Chico Mendes

laisse pas mettre en cause son unité [ ... ]. Jamais la France, jamais aucun Parlement, jamais aucun gouvernement ne cédera sur ce principe fondamental. L'Algérie c'est la France, et non un pays étranger que nous défendons. » Déclaration de Pierre Mendès France, chef du gouvernement français, devant l'Assemblée nationale, 12 novembre 1954i[ Document 5 : La traque des « rebelles » Fiche de recherche de police judiciaire concernant Ahmed Ben Bella. Leader du FLN, il sera en 1962 premier président

dictature de Mobutu à partir de 1965. - L'Afrique du nord française : les protectorats du Maroc et de Tunisie  Des décolonisations difficiles, mais où l'on évite le pire. Une colonisation plus superficielle qu’en Algérie. Action décisive de Pierre Mendès France qui reconnaît l’autonomie interne de la Tunisie (discours de Carthage, juillet 1954). Indépendance du Maroc et de la Tunisie en 1956. - La "sale guerre" d'Indochine (1946-1954) Le 2 septembre 1945, le Vietminh dirigé par le communiste Hô

Drapeau de la France MPC (1961-1962) Drapeau de la France FAF (1960-1961) Oas logo public.svg OAS (1961-1962) Commandants Krim Belkacem Mostefa Ben Boulaïd Ferhat Abbas Larbi Ben M'Hidi Rabah Bitat Mohamed Boudiaf Lakhdar Bentobal Pierre Mendès France Guy Mollet René Coty Jacques Massu Maurice Challe Charles de Gaulle Jacques Dauer Saïd Boualam Pierre Lagaillarde Raoul Salan Edmond Jouhaud Antoine Argoud Jean-Jacques Susini Roger Degueldre Jacques Soustelle Georges Bidault

Durant cette journée, de nombreuses bombes explosent dans toutes les grandes villes d’Algérie, à Alger, à Oran et à Constantine. La France réprimandent violemment les attentats, et François Mitterrand, Ministre de l’Intérieur du gouvernement Pierre Mendès France, appelle à « rétablir l’ordre ». Dès lors, le gouvernement met en place une double mission, dit de ratissage et de quadrillage. Le but étant l’arrestation des membres du FLN. Néanmoins, cette politique n’a pas le succès escompté et en mars

L’émancipation des protectorats d’Afrique du Nord   • En Tunisie, le Néo-Destour de Bourguiba agissait depuis longtemps pour que soit mis fin au protectorat. Malgré les arrestations et les menaces, le mouvement populaire prend de l’ampleur. Pierre Mendès France accorde en 1954 une large autonomie interne, prélude à une indépendance devenue inévitable (1956). • Une évolution comparable se produit au Maroc. En 1953, la France  dépose le sultan qui exigeait la réforme du protectorat, puis recule devant

droites conservatrices. L'année 1953, où il quitte le gouvernement de René Laniel et prend la direction de son parti, l'U.D.S.R., sur une ligne de gauche, marque de manière claire et définitive son passage à gauche – il participera aux gouvernements Mendès France en 1954 et Mollet en 1956. Ce passage, toutefois, ne constitue pas une rupture totale avec les valeurs de son milieu d'origine. La tonalité anticapitaliste du programme commun et son vaste programme de nationalisations puis les mesures des

par les gouvernements de la « troisème force » : SFIO et MRP ( centre-gauche et centre-droit ) : grande instabilité gouvernemental 1952 : Antoine Pinay président du conseil 1953 : René Coty nouveau président de la république. 1954 : Pierre Mendès France président du conseil : fin de la guerre d’Indochine ( 20 juillet : accords de Genève ), début de la guerre d’Algérie ( « Toussaint rouge » le 1er novembre ). 1956 : gouvernement Guy Mollet 1957 : la France rentre dans la CEE 1958

de vider les prisons. 5 mars 1953 : Staline meurt. 1954 : La Toussaint "sanglante" ou "rouge" marque l’apparition du FLN pendant une période d'attentats visant à revendiquer l’indépendance de l’Algérie. 1954 : Accords de Genève signé par Pierre Mendès France: la France affirme l’indépendance de l’Indochine après la défaite française de Diên Biên Phu. 1955 : Conférence de Bandoung. Les dirigeants des pays décolonisés sont rassemblés dont Nehru (Inde), Nasser (Egypte), et Sukarno (Indonésie). Ces

Mitterrand dans un éditorial du Courrier de la Nièvre. Les auteurs et commanditaires de l'attentat, Philippe Castille, Michel Fechoz et René Kovacs notamment, avaient motivé leur action par la nécessité de remplacer le général Salan, considéré avec Pierre Mendès France comme le liquidateur de l'Indochine, par un général authentiquement favorable à l'Algérie française. Pour François Mitterrand, « Raoul Salan garde le droit de récuser certains de ses accusateurs qui, pour corriger la maladresse de l'avoir manqué

de même ancrée à gauche. D’un autre côté on a une poussée mendésiste. En effet Pierre Mendès France parvient à séduire de nombreux clercs et bénéficie alors de leur soutien. Cela s’explique d’abord par l’éveil d’une nouvelle classe d’âge intellectuelle. Il faut au 18-25 ans de 1955, sous peine de tourner le dos à la politique se trouver de nouvelles marques. C’est pourquoi la plupart se tourne vers Pierre Mendés France. Le nombre de jeunes intellectuels touchés à ce moment est tel que l’on parle d’une