Cheval sauvage

Tendis que la fuite semble être l’action générale Hippolyte l’exclut, de nombreux éléments sont personnifiés pour illustrer l’évènement tragique qui va se produire « Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage, La terre s’en émeut, l’air en infecté, Le flot, qui l’apporta, recule épouvanté. ». Le lexique de la mort prend place « Dépouilles, Reliques,.. », Hippolyte n’est plus. A la suite de ça Théramène offre lui-même

Paris, déclara la Messe comme finie. Cette église se trouvait non loin de la ville, mais était pourtant très isolée, elle était dans un patelin plutôt verdoyant, où la nature avait trouvé refuge. Il n'était pas rare de croiser écureuil, lapin, chiens sauvages et chênes centenaires dans le coin. Le terrain était vague, est traversé par une petite route inachevée, construite par les habitants de la ferme voisine à cette église, cailloux et trous à reboucher était le quotidien de ces fermiers pour entretenir

était temps de s'en aller, et chacun gagna son lit. On se leva encore d'assez bonne heure le lendemain avec un espoir indéterminé, un désir plus grand de s'en aller, une terreur du jour à passer dans cette horrible petite auberge. Hélas ! les chevaux restaient à l'écurie, le cocher demeurait invisible. On alla, par désœuvrement, tourner autour de la voiture. Le déjeuner fut bien triste. Guy de Maupassant, Boule de Suif, 1880. Exercice 2 Dans cet extrait de la nouvelle de Maupassant La

Grenelle, Paris Tant que la terre durera, les semailles et les moissons le froid et le chaud, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point de s’entresuivre. À mon père et à ma mère PREMIERE PARTIE 1888 CHAPITRE PREMIER Le cheval s’arrêta au sommet d’un tertre pelé. Michel Danoff leva la main en visière à ses yeux. Les rayons du soleil écorchaient violemment son visage. Devant lui, à perte de vue, s’étalait un pays d’herbe haute, où le vent animait de brusques remous de métal

est considéré comme un traite. -Et tous les malheurs qui frapperont la ferme seront de sa faute. -Ce cochon symbolise Trotsky. BRILLE-BABIL. -Un goret. -Il justifie toutes les actions de Napoléon. -Il symbolise la propagande. MALABAR -Un cheval. -Un grand travailleur. -Malabar symbolise le stakhanovisme (c'est-à-dire qui est tout ce qui fait pour impliquer le travailleur et l'inciter à adhérer aux objectifs de performances de son entreprise). MOÏSE -un corbeau -il travaillait pour

; page 56 ; page 86 ; page 34-35 ; page 40 - 41 10- Le temps Champ lexical du temps : le vent, la neige, le soleil, le froid, jour plus chaud, 11- Les animaux Champ lexical des animaux : les koulanes, l'âne sauvage, les chameaux, la pie, un poney, des moutons, yaks, chevaux, chiens noirs, la perdrix, l'alouette, des moutons, un lièvre, un faisan, du gibier, antilope, des agneaux, une oie, un canard, des cigognes, de chèvres. (Pages 111 - 112 - 113 - 114 - 115 - 117 - 127.) .

rhétoriques employées. Maintenant intéressons nous au registre épique qui suscite, de l’admiration pour Hippolyte. Tout d’abord, le thème de la guerre, du combat créer une scène héroïque de part un grand nombre d’adjectifs, et de noms tels que « chevaux » ; « sang » ; « coursiers », ou encore « javelots ». En outre, plusieurs figures d’amplifications se cumulent. Telles que les gradations. Ici, en l’occurrence on peut dire que cet extrait entier en est une, il y a une progression de l’horreur, de

semaines de stage dans un centre équestre. Le centre équestre XXXXX situé en plein cœur des marais du ---est un centre qui non seulement dispense des cours d’équitation mais organise de nombreux concours Ponam, club, amateur, professionnel, jeunes chevaux… Grâce à mes dix semaines de stage, j’ai compris le fonctionnement d’un centre équestre ainsi que l’organisation de concours. Dans un premier temps, je vais vous présenter l’entreprise : sa situation géographique et son historique. Deuxièmement

combat : Hippolyte et ses soldats font marche vers une bataille. En effet, le champ lexical est celui de la guerre. Au vers 2 on peut voir « char » et « gardes » qui sont des outils pour la bataille. Il y a aussi la présence des coursiers qui sont les chevaux que l’on utilise pour se battre. On peut également noter la présence d’armes non seulement celles de l’apparition monstrueuse au vers 20 (« Son large front est armé de cornes menaçantes ») mais aussi celles du vaillant Hippolyte aux vers 31 et 32 :

que deux jours par semaine dans la demeure citadine de ses parents. Le reste du temps, il vivait chez son oncle, l'assistant dans son travail d'élevage de chevaux. C'était un adolescent très joyeux de nature. Il avait parfois des allures un peu étranges, mais il demeurait toutefois très aimable. Il me proposait souvent une promenade en cheval. Je préférais nettement mes petites balades en solitaire dans les champs de tournesols, mais il avait l'air si heureux de me voir accepter, que j'étais contente