Chlamydia trachomatis

Chlamydia trachomatis, une bactérie intracellulaire obligatoire Le cycle de multiplication et différenciation de Chlamydia trachomatis se déroule dans le cytoplasme des cellules eucaryotes. Deux formes bactériennes participent au déroulement du cycle intracellulaire commun à l'ensemble des bactéries du genre Chlamydia. Les corps élémentaires infectieux et les corps réticulés contribuent à la formation, dans le cytoplasme de la cellule hôte, d'une véritable colonie bactérienne appelée inclusion ­

qui correspond à environ 84 millions de personnes atteintes de la forme active et 7,6 millions de personnes ayant une déficience visuelle sévère ou aveugles en raison du trachome. Le trachome est une kératoconjonctivite transmissible due à Chlamydia trachomatis, qui pose des problèmes de santé publique dans les régions défavorisées, principalement en Afrique et en Asie. Cette affection touche essentiellement les enfants et les femmes. Elle est répartie de façon très inégale dans les communautés atteintes

persistance doit faire rechercher un autre germe associé avant d’évoquer une urétrite non spécifique post-gonococcique. La persistance d’une infection après un traitement correct doit faire rechercher : – un autre agent microbiologique associé : Chlamydia trachomatis, Trichomonas vaginalis, mycoplasme ; – une mauvaise compliance au traitement ; – une recontamination au cours de rapports sexuels (« effet ping-pong ») ; – une contamination urétrale à partir d’un foyer ano-rectal, d’une prostatite, d’une

micro-organisme responsable de la chlamydiose sappelle Chlamydia trachomatis. Cest une petite HYPERLINK http//www.futura-sciences.com/fr/doc/t/medecine-1/d/bacteries-et-microbes-en-tout-genre_704/c3/221/p1/ Dossier bactries et microbes en tout genre _blankbactrie (300 HYPERLINK http//www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dico/d/physique-nanometre-2517/nanomtres), qui cause une infection des parties gnitales. Chlamydia trachomatis, bactrie responsable de la chlamydiose Les symptmes

moléculaire Valeurs de référence Antériorités Chlamydia trachomatis et/ou Neisseria gonorrhoeae (gonocoque) (PCR en temps réel – Seegene) INOVIE Labosud – site Montpellier Garosud Origine du prélèvement .................................. Génital ✗ Recherche d'acides nucléiques Chlamydia trachomatis ...................... Négative Neisseria gonorrhoeae (gonocoque) ..... Négative Pour le dépistage des infections uro-génitales basses à CHLAMYDIA TRACHOMATIS, la HAS recommande : ● Un dépistage opportuniste

infections hautes, une fois la phase aiguë passée, sont à l’origine de séquelles lourdes : algies pelviennes chroniques, grossesses extra-utérines, stérilité tubaire. L des micro-organismes fréquemment ’un en cause est Chlamydia trachomatis, qui a remplacé Neisseria gonorrhœæ. Chlamydia trachomatis est à l’origine d’infections moins bruyantes que par le passé, parfois très peu symptomatiques, mais dont les conséquences négatives sur la fertilité ultérieure sont toutefois identiques. Épidémiologie et germes

aux organes et la mort. Beaucoup de cas d’infection n’ont aucun symptômes et demeurent inconnus jusqu’à ce que de sérieux dommages ne se soient effectués. Les taux d’infection de la chlamydia ont plus que doublés lors de la dernière décennie. 48% des infections diagnostiquées proviennent de la chlamydia La chlamydia est la première cause évitable d’infertilité Le 2/3 des victimes sont des jeunes femmes entre 15 et 24 ans Les taux de la gonorrhée ont augmentés de 132% dans la dernière décennie

transmissibles, ou IST, sont dues à des micro-organismes pathogènes de quatre types : des bactéries (syphilis, infection à chlamydiae), des champignons microscopiques unicellulaires, ou levures (candidoses génito-urinaires) des protozoaires (trichomonase), des virus (herpès, hépatite virale B, sida). Chlamydiose : Elle est due à une bactérie (Chlamydiae trachomatis) qui, pour se reproduire, détourne le métabolisme des cellules, à la manière d'un virus. C'est une maladie très fréquente,

: - © Université Médicale Virtuelle Francophone - - Support de Cours (Version PDF) - virus (HPV, herpès (cf. glossaire), HIV, CytoMégaloVirus (cf. glossaire) (CMV), hépatite B (cf. glossaire) et hépatite C (cf. glossaire), bactériens (Chlamydia (cf. glossaire), mycoplasme (cf. glossaire), Gardnerella (cf. glossaire), gonococcie (cf. glossaire), syphilis (cf. glossaire)), mycologiques (candidoses (cf. glossaire)), parasitaires (Trichomonas (cf. glossaire)). I QUELLES SONT LES PRINCIPALES

pathogènes diffèrent suivant les terrains. Penser chez la femme jeune à Staphylococcus saprophyticus qui peut représenter dans cette population jusqu’à 15% des cystites aiguës. DEMANDES SPECIFIQUES Mycobacterium tuberculosis Leptospira spp Chlamydia spp Antigènes urinaires (légionellose, pneumocoque) CONCLUSIONS Examen apparemment « facile » à réaliser en pratique mais difficile en fait car l’interprétation des résultats n’est pas toujours aisée. Il est important d’avoir les renseignements