Choses Vu Un Jour De Printemps

première question que l’on se pose est bien sûr : Qu’est-ce que la Science ? Voici les expressions, phrases, termes qui nous viennent directement à l’esprit : -nécessité de prouver les choses -elle est basée sur le raisonnement -pas de dogmes -prouver par la logique -chercher à comprendre comment fonctionnent les choses -réduction de la complexité des phénomènes en éléments simples -expérience conclusion de 1)2)3) -lois qui expriment des régularités : elles sont exprimées sous forme de formules

filet de voix et s’en servait avec adresse du matin au soir, le printemps venu. Il se levait avec les camarades, dans l’aube grise et bleue, et leur éveil effarouché secouait les hannetons endormis à l’envers des feuilles de lilas. Il se couchait sur le coup de sept heures, sept heures et demie, n’importe où, souvent dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain. Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune sarment, le jabot en

| |Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, |Mon amour  | |Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. |Ma beauté  | |Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

pleurer Si j'avais su que cela te fasse tant de peine Lui dit le chat Je l'aurais mangé tout entier Et puis je t'aurais raconté Que je l'avais vu s'envoler S'envoler jusqu'au bout du monde Là-bas c'est tellement loin Que jamais on n'en revient Tu aurais eu moins de chagrin Simplement de la tristesse et des regrets Il ne faut jamais faire les choses à moitié REFRAINS ENFANTINS … Il pleut, il pleut Il fait beau Il fait du soleil Il est tôt Il se fait tard Il Il Il Il… toujours

Cela m'a amolli et rendu inutile au service d'autrui, et ne m'a fait bon qu'à moi. Et pour moi, il n'a été besoin de forcer ce naturel pesant, paresseux et fainéant. Michel de MONTAIGNE, Essais , Livre II, « De la présomption ». Texte 2 Deux choses presque inalliables s'unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la manière : un tempérament très ardent, des passions vives, impétueuses, et des idées lentes à naître, embarrassées et qui ne se présentent jamais qu'après coup. On dirait que mon

MARTHA, avec agitation. Ah ! mère ! Quand nous aurons amassé beaucoup d'argent et que nous pourrons quitter ces terres sans horizon, quand nous laisserons derrière nous cette auberge et cette ville pluvieuse, et que nous oublierons ce pays d'ombre, le jour où nous serons enfin devant la mer dont j'ai tant rêvé, ce jourlà, vous me verrez sourire. Mais il faut beaucoup d'argent Albert Camus, Le malentendu. Pièce en trois actes (1944) 18 pour vivre libre devant la mer. C'est pour cela qu'il ne faut

Damblon, suite à la publication de mes "Temps forts" et de son "Au bonheur de vivre". Aiguillonnés par la piquante abbesse du Chapitre XII, nous avons échangé des idées, mais le thème du bonheur ne m'a plus lâché. D'autant plus, sans doute, que le printemps renouvelle, chaque année, comme une promesse de bonheur. Les arbres flambent de fleurs candides, l'herbe partout reverdit jeunette, les oiseaux pépient joyeux et fous. Bref, la nature nous invite à renaître et les Chrétiens se répéteront, dimanche

la splendeur et la force barbare du pays neuf ou une racine ancienne a retrouvé son adolescence. » (p.51 de l’anthologie) Extrait no.2 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard « Tous ces rites des semailles où, dans la grande nuit de printemps, alternaient les parfums, les voix, la clarté de lune et d’étoile, étaient frères des cérémonies saintes, rappelaient l’encres, les cantiques, les cierges. Ils avaient, comme les rites d’Église, façonné l’âme des laboureurs, établi, au cours des

est celui de l’humanisme, de l’école de la Pleiade, et j’ai choisi 5 poèmes, tous de Ronsard chacun appartenant a un thème différent, présents dans la poésie lyrique : la mort, Je suis un homme né pour mourir, la nature, Comme un chevreuil que le printemps détruit, l’amour, Une beauté de quinze ans enfantine, la vie, Afin qu’à tout jamais de siècle en siècle vive. Et enfin, un poème sur la poésie épique, Je veux lire en trois jours l’Iliade d’Homère. Le XVIIème siècle comprend la baroque, et le classicisme

la boue, élément matériel et moralLa boue comme élément matériel : en lien avec l’état d’esprit du poète (paysage état d’âme) : lire le poème CI « Brumes et pluies » (p.160) : «  Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue, / Endormeuses saisons ! Je vous aime et vous loue / D’envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau / D’un linceul vaporeux et d’un vague tombeau  » : adéquation entre le décor et l’état d’esprit du poète en proie