Chrysanthème

qu'elle va mourir à Argelouse Sa dernière maison est un cimetière: dans le jardin il y a un "grillage": Thérèse est enfermé comme dans une prison et ne peut pas sortir. "gravier blanc" fait penser aux allées dans les cimetières conotation du chrysanthème représentant le cimetière, symbole de la mort. atmosphère nocturne et la couleur noir: "la nuit"," une masse noire" font référence à la mort, la tombe. "étouffement lent" montre que Bernard est cruel car il inflige à Thérèse une mort lente qui

des « cuivres » (connotant la violence claironnante de l’occupant et son manque de raffinement) ; repérer les nombreux termes qui relèvent du registre tragique ( « feuilleton sinistre », « trépas », « bruits de chaîne », « chemin de croix », « chrysanthèmes », et, bien sûr à commenter absolument dans ce cadre, la gradation ascendance « où l’on trime, où l’on saigne, où l’on crève de froid »), termes qui sont contrebalancés par d’autres termes appartenant aux registres épique et lyrique du combat poétique

est notable dans la mesure où, suite à celle ci, plus aucune chambre ne sera dissoute sous la IIIè République. Le régime parlementaire devient un régime d'assemblée, soumis à l'instabilité ministérielle. Le président, dès lors, « inaugure les chrysanthèmes »  et perd tout espoir de jouer un rôle actif. Ainsi, le système est secoué par un dysfonctionnement majeur. Le problème de l'antiparlementarisme mérite également d'être étudié, dans la mesure où il découle en partie de la crise vue précédemment

les ténèbres. Le crépuscule, plein de figures funèbres, Soupire ; au fond des bois le daim passe en rêvant ; A quelque être ignoré qui flotte dans le vent La pervenche murmure à voix basse : je t'aime ! La clochette bourdonne auprès du chrysanthème Et lui dit : paysan, qu'as-tu donc à dormir ? Toute la plaine semble adorer et frémir ; L'élégant peuplier vers le saule difforme S'incline ; le buisson caresse l'antre ; l'orme Au sarment frissonnant tend ses bras convulsifs ; Les

H6I. La mise en oeuvre d'un projet républicain A. Le difficile retour de la République Chronologie : –  4 sept 1870 : alors que Napoléon III prisonnier, la République est proclamée depuis le balcon de l'hôtel de ville de Paris. Gouvernement de Défense nationale mis en place : les principales figures républicaines, comme Léon Gambetta, sont en effet partisans d'une poursuite de la guerre. –  janvier 1871 : la défaite militaire se confirme [ cf. chapitre précédent

intermédiaires au suffrage universel indirect. On a un bicaméralisme inégal. Présidence de la République ? Le président ne doit pas se contenter d’une fonction de représentation selon la célèbre formule « il ne doit pas se limiter à inaugurer les chrysanthèmes ». Le président doit être un arbitre national au dessus des partis et c’est pour cela qu’il doit être soustrait au jeu parlementaire, au jeu des partis au parlement. Qui élit le président dans la pensée gaullienne ? Il est élu par un collège électoral

le Premier ministre. Le chef de l’État ne peut rester cantonné, comme il l’était sous les Républiques précédentes, dans un simple rôle de représentation ; il ne peut, selon la formule du Général de Gaulle, limiter son action à « inaugurer les chrysanthèmes ». Certes, en pratique, l’étendue des pouvoirs du Président de la République varie selon que la majorité de l’Assemblée nationale coïncide ou non avec celle qui l’a élu. Dans le premier cas, le chef de l’État choisit librement le Premier ministre

Autrement dit, le chef de l’Etat ne doit pas intervenir dans ces fonctions, c’est le rôle du chef de gouvernement. Ainsi, le président de la République ne gouverne pas sous la IIIème République ; comme disait Charles de Gaulle « il inaugure les chrysanthèmes ». Cette conséquence ne semble pas si défavorable au régime parlementaire. En effet, sous le régime dualiste, les principaux organes devaient toujours être d’accord ; en cas de différends, aucune solution harmonieuse ne pouvait être prévue.

qui lui sont conférés. Enfin définissons le terme de président. Celui-ci a nettement évolué d’une république à une autre. Sous la IVe , ce n’était qu’un titre honorifique. A l’instar des dires de Raymond Barre, « un président qui inaugure les chrysanthèmes ». Sa place est aujourd’hui plus importante et clairement définie. Il est notamment appelé, selon certaines opinions, l’omni-président mais aussi « l’hyper-président » en ce qui concerne le Président actuel Nicolas Sarkozy. Nous pouvons nous

quatre-vingts mais quatre-vingt-troisQuatre cents, et quatre cent vingt et un.-Masculin : Un aéronef, un alvéole, un amalgame, de l'ambre, un antidote, un antipode, un antre, un apogée, un aéropage, un armistice, un asphalte, un astérique, un augure, un chrysantheme, un effluve, un emblème, un éphémère, un équinoxe, un hémisphere, jade, un obélisque, un ovule, un pétale, un planisphere, un sépale, un tubercule, un abime, un adage, un anatheme, un aphte, un éloge, un emplatre, un éclair, un ail, un akene, un