Chrematistique Naturelle Et Chrematistique Mercantile

est la gestion du domaine agricole. Il faut trouver une solution naturelle au problème de l'économie: *L'eslavage, qui est théorisé par Aristote. (Cf cours de philo.) * L'élevage, l'agriculture, le brigandage, la pêche, la chasse. * Le troc, pour répondre à ses besoins, surplus de production alors échanges contre un produit qui n'est pas produit en grande quantité. Cela est naturel car cette forme répond aux besoins naturelles. Une fois que l'on commence avec le commerce internnationale, la

la cohésion sociale. A) Economique et Chrématistique chez Aristote 1) La place de l’Economique dans la pensée aristotélicienne (384-322 av. JC) On se base sur l’ouvrage « La politique » ou il traite des rapports entre ces deux sujets. Il affirme que l’Homme est par nature un animal politique : un être social destiné à vivre en communauté. Il doit s’incérer à la fois dans une petite communauté ( la famille) qui est la communauté « naturelle » par excellence, et dans une grande communauté

division du travail, Aristote pour sa part lui a permis de distinguer « l’économie » de la « chrématistique ». Il fait surtout référence à deux courants de pensée : * Le système mercantile qui faisait de l’industrie et du commerce les éléments moteurs de la richesse des nations et des souverains ; * Le système d’agriculture (pensée des physiocrates) qui se propose de découvrir les lois naturelles auxquelles obéit l’activité économique, et décrit la répartition des richesses entres les différentes

l'art de s'enrichir c'est-à-dire sur la chrématistique et il distingue deux façons de s'enrichir : La chrématistique naturel et la chrématisique mercantile (ou artificielle) ; la première consiste à s'enrichir pour satisfaire des besoin indispensable à la vie (se nourrir, se loger, se vêtir) ; la seconde vise à s'enrichir pour satisfaire des besoins superflus (produits de luxe, …) Si la chrématistique naturelle est justifiée il condamne la chrématistique mercantile. La finalité de l'existence ne peut-être

L’équilibre Ecoles de pensée : 1. Les préclassiques 2. L’économie politique classique 3. Les néo-classique Préclassique : 5° et 6° siècle avec la pensée grec (Aristote), la scolastique 12° et 13°s avec St Thomas d’Aquin, 16° fin 18° avec le Mercantile-physiocratie (F.Quesnay) Classiques : 1776 à 1870 l’éco politique classique avec SMITH, RICARDO, MALTHUS et MARX. Néo-classique : 1871 à 1850 la révolution marginaliste avec WALRAS, JEWONS, MENGER, MARSHALL et PARETO. Partie1 : Les préclassiques

esclaves ne peuvent revendiquer ce statut. En parallèle à cette évolution institutionnelle s’opère une évolution économique tout aussi importante. Sous le régime monarchique prévalait en effet une économie naturelle. BONCOEUR et THOUEMENT, Tom 1 de HPE, De Platon à Marx. « L’économie naturelle est une économie dans laquelle la production et la répartition sont organisées directement en quantité physique (en nature). La régulation de ce type de société est régie par les coutumes et l’autorité repose

elle-même : on veut améliorer le sort de la famille (bien être) => bonheur = base de la structure économique. La mauvaise, fausse richesse = accumulation de biens superflus. Bon et mauvais usage de la monnaie. La chrématistique : Chrématistique naturelle (bon usage) Chrématistique mercantile (mauvais usage) = échange pour l’enrichissement personnel condamné et condamnable (prêt à intérêt) pour « faire de l’argent avec l’argent » => conception moralisatrice domine le monde de l’Antiquité jusqu’à la

s'occupaient bien d'économie : ils ont créé le mot (de oikos, maison, et nomos, ordre) ; mais pour eux l'activité économique était seconde, servile, suspecte. L'économie était subordonnée à la politique : l'art d'administrer la cité. La « mauvaise chrématistique » était condamnée et perçue comme introduisant quelque chose de démesuré dans les conduites humaines Le travail n'était ni pensé, ni valorisé Au Moyen Âge, dans l'atmosphère chrétienne, l'économie était soumise à la morale ; la richesse matérielle

commerce que l'on retrouve chez les scolastique voire jusqu'à Marx : une économie domestique fondée sur l'auto-suffisance (avoir juste ce qu'il faut sans excès dont le modèle est en fait la famille ou le domaine. De l'autre coté on a une économie chrématistique/acquisitive. La la règle est d'avoir plus que ce qu'il ne faut, toujours plus. Economie de d'enrichissement privé, de l'accumulation de richesse. Ce second type d'économie va privilégié les relation monétaire. Économie domestique : cet économie

de l'Eglise et des philosophes arabes, parmi d'autres, sur les échanges, les prix et l'argent sont du plus haut intérêt. Celles d'Aristote sont particulièrement saisissantes. L'analyse qu'il fait de la "chrématistique", la poursuite de la richesse pour elle-même qu'il oppose à l'économie naturelle, et sa condamnation du prêt à intérêt annoncent les positions de Thomas d'Aquin et de l'Eglise catholique. Mais aussi certaines thèses de Marx et de Keynes, qui ont l'un et l'autre fait les plus grands éloges