Chrysippe

Laïos est le fils unique de ce roi. L'origine de la malédiction des labdacides commence au niveau des parents d'Oedipe, particulièrement son père Laïos. Alors qu'il rendait visite à son ami le roi Pélops, Laïos s'éprend du jeune fils de son ami, Chrysippe. Leur passion amoureuse conduit au suicide du jeune homme. C'est alors que Pélops décide de maudire Laïos en faisant intervenir Héra, la gardienne du mariage. Il le maudit signifiant que si jamais Laïos a un fils, celui-ci s'unira avec sa mère

ŒDIPE Le mythe d’Œdipe : Oedipe était le fils de Laïos, roi de Thèbes. Il fut abandonné à sa naissance après qu’un oracle a prédit qu’il tuerait son père et épouserait sa mère. Œdipe fut recueillit par un berger, puis fut confié au roi de Corinthe : Polybos. Il fut élevé par Polybos mais, un jour un autre oracle prédit qu’il tuerait son père et pensant que Polybos était son vrai père, Œdipe a fuit le royaume pour éviter que la prédiction ne se réalise. Au croisement d’un chemin, il croisa Laïos

rechercher Le stoïcisme est une école philosophique fondée à l'époque de Grèce antique, par Zénon de Cition en 301 av. J.-C. C'est par la suite un courant philosophique hellénistique qui a traversé les siècles, subi des transformations (notamment avec Chrysippe de Soles en Grèce et à Rome avec Cicéron, Sénèque, Épictète, Marc Aurèle), puis exercé diverses influences, allant de la période classique en Europe (en particulier au XVIIe siècle, chez René Descartes) jusqu'à nos jours. Cette philosophie exhorte

Epictète Entretiens Introduction : Epictète est un stoïcien. Le stoïcisme est une école philosophique de la Grèce antique, fondée par Zénon de Cition en 301 av. J.-C. Comment ce texte présente-t-illa philosophie ? Ce texte réfute la valeur de l’opinion et veut par conséquent trouver des normes aux diverses opinions. A cette question l’auteur répond que la philosophie a commencé par ladiversité des opinions. Cette diversité crée des conflits entre les hommes. L’auteur parle aussi de la dimension

doute été qu’ap- parente, il n’en reste pas moins vrai qu’elle reflète manifestement une certaine ambiguïté dans l’exposé de Zénon, puisqu’un autre passage de Plutarque (cf. infra texte B) mentionne que les stoïciens ultérieurs – très certainement Chrysippe – ont cherché à clarifier la position de Zénon en traduisant phronèsis par epistèmè. Il n’est pas d’emblée évi- dent de voir en quoi cette traduction réussit à sauver Zénon de la contradiction. Comme cela a été souvent rappelé dans les commen- taires

la rationalité du monde. Notre raison est une « étincelle de cet esprit divin » ; l’homme doit donc donner son assentiment à l’ordre du monde. Ainsi, telle est la devise stoïcienne : sustinere et abstinere : supporte et abstiens-toi. Cléanthe et Chrysippe sont les élèves de Zénon et ses succedeurs. Cléanthe : Malgré son côté obscur tâcheron, il prit la direction de l'école en -262 et resta son scolarque pendant 30 ans. Auteur d'un Hymne à Zeus

philosophique : fatalisme et déterminisme 2 Le fatalisme ancien : l’école stoïcienne 2.1 Le fatum stoicum, expression de la raison divine 2.2 Les arguments antifatalistes 2.2.1 L’argument paresseux 2.2.2 L’argument moral 2.3 Réponses de Chrysippe à ces arguments antifatalistes 2.3.1 La distinction entre causes externes et causes internes 2.3.2 La liberté au sein du fatum 3 Le fatalisme moderne 3.1 Le fatalisme des matérialistes français 3.2 La loi, élément de détermination du comportement

KhûbeMayeul de SIGY L’épistémologie probabiliste de CarnéadeMini-mémoire de Master 1 en philosophie contemporaine,Année universitaire 2021-2022Sous la direction de Stéphane MARCHAND, Directeur d’étude à l'Université Paris-I Panthéon-SorbonneTABLE DES MATIÈRESINTRODUCTION 3LE POSITIONNEMENT DE LA NOUVELLE ACADÉMIE À L’ÉGARD DE SES ADVERSAIRES DOGMATIQUES ET DE SON MAÎTRE PLATON 4Le problème gnoséologique du critère dans la philosophie hellénistique 4Sextus

et prochaines » et les causes « parfaites et principales ». Les premières sont les causes externes qui régissent l’ordre du monde ; elles représentent le destin. Les secondes sont les causes internes et relèvent de la spontanéité. Un exemple de Chrysippe permettra de mieux comprendre cette distinction. Pour qu’un cylindre soit mis en mouvement, il faut qu’une impulsion lui soit donnée de l’extérieur (causes auxiliaire), mais son mouvement, sa trajectoire, dépendent de sa forme même (cause parfaite)

tout sens à l’action et rend celle-ci inutile· le déterminisme rend impossible le libre arbitre et la responsabilité morale C’est surtout CHRYSIPPE (figure de l’Ancien Stoïcisme, à la tête de l’école stoïcienne du Portique, après Zénon de Citium et Cléanthe) qui a formalisé les arguments sur le DESTIN et la LIBERTE ; les positions de Chrysippe sont rapportées et exposées par Cicéron dans le De Fato (Traité du Destin) et Aulu-Gelle. Le FATALISME = thèse associée