Choc pétrolier

sur le marché mondial du pétrole. Les bruts légers à faible teneur en soufre se vendent à des prix plus élevés que les bruts lourds et sulfureux, dont le raffinage est plus difficile et coûteux et dont on tire une moins grande quantité de produits pétroliers de grande valeur, l'essence et le carburéacteur par exemple. Pour le deuxième facteur, l’industrie pétrolière mondiale est gérée par un petit groupe d’entreprises : dix contrôlent 68 % des réserves prouvées du globe. Les plus grands producteurs

conflits liés au pétrole. Pendant la guerre froide, les enjeux pétroliers seront au cœur des tensions. Concernant les tensions israélo-arabes, elles déboucheront en 1973 sur le premier choc pétrolier. Le deuxième choc pétrolier trouvera aussi sa source en Iran et le prix du pétrole se verra multiplié par 2,7 entre la mi-1978 et 1981, ce qui déclenchera aux États-Unis la crise monétaire de 1980. L'expression « troisième choc pétrolier » est utilisée par certains pour désigner une augmentation des

précise les secteurs touchés par cette crise. Il s’agit de ­l’industrie traditionnelle qui emplois une main-d’œuvre nombreuse et peu qualifiée. 1. Les causes apparentes. Les chocs pétroliers sont les détonateurs. En 1973, le prix du pétrole est multiplié par quatre. En plus le monde connaît un second choc pétrolier en 1979. Cette instabilité économique est également liée aux différentes crises financières, en 1971 le dollars ne peut plus être convertie en or. Dans les années 1990, les pays industrialisés

secteur des transports. Parallèlement, on a découvert de nouveaux puits pétroliers dans le monde notamment aux Etats-Unis, au Mexique, au Kazakhstan. Cependant d’ici 2050, les nouvelles découvertes seront nettement plus faibles que dans les années précédentes. Le pétrole est par ailleurs une source de nombreux conflits qui ont provoqué de grandes variations du prix du baril : guerre du Kippour en 1973 (premier choc pétrolier), la révolution iranienne en 1979, l’attaque de l’Irak par l’Iran

1900-50 : - âge du charbon (94% conso en 1900 ⇒ révo. indus. + reconstruct° après 2°GM - diversification : houille blanche, hydro., pétrole - 1950-73 : ‘tout pétrole’ (charbon : 80%→20% conso) abondance et bon marché - 1973-79 : chocs pétroliers (Xcat° 5 prix) 40% : pétrole, 27% : charbon, 23% : gaz (en fort dvlpt), 7,5% : nuclé. civ., 2,5 % : hydro ⇒ réflexion critique sur consommat° énergétivore réduct° intensité énergétique Début du XXI° siècle : d’énormes besoins encore non couverts

précise les secteurs touchés parcette crise. Il s’agit de ­l’industrie traditionnelle qui emplois une main-d’œuvre nombreuse et peu qualifiée. 1. Les causes apparentes. Les chocs pétroliers sont les détonateurs. En 1973, le prix dupétrole est multiplié par quatre. En plus le monde connaît un second choc pétrolier en 1979. Cette instabilité économique est également liée aux différentes crises financières, en 1971 le dollars... [à continuer]

l’électricité et le pétrole (2ème révolution industrielle) et, de plus en plus, les biocarburants. La croissance économique ne peut se passer de son contexte énergétique. La preuve en est que le premier choc pétrolier de 1973 a contribué à précipiter à la fin de la croissance des Trente Glorieuses. Ce choc peut aussi être interprété comme une revanche d’une partie du Sud, en l’occurrence des pays arabes pour lesquels la hausse des prix du pétrole était une punition à l’égard des pays occidentaux soutenant

techniques et alimente la croissance. Bien que la croissance ne faiblisse pas, on observe surtout vers la fin de la période, un certain nombre de déséquilibres économiques : on assiste à une forte inflation de 1970 à 1973 surenchérie par un choc pétrolier. De plus, les industries traditionnelles commencent à perdre de leur compétitivité (métallurgie, textile...). Des problèmes d’énergies surviennent à cause de la consommation excessive de pétrole. D’autre part, force est de constater qu’une partie

Lamborghini doit faire face à une forte chute de ses ventes et se doit de vendre sa filière à un riche investisseur suisse Georges-Henri Rossetti. Il lui cède 51% de la firme pour 600 000$ (environ 460 000 €) 10) Le premier choc pétrolier L’arrivée du 1er choc pétrolier pénalise fortement les constructeurs de sportives comme Lamborghini, car les automobiles sont conçues pour leur performance et non pour leur consommation Ferruccio Lamborghini vend vend sa participation restante de 49 % à la compagnie

relativement récente, basée sur la fission de l’atome d’uranium en vue de créer la chaleur servant à produire la vapeur nécessaire à la production de l’électricité. Le développement de l’énergie nucléaire dans le monde a commencé après le 1er choc pétrolier de 1973 et a connu une croissance particulièrement élevée, eu égard à la conjonction de trois facteurs :   la forte augmentation des besoins énergétiques, 
  le contexte mondial caractérisé par le prix du pétrole qui a été brutalement multiplié