Christine De Pisan

alors associée à d’autres formes d’arts tels que la musique ou encore la danse. Ces artistes récitent des vers racontant les hauts faits de chevalerie en s’accompagnant toujours du même instrument antique : La lyre. Aux XIII et XIVème siècle Christine de Pisan, considérée comme la première femme à vivre de sa plume, marque la littérature française en étant l’auteur de nombreux rondeaux et ballades où elle exprime avec lyrisme sa difficulté quand à sa situation quelque peu marginale de femme poète

Moyen-Age Christine De Pisan L'épistre au dieu D'amour 1399 « L'homme descend de la femme » Texte original : Et ainsi sont les femmes diffamées De pluseurs gens et a grant tort blasmées Et de bouche et en pluseurs escrips, Ou qu'il soit voir ou non, tel est li crys. Mais, qui qu'en ait mesdit ou mal escript, Je ne truis pas en livre n'en escript […] N'euvangile qui nul mal en tesmoigne, Mais maint grant bien, mainte haulte besoigne, Grant prudence, grant sens et grant constance

Elle permet aux poètes d'exprimer leurs sentiments: l'amour, la tristesse, la peur, la joie ou encore la colère. Certains poètes l'utilise comme un moyen de défendre une idée ou d'exprimer ses opinons. On voit d'ailleurs dans le poème de Christine de Pisan à l'époque du Moyen-Age, qu'elle se sert de la poésie pour exprimer sa souffrance, son chagrin envers sa propre vie. J'ai choisi un sonnet de Pierre de Ronsard où le poète exprime sa peur de mourir et par ses Derniers Vers qui s'adressent directement

Mégère qui bat et terrorise son mari, et un être éthéré et artificiel, extraordinairement beau et inaccessible à la Pétrarque. Cependant, les femmes ne sont pas pour autant considérées comme des êtres infâmes au niveau universelle, par exemple Christine de Pisan au XIVème siècle avait pourtant donné une image de la femme comme étant un être inaccessible au chevalier servant, comme il le montre dans " L'Epitre au dieu d'Amour. De plus, Pernette du Guillet et surtout Louise Labé vont donner d'elles

Seulette suis et seulette veux être\Christine de Pisan La poème "Seulette suis et Seulette veux être", qui avait écris à la 14eme siècle, parle des ses sentiments comme une jeune femme sent après le mort de son mari. Il y a 4 strophes à la poème: les 3 premiers strophes ont 7 lignes, et la dernière strophe a 4 lignes. Touts les lignes commencent avec "Seulette suis", mais une, qui est au début du 4ème strophe. L'héroïne utilise les mêmes 2 mots (Seulette suis) dans tous ces lignes pour insister

le poète Orphée charmait la nature et les animaux en chantant ses poèmes, accom- pagné d’une lyre (d’où le mot lyrisme). Dans la littérature gréco-latine, puis au Moyen Âge avec les troubadours et les poètes Rutebeuf (1230 ?-vers 1285), Christine de Pisan (vers 1363-1431), Charles d’Orléans (1394-1465), François Villon (vers 1431-après 1463), certaines formes de poèmes, célébrant l’amour ou déplorant ses tour- ments, étaient destinées à être chantées. L’évolution du lyrisme Au xvie siècle

Moyen-âge La poésie lyrique résume le moyen-age. Le rondeau (poème à forme fixe de treize vers) est alors très utilisé. Exemple de rondeau : Christine De Pisan, «Je ne sais comment je dure», 1390-1400 XVI ème siècle A partir du XVI ème siècle, la poésie connaît des changements décisifs : le langage poétique s'enrichit beaucoup notamment avec l'apparition du sonnet . Ce dernier se compose de deux

et littéraire ; le second est le produit type de l'esprit scolastique et le chef-d'œuvre de la rhétorique érudite qui triomphe dans les débats des clercs.nie et à la verve gauloise. 9- la poésie lyrique de Christine de pisan,Charle d'Orléans et François Villon: a/ Christine de Pisan: née à Venise,vers 1364, elle était fille d'un astrologue italien venu à la cours du roi Charle V, à Paris. Première femme écrivain française vivant de sa plume, après la perte de son mari et sa privation

Pour exemple Christine de Pisan combat par la raison une des idées reçues faisant rage à son époque. Elle exprime que l'acquisition du savoir n'a pas pour conséquence de pervertir les femmes. De la même façon Marie de Gournay (15651645), moraliste, grammairienne et traductrice du latin, également la préfacière et l'éditrice de l'essayiste Michel de Montaigne. Elle dédie en 1622 son Egalité des hommes et des femmes à la mère de Louis XIV, la reine Anne d'Autriche. En 1405 Christine De Pisan rédige la

cherche à exprimer, un lien est créé L'auteur se dévoile et le lecteur s'identifie à lui, ils ressentent les mêmes émotions, cela peut-être des sentiments de compassion, de bonheur, de mélancolie, etc. La poésie « Je ne sais comment je dure » de Christine de Pisan on retrouve l'expression de la douleur, Baudelaire dans « Spleen » exprime l'angoisse de la mort et dans « Le pont Mirabeau » d'Apollinaire on observe l'expression de sa mélancolie devant la fuite du temps. Un poète peut aussi chercher à célébrer