Orient (1917-1921) Contrée sur tous les théâtres (Détroits

Etats européens passent des accords secrets appelés les « accords Sykes-Picot » (1916) prévoyant après la défaite turque, le partage des territoires arabes et gagner ainsi de nouvelles zones d'influence. Les anglais promettent un état arabe au chérif de la Mecque en Arabie Saoudite Husayn Ibn Ali, révolté contre l'autorité ottomane, et arment ses troupes qui s'emparent de Damas capitale de la Syrie en octobre 1918. Entre temps, les sionistes font pression sur le gouvernement britannique pour obtenir

résidèrent à Fès. Sous la dynastie des Alaouites, le Maroc est aussi connu sous le nom d'Empire chérifien. Cette appellation, très utilisée avant 1956, l'est aussi jusqu'à nos jours car le souverain alaouite, descendant du prophète de l'islam Mahomet, est "cherif" c'est-à-dire noble. Au XIXe siècle, les cartographes européens mentionnaient toujours un "Royaume de Maroc" en en indiquant l'ancienne capitale "Maroc" (pour Marrakech). À l'indépendance, le pays prit le nom officiel de Royaume du Maroc et le sultan

Sous la dynastie des Alaouites, le Maroc était également appelé Empire chérifien. Cette appellation, très utilisée avant 1956, l'est restée de nos jours en référence au souverain alaouite, descendant du prophète de l'islam Mahomet, qualifié de « cherif » c'est-à-dire noble. Au xixe siècle, les cartographes européens mentionnaient toujours un « Royaume de Maroc » en en indiquant l'ancienne capitale « Maroc » (pour Marrakech). À l'indépendance, le pays prit le nom officiel de Royaume du Maroc et le

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décisions à prendre. Dès le début de son règne, il effectue un fastueux pèlerinage à La Mecque en 1496. Escorté de 500 cavaliers et 1000 fantassins, il emportait 300000 pièces d’or dont le tiers est distribué en aumônes. Il fonde à Médine une fondation pour les pèlerins soudanais. Il reçoit du Grand Cherif de La Mecque, les insignes de Calife (bonnet vert, turban blanc et sabre) du Soudan. De retour de la Mecque, il fait la guerre sainte aux mossi du Yatenga d’où il ramène de nombreux captifs qu’il

Bachir El Ibrahimi, Fodil El Ouartilani, Larbi Tébessi, Ferhat Abbas, Chérif Saâdane[115], Omar Ouzeggane, etc., tous vont diverger entre eux sur la question algérienne, cela provoquera l'émergence de plusieurs associations et partis algériens : Parti de la réforme ou mouvement pour l'égalité, Association des oulémas musulmans algériens, le Parti du peuple algérien, Amis du Manifeste des Libertés fondé par Ferhat Abbas et dont Chérif Saâdane est membre du comité directeur[116], Parti communiste algérien

mouvement est alors plus limité. -le nationalisme proche-oriental : les anciennes possessions de l’empire ottoman sont remises en mandat par la SDN à la France (Syrie, Liban) et à l’Angleterre (autres terres arabes) ; ces derniers ont promis au cherif de la Mecque la constitution d’un grand royaume arabe et aux juifs la création d’un « foyer national » en Palestine (déclaration Balfour de 1917). Les Britanniques créent en Palestine une situation explosive quand en 1937 ils proposent le partage de la Palestine

Othman Benjelloun, qui venait de lancer un raid boursier sur la SNI, un autre holding royal 1. Puis, dans les deux ans qui suivent, l’ONA pâtit de la stratégie désastreuse de Mourad Chérif, qui y sévit comme P-DG de 1999 à 2002. Surnommé « Mourad II 2 » par ses employés en référence au calife ottoman Mourad Ier, Chérif est atteint d’un sévère syndrome d’autosuffisance et reproduit à volonté les comportements du Makhzen : obséquieux avec les puissants, odieux avec les faibles. C’est ainsi qu’il