Chiens de prairie

se contentent de vivre leur vie, sans se soucier qu'ils modifient le milieu naturel dans lequel ils vivent, alors que l'homme modifie grandement son milieu de manière à le rendre plus confortable pour son style de vie, un peu comme le fait un chien de prairie lorsqu’il se creuse un trou pour y vivre. En fait, ce qui distingue l'homme est que celui-ci peut, s’il le veut, prendre conscience des dommages qu'il fait autour de lui. L'homme est aussi le seul être vivant qui peut générer de la destruction

couleurs est surtout verdâtre sur la partie basse, verdoyant et orangé sur la partie centrale et violâtre sur la partie haute. Le tout est inondé par une lumière jaunâtre. Au premier plan, deux sentiers orangés sont tracés parallèlement dans une prairie de hautes herbes vertes claires et suivent une courbe oblique pour se rejoindre à l’orée d’un bois sur la gauche au milieu du tableau. Un homme marche sur le sentier de gauche. Il porte un chapeau de paille, un pantalon et une veste orangés. Sur son

protection de ses sujets en l'échange de service. -champs lexical de la richesse «or» «soie» «pierreries» «houlette d'or» renvoi à la richesse que Louis XIV possédait (Ex: Versailles) -cadre idyllique → champs lexical de la nature «colline» «prairie» «herbe» II- Plusieurs registres au service de l'argumentation. A-Registre lyrique -L'auteur s'adresse au lecteur «quand vous voyez» -Pose des questions aux lecteurs «quelles conditions vous paraît la plus délicieuse et la plus libre»

découvre la splendeur du monde et je m’afflige de ne pouvoir remercier son créateur. Mais, tant de roses me consolent, tant de lèvres s’offrent aux miennes ! Laisse ton luth, ma bien-aimée, puisque les oiseaux se mettent à chanter. Au milieu de la prairie verte, l’ombre de cet arbre ressemble à une île. Passant, reste où tu es, là-bas ! Entre la route que tu suis et cette ombre qui tourne lentement, il y a peut-être un abime infranchissable. Luths, parfums et coupes, lèvres, chevelures et longs

qui contribuera au maintient de la biodiversité à la protection des espèces et recréera des espaces d'échange entre les différents milieux naturels . Je m'inplique en tant qu'observateur dans l'inventaire des oiseaux. Je fauche un champs ou une prairie en partant du centre vers l'extérieur et non l'inverse comme il est généralement pratiqué dans le cas présents la petite faune affolées à tendances a se regroupées au centre qu'un dernier coup de lame va envoyer immanquablement ad patres, L'inverse

d'après Véronèse © Palais des Doges La jeune princesse fit un jour un rêve étonnant où deux continents personnifiés tentaient de la séduire. Le matin venu, pour chasser ce rêve étrange, elle alla avec ses suivantes cueillir des fleurs dans une prairie voisine. C'est là que Zeus aperçut la jeune fille jouant avec ses compagnes et il en tomba immédiatement amoureux. Il jugea plus prudent de se changer en taureau pour échapper à la surveillance de sa femme Héra et pour mieux approcher les jeunes

de se marier. Mais ce bonheur fut de courte durée… Le mariage fut une fête pour tous les invités, chacun se réjouissant du bonheur des jeunes époux. Mais tandis qu'elle prenait l'air avec ses amies, Eurydice fut mordue par un serpent, et dans la prairie résonnèrent les cris des jeunes filles épouvantées. Bientôt, Orphée parvint auprès de sa bien-aimée, inanimée. Le visage du jeune homme était transformé ; il ne pouvait laisser échapper ni larme ni cri tant sa douleur était grande. Comment pouvait-il

agent de police, une femme de ménage, et un employé du métro. On a fouillé toutes les maisons, visité toutes les caves, inspecté les égouts, et l’on a rien trouvé du tout. Mais, dans le jardin de la sorcière, il y avait trois animaux nouveau : un chien vert, une chatte jaune et une taupe orange, et celle-ci ne cessait de creuser des galeries. Alors les gens de mon quartier se sont mis en colère. Ils ont pris la sorcière et l’on menée chez le commissaire. Et le commissaire lui a demandé. - Sorcière

de l'enfer ; mais aussi toute joie m'est enlevée. Je ne crois pas savoir rien de bon en effet, ni pouvoir rien enseigner aux hommes pour les améliorer et les convertir. Aussi n'ai-je ni bien, ni argent, ni honneur, ni domination dans le monde : un chien ne voudrait pas de la vie à ce prix ! Il ne me reste désormais qu'à me jeter dans la magie. Oh ! si la force de l'esprit et de la parole me dévoilait les secrets que j'ignore, et si je n'étais plus obligé de dire péniblement ce que je ne sais pas ;

huile sur toile représente un homme blessé au cœur couché au pied d'un arbre. A côté de cet homme, qui est en réalité Courbet, est posé une épée, sûrement celle qui a blessé l'homme couché. En arrière plan nous pouvons distinguer plus ou moins une prairie. A travers ce tableau, une souffrance se fait ressentir, d'une part les couleurs sourdes et ternes créent une atmosphère angoissante qui pourrait refléter l'angoisse du peintre, la main crispée du personnage accentue cette souffrance. Nous ne savons