Chimiothérapie

par le Centre Régional de Cancérologie Henry S. Kaplan – un volume important, qui s’appuie sur des compétences humaines très pointues, des protocoles complexes, et une organisation efficace et sécurisée. «Préparations toxiques s’il en est, les chimiothérapies anti-cancéreuses doivent en effet être maniées avec prudence par l’équipe de l’UBCO. L’accès à l’unité est ainsi règlementé, et nous disposons d’équipements particulièrement performants. Les quatre isolateurs constituent le cœur de notre activité

Melle H.âgée de 18 ans, est hospitalisée dans l'unité de soins où vous travaillez pour sa troisième cure de chimiothérapie. Melle H. vit avec ses parents. Elle est affiliée à la Sécurité Sociale de ses parents. Melle H. est en dernière année de lycée section ES. La découverte de la maladie de Hodgkin a été fortuite. Il y a trois mois, Melle H. a consulté pour une fatigue intense qu'elle attribuait aux études, une sueur inexpliquée et une adénopathie. La biopsie ganglionnaire ainsi que le scanner

de la résection première de la tumeur primitive (TP) avant de mettre en route la chimiothérapie est débattu. Aucune étude randomisée ne permet de répondre à cette question. L’attitude revendiquée par certaines équipes était de proposer la colectomie première pour prévenir le risque de complications liées à la TP sous chimiothérapie (saignement, occlusion, perforation). Cependant, les progrès récents de la chimiothérapie ont permis d’améliorer significativement la médiane de survie des patients porteurs

Article Blanquart et al. INTRODUCTION : Le mésothéliome pleural malin (MPM) et l’adénocarcinome pulmonaire sont très résistants aux traitements thérapeutiques conventionnels (chimiothérapie). Il n’y a pas de traitement pour guérir le MPM mais des stratégies peuvent être utilisées tels que l’utilisation de de cisplatine (= elle se fixe sur les bases puriques A/G ce qui entraine une variation de la conformation locale du double brin d’ADN ce qui inhibe la réplication et la transcription de l’ADN

l’utérus et l’utérus. On doit donc être certain de ne plus vouloir d’enfant. Les autres traitements sont la chimiothérapie et la radiothérapie. La chimiothérapie arrête la formation de nouvelles cellules cancéreuses et empêche la division de cellules qui ferait grossir la tumeur. La radiothérapie, elle, sert a tuer complètement les cellules cancéreuses à l’aide d’élément radioactifs. La chimiothérapie et la radiothérapie sont souvent utilisés en même temps pour favoriser la guérison. Outre ces traitements

différentes phases : Préphase (De J-1 à j-7) : Corticoïdes à haute dose (régime alimentaire strict : sans sel, sans sucre) et, une injection de chimio dans le canal rachidien. Induction (De j-8 à j-21) : Corticoïdes à haute dose et différentes chimiothérapies. Ces traitements anticancéreux bloquent temporairement l'activité de la moelle osseuse (c'est-à-dire la production de globules blancs et rouges ainsi que des plaquettes), donc, le risque infectieux est élevé. C'est pour cela que le malade est

osseuse Les cancers du sang, comme la leucémie et le myélome multiple, affectent les cellules sanguines de la moelle.   • La chimiothérapie Elle peut endommager les tissus de la moelle osseuse qui fabriquent les cellules sanguines. Les personnes qui ont des troubles du foie ou du rein risquent davantage d’être atteintes d’aplasie médullaire en cours de chimiothérapie puisque leur corps ne peut pas décomposer les agents chimio thérapeutiques. 11 ETIOLOGIE La radiothérapie Elle peut endommager

Cancer, j’ai pu pratiquer la surveillance de patients en cure de chimiothérapie. Les effets secondaires de la chimiothérapie sont conséquents et nécessitent une surveillance infirmière accrue. C’est dans le cadre d’une telle prise en charge que se déroule mon analyse d’activité de soin. 1. Description Madame V., 42 ans, 1m77 pour 66kilos (IMC normal : 22,84) est hospitalisée le 26/04/13 pour la réalisation d’une 2ème chimiothérapie d’intensification avec autogreffe, dans le cadre d’un adénocarcinome

tumeur et 50 grays sur les aires ganglionnaires. Elle fait le plus souvent suite à la chirurgie tumorale. * La chimiotherapie Elle fait appel au CISPLATINE et au 5 FU. Elle peut être associée à la radiothérapie dans les carcinomes de l’oropharynx non opérables ou en postopératoire lorsqu’il existe des éléments de mauvais pronostic. Ici, le protocole détermine une chimiothérapie et radiothérapie concomitante. La chirurgie doit toujours être avant la radiothérapie car la radiothérapie entraine

sécurité sociale à 100 % pour sa pathologie cancéreuse. Elle possède également une complémentaire santé : BCAC Paris. 1. MOTIF D’ENTREE  Madame P. est hospitalisée suite à une pose d’une voie veineuse centrale et une première cure de chimiothérapie à l’Institut de Cancérologie de l’Ouest (ICO) Paul Papin à Angers. 2. HISTOIRE DE LA MALADIE Le 27 août de cette année, madame P. est en séjour touristique en Russie. Quelques jours avant son départ, elle se plaint d’asthénie et de dyspepsie