Christine De Pisan

recherche scientifique se disperse, certains domaines de recherche (politique, par exemple) échappent à l'emprise religieuse. La thématique chevaleresque recule. Par contre la poésie courtoise garde sa vigueur avec notamment les œuvres poétiques de Christine de Pisan, Charles d'Orléans. Le théâtre est très actif : passions et mystères (Arnoul Gréban et Jean Michel, Le Mystère de la Passion, mais aussi textes allégoriques (moralités) ou comiques (soties et farces) La Farce de Maître Pathelin. Farce : à l'origine

Ce n’est pas l’inoffensive galanterie de Guillaume de Lorris qui eût décidé un homme de la valeur et de l’importance de Gerson à prêcher et à écrire contre le Roman de la Rose, et qui eût attiré sur lui les vertueuses invectives de la sage Christine de Pisan; mais les ames chrétiennes et morales du XVe siècle durent sentir vivement ce qu’il y avait de dangereux dans un livre abritant, derrière un titre et un commencement qui n’annonçaient que gentillesse gracieuse et frivole galanterie, un traité

congé, mais le sens linguistique est le même. Ce texte est cynique et burlesque, Deschamps n’allait pas mourir ni partir quand il a écrit ce texte, c’est pourquoi on trouve le même caractère que dans toute son œuvre : celui du bon vivant. 3. Christine de Pisan (1364-1431) Première femme considérée auteur. Elle est italienne mais son père était médecin du roi de France. Elle se mariera avec un homme qui est le médecin qui substitue son père. Son père et son mari meurent, elle reste à la tête d’une

le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige ! Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige... Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir ! LECTURES COMPLEMENTAIRES : « JE NE SAIS COMMENT JE DURE… » Rondeaux, Christine de Pisan (1365-1430) Je ne sais comment je dure Car mon dolent cœur fond d'ire Et plaindre n'ose, ni dire Ma doleureuse aventure Ma dolente vie obscure Rien,  hors la mort ne désire, Et me faut, par couverture, Chanter que mon cœur soupire

d'infériorité profondément enraciné dans le subconscient et dans l’enseignement culturel, et la crainte d’être jugées elles-mêmes comme non pertinentes dans leurs choix peut les éloigner de l’actualité de la création féminine. Citons l’exemple de Christine Macel, commissaire de l’exposition Dionysiac pour le Musée National d’Art Moderne en 2005, responsable des collections d’art contemporain au MNAM, qui avait invité pour cette exposition thématique quatorze artistes hommes, et aucune femme, en arguant

L’étymologie : - D’où vient ou quel est l’origine du nom « Alger » ? - complétez le tableau Qui. Quand Les documents qui le prouvent (les preuves) Les navigateurs Catalan Pisons et génois Entre 1275 et 1300 (13.em siècle) - Une carte pisane de la bibliothèque Nationale de Paris. - Un postulant conservé à Oênes. 2- La chronologie temporelle de la dénomination « d’Alger » : Complétez l’axe de temps, en donnant les différents noms « d’Alger » L’axe de temps

principes religieux et juridiques qui exploitent les différences biologiques entre les mâles et les femmes. Pourtant, dans l’Europe du Moyen Âge, la femme celte jouissait d’une grande liberté que le droit romain vint réduire. Des voix de femmes (Christine de Pisan au XVe siècle, Marie de Gournay au XVIe dans son ‘’Grief des dames’’ [1626]) et d’hommes s’élevèrent déjà alors contre cette injustice. Mais il fallait des conditions historiques favorables pour qu’apparaisse le féminisme, doctrine qui préconise

de principes religieux et juridiques qui exploitent les diffrences biologiques entre les mles et les femmes. Pourtant, dans lEurope du Moyen ge, la femme celte jouissait dune grande libert que le droit romain vint rduire. Des voix de femmes (Christine de Pisan au XVe sicle, Marie de Gournay au XVIe dans son Grief des dames 1626) et dhommes slevrent dj alors contre cette injustice. Mais il fallait des conditions historiques favorables pour quapparaisse le fminisme, doctrine qui prconise lextension

ses sujets : il faut trouver un accord, une harmonie pour que le corps politique puisse vivre. Le roi ne peut don vivre sans sujet et à ce titre n’est qu’une partie du royaume, mais la parti principale dit Gerson, en quelque sorte la tête. Christine de Pisan reprend cette image dans son livre « du corps de policie ». C’est au roi en tant que médiateur de réaliser cette harmonie en réalisant le bien commun. A la même époque Philipe de Mézière propose une allégorie du bien commun fondée sur l’image

principes religieux et juridiques qui exploitent les différences biologiques entre les mâles et les femmes. Pourtant, dans l’Europe du Moyen Âge, la femme celte jouissait d’une grande liberté que le droit romain vint réduire. Des voix de femmes (Christine de Pisan au XVe siècle, Marie de Gournay au XVIe dans son ‘’Grief des dames’’ [1626]) et d’hommes s’élevèrent déjà alors contre cette injustice. Mais il fallait des conditions historiques favorables pour qu’apparaisse le féminisme, doctrine qui préconise