Cheveu

d’enfance. Mr Hinkel, âge inconnu Taille modeste (1m75), fin, cheveux châtain cours, yeux marron Réservé, surdoué, farfelu… Père de Lia (?), il est archéologue. Il veut prouver l’existence d’un autre monde. Il cache aussi un lourd secret : Louz ne viendrait pas de la Terre et ne serait peut être pas sa fille. Paula, 14 ans Amie d’enfance de Lia, elle n’apparaîtra que début de l’histoire. Molka, âge inconnu, naine Petite, cheveux châtain roux, yeux verts Liste des chapitres Chapitre

pour homicides à vingt-neuf ans de prison ferme. Cinq de ses patientes sont mortes sur la table d'opération des suites de liposuccion entre 2000 et 2002, 29 autres l'ont poursuivi pour les déformations graves qu'elles ont subies. De la racine des cheveux aux doigts de pieds en passant par le remontage des fesses (très tendance) ou le rembourrage des mollets de coq, tout est possible. Et, comme pour la lecture de Tintin, ça va de 17 à 77 ans. « Je vois arriver dans mon cabinet de toutes jeunes filles

Bel Ami Chapitre 1 : Georges Duroy est un ancien militaire, beau garçon (bond châtain, grand, il a une moustache, des yeux bleu clair, et des cheveux frisés) mais après être arrivé à Paris il se rend compte qu’ici la vie n’est pas aussi belle qu’elle n’y parait et deviens très bien qu’un employé aux bureaux du chemin de fer du Nord et ne gagne que quinze cent franc par ans. Il envisage de devenir écuyer, travail beaucoup mieux rémunéré cependant un soir il rencontre un ancien ami, militaire Forestier

Georges Duroy n’est qu’un petit sous-officier sans le sou, mais il possède quelques atouts maîtres qui vont lui permettre de réussir. G. Duroy est un homme de grande taille, bien fait, aux cheveux frisés blond châtain, à la moustache retroussée, "aux yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite. Bel-ami est un homme qui sait se servir de tous ses atouts pour arriver à ses fins. Il a la volonté de tout avoir mais il doit tenir compte de ses médiocres connaissances ; en effet il n’est pas

qui prouve que les artistes de l’époque transforment la réalité pour mieux se rapprocher de leur conception de l’idéal féminin. Penchons-nous sur les détails de cet idéal : - Les cheveux étaient longs et d’un blond vénitien. Certaines femmes développaient de nombreuses techniques afin d’obtenir des cheveux blonds. - C’était une peau blanche comme du lait qui primait. En effet, un hâle ou un teint basané été refusé dans la société distingué car ceci était synonyme de travail, une valeur

protocole du service et une chemise propre pour le jour de l’intervention. De plus, je vérifie la dépilation sous l’aisselle gauche. Enfin, je reviens sur la douche antiseptique en lui disant de ne pas oublier les cheveux ce soir. Madame « J » me répond : « De toute façon, je n’ai plus de cheveux, je porte une perruque ». Je me suis sentie mal à l’aise et me suis excusée auprès d’elle. De retour dans la salle de soins, je consulte son dossier et lis dans ses antécédents médicaux : « cancer du sein gauche

jeunes femmes de l'époque se coupent les cheveux très courts, ce qui continue et amplifie le phénomène connu durant la Grande Guerre, lorsque les femmes qui remplaçaient les hommes dans les usines, se coupaient les cheveux pour être plus à l'aise. La coupe garçonne, comme elle est appelée, choque énormément mais se répand paradoxalement très vite au sein de la jeunesse. On retrouve un passage où Monique demande à son amant s'il apprécie sa nouvelle coupe de cheveux, page 238 : "-Au fond, dit-elle, c'est

fraiche et éclatante et permettra d’affiner le grain de peau. Mon modèle, madame X est en string jetable, allongé confortablement sur le ventre, sur deux épaisseurs de drap d’examen et recouverte d’une serviette puis d’une couverture. Si besoin les cheveux sont protégés par une charlotte. Une fois les parties du corps nettoyés avec une lotion, un gel ou une mousse nettoyante, je prélève dans ma coupelle à l’aide d’une spatule désinfecté la quantité de gommage nécessaire. Je le chauffe au creux de ma

donne un air viril : il « frisa sa moustache retroussée, qui semblait mousser sur sa lèvre ». Ce gros plan sur sa bouche annonce également son image de séducteur : il est celui que toutes les femmes voudront embrasser ! Quant à la blondeur de ses cheveux, associée à ses yeux « bleus, clairs », elle rappelle ses origines normandes, mais contraste avec les critères traditionnels de beauté du héros romantique, brun aux yeux sombres. Sa coiffure, avec « une raie au milieu du crâne » correspond à la mode

C’est en 1904 qu’Alfred Amour Garnier commercialise les premières lotions capillaires sous la marque « Garnier ». Produit révolutionnaire à l’époque ou les gens se lavent encore les cheveux avec du savon, il séduit avant tout les femmes qui se l’arrachent comme le dernier jean à la mode. Spécialiste des teintures pour cheveux, c’est en 1909 qu’il cède l’enseigne, encore artisanale à un prénommé Gobert. Après la guerre, le modeste magasin, devenu l’Institut Garnier, prend le nom des « Laboratoires Garnier