Chokri Belaïd

ont éclaté en Tunisie après la mort par balles d'une figure de l'opposition de gauche, Chokri Belaïd, le premier assassinat du genre depuis la révolution, qui provoque des manifestations dans plusieurs villes du pays et des attaques contre des locaux du parti islamiste au pouvoir Ennahda, accusé du meurtre par les partisans de Chokri Belaïd. (c) Afp - LE POINT A 17H41 GMT - L'assassinat par balles de Chokri Belaïd, figure politique de l'opposition tunisienne, a déclenché des manifestations de colère

gouvernement qui devait mettre un terme à la crise politique qui a suivi l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd le 6 février dernier. Les islamistes ont refusé de céder les ministères régaliens à des "technocrates". Hamadi Jebali a présenté sa démission. Le Premier ministre tunisien acte ainsi l'échec des négociations pour la formation d'un nouveau gouvernement deux semaines après l'assassinat de Chokri Belaïd qui avait provoqué les plus importants troubles en Tunisie depuis la chute de Ben Ali en 2011

rejet de ce cabinet par la classe politique, doit réunir les dirigeants de partis politiques à partir de 16h ce lundi. Hamadi Jebali a appelé à la création d'un cabinet apolitique le 6 février, quelques heures après l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd qui a déclenché une nouvelle vague de violences et aggravé la crise préexistante. Son initiative a été bien accueillie par la société civile et l'opposition laïque. Ennahda toujours opposé à un cabinet de technocrates De son côté, Ennahda

la Coupe de France 1941 et trois autres demi-finales (1935, 1938 et 1939). Lire la suite Contenus de qualité • Bons contenus • Sélection • Programme Actualités et événements 6 février : assassinat de Chokri Belaïd (photo), chef du Mouvement des patriotes démocrates, parti d’opposition en Tunisie. En réaction, des manifestations hostiles au gouvernement se multiplient dans le pays. 3 février : des archéologues identifient des restes humains mis au jour

|International |Assassinat de l'opposant au|Pour la première fois | Aux Etats-Unis, |Marina Silvia ancienne Ministre de |L’industrie Baleinière | | |régime tunisien Chokri |après 2007, Wall |l’agence américaine |l’environnement au Brésil lance un |Japonaise est maintenue | | |Belaîd |Street dépasse les |de l'immigration et |nouveau parti politique appelé |à flots grâce aux | | |le 6/02/13 |14

criant ce même slogan. Ces manifestations font suite aux déclarations de Manuel Valles, ministre français de l’intérieur, qui a évoqué un « fascisme islamiste qui monte un peu partout » après l’assassinat de l’opposant politique du parti Islamiste Chokri Belaïd. L’ambassadeur Français sur le sol tunisien François Gouyette a été  convoqué par le premier ministre Jebali afin de clore l’incident. Et même si les intentions de M. Jebali sont pacifiques, une certaine amertume se fait sentir dans ses propos

glissement échappent au contrôle de la BCT, et se nichent dans le jardin politique.  L’impasse politique pénalise davantage la monnaie tunisienne. La montée de l’insécurité et plus précisément la multiplication des assassinats à caractère politique (Chokri Belaid et Mohamed Brahmi) et des actes terroristes, comme ceux qui ont coûté la vie à huit de nos soldats au mont Chaâmbi, couplée avec la banalisation des grèves générales serait fort pénalisante pour le dinar dans un pays qui peine à retrouver le chemin

printemps arabe a provoqué l’effondrement des dictatures de Ben Ali en Tunisie et de Kadhafi en Libye en 2011 mais les lendemains de la révolution suscitent l’inquiétude. En Tunisie, la démocratie est menacée: le chef de l’opposition Chokri Belaïd a été assassiné en février 2013; les femmes ont été menacées de perdre les droits réels qu’elles avaient acquis à l’indépendance en 1956 grâce à Bourghiba même si l’ampleur de la protestation de la rue a contraint les islamistes

Nationale Constituante. Les 3 partis Ennahdha, CPR et Ettakatol ont formé une coalition d’où est issu le nouveau gouvernement mis en place le 13 décembre 2011 et dirigé par M. Hammadi JEBALI (Parti Ennahda). Le 6 février 2013, l’assassinat de Chokri BELAÏD, avocat tunisien, défenseur des droits de l'homme et secrétaire général du parti politique « Mouvement des patriotes démocrates », a ouvert une crise politique sans précédent qui a conduit le Premier ministre, M. Hammadi JEBALI, à démissionner

plébiscite. En Tunisie aussi, les Frères musulmans d'Ennahda ont dû abandonner le pouvoir, mais en douceur et au terme d'une interminable crise politique, qui a paralysé le pays d'août 2013 à janvier 2014. Déjà, le 6 février 2013, l'assassinat de Chokri Belaïd avait contraint le premier ministre islamiste Hamadi Jebali à la démission. Un nouvel assassinat, celui de Mohamed Brahmi, le 25 juillet, lui aussi attribué à la mouvance salafiste extrémiste, fragilise encore un peu plus son successeur, Ali