Chirurgie

Bilans réalisés à titre de dépistage d’affections cliniquement asymptomatiques : ECG. Radiographie du thorax. Ionogramme. Créatinine. Bilans souhaités par l’anesthésiste : Avant une anesthésie locorégionale : bilan d’hémostase. En cas de chirurgie à risque hémorragique : groupe sanguin et recherche d’agglutinines irrégulières de moins de 3 jours. L'évaluation du risque anesthésique : la classification de l'ASA L'ASA (American Society of Anesthesiologists) à établit une classification

I – INTRODUCTION La situation que je vais vous présenter, s’est déroulée au sein d’un établissement privé à but lucratif au début de la deuxième semaine de mon second stage en tant qu’élève aide –soignante dans un service de chirurgie orthopédique où ce jour là étaient présentes 3 infirmières, 2 aides soignantes et moi-même. C’est au cours d’une journée particulièrement chargée que j’ai vécu une après midi que je qualifierais d’intense émotionnellement et dont le niveau de tension n’avait

hormono-sensibles a son importance dans les mécanismes qui conduisent à l’incontinence post ménopausique. - Une obésité, une constipation ,une toux chronique, pouvant entrainer une hyperpression pelvienne. -De facteurs de risque congénitaux. -Une chirurgie pelvienne. CONCLUSION : L’incontinence urinaire est souvent multifactorielle et complexe .l’interrogatoire est capital pour rechercher le mode de survenu, l’importance des fuites, la gêne fonctionnelle et le retentissement psychosocial que

la part des adultes, qui ne m'avaient amadoué que pour se livrer sur ma personne à la plus sauvage agression. Toute ma représentation de la vie en est restée mar- quée : le monde, plein de chausse-trapes, n'est qu'une vaste prison ou salle de chirurgie ; je ne suis sur terre que pour devenir chair à médecins, chair à canons, chair à cercueil ; comme la promesse fallacieuse3 de m'emmener au cirque ou de jouer à faire la cuisine, tout ce qui peut m'arriver d'agréable en attendant n'est qu'un leurre

Le recueil de données : 1) Présentation du service : C'est un service de chirurgie digestive et générale. Le service est divisé en deux secteurs et composé de 22 chambres dont deux chambres doubles ce qui correspond à un total de 24 lits. 2) Présentation de la personne soignée : Il s'agit de Madame W., née en Alsace, elle a 50 ans. Elle est mariée et a un enfant qui n'est plus à sa charge. Elle vit dans une commune Haut- Rhinoise proche de Colmar. Elle a été admise dans le service le

d’orange. L’hôpital d’orange a été crée en Février 1993 cette structure compte différents services organisés en 5 pôles: -Pôle médecine -Pôle urgence-SMUR -Pôle Chirurgie Maternité -Pôle Soutien technique -Pôle Administratif et logistique -Hors pôle Les consultations externes: Stomatologie, ophtalmologie ,ORL ,chirurgie générale et digestive ,urologie ,cardiologie ,pneumologie ,rhumatologie ,centre de dépistage anonyme et gratuit du SIDA ,planning familial *Santé public Les missions

détecté précocement, plus les chances de guérir sont élevées. Le diagnostic repose sur les examens radiologiques (scanner cérébral et IRM) et sur la biopsie de la tumeur qui permet l'examen histologique des cellules. Les traitements font appel à la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Le choix des traitements dépend de la nature de la tumeur et de sa localisation dans le cerveau. Une surveillance prolongée est nécessaire pour prendre en charge les effets secondaires des traitements et pour

Transmissions écrites dossier de soins, site de l’injection, dose injectée, surveillance, heure et signature. Bilan bio fait à domicile car départ du patient le jour même. Effectuée dans la cuisse en chirurgie abdominale à cause des risques hémorragiques et des hématomes alors qu’en chirurgie des membres inférieurs ont les préconisent au niveau de l’abdomen.

cicatrisation : pansements hydro colloïdes +/- pansements absorbants ou pansements hydro cellulaires. Traitement chirurgical : par chirurgien plasticien (chirurgie reconstructrice et réparatrice). PARTICULARITES En France, l’étude de BARBUT menée dans un CHU parisien rapportait une prévalence de 6.9 % (20.6 % en soins intensifs, 5.8 % en médecine et 5.8 % en chirurgie). Elle montre en outre que 80% des escarres ont été acquises à l’hôpital, confirmant son statut de maladie nosocomiale. L’ HAS fait état d’une

globalité. Dans ce document, je vais m’attarder sur la collaboration infirmier-aides-soignants, comme demandé. Lors de mon précédent stage, en chirurgie orthopédique, j’ai pu constater que cette collaboration était omniprésente dans les soins. En effet, la plupart des soins apportés aux personnes soignées étaient effectués par ce binôme. De plus, un service de chirurgie demande beaucoup d’organisation car il y a souvent une charge de travail importante, notamment lors des soins d’hygiène et de confort, les