Churchill Discours Zurich

l’expansion communiste à l’extérieur et à l’intérieur des Etats (ex : en Fr, 1électeur sur 4 vote pour le communisme). L’aide américaine est très rapidement conditionnée à une entente entre les pays europ. En septembre 46, Churchill dans un discours à Zurich (Suisse) va se montrer très favorable à la réconciliation franco-all + à la mise en place d’une Europe. Une série de mvts se multiplient qui touchent les pol, les intellectuels et les syndicats. Enquête de Coudenhove-Kalergi

du Marché commun par Jules MOCH article paru dans La Revue socialiste n°204, juin 1967. (des extraits ont été publiés dans recherche socialiste, hors série de l’OURS, n° 38-mas 2007.) I. NAISSANCE DE L'EUROPE L'appel de Zurich Le 19 septembre 1946, retentit à Zurich un appel historique . « Européens, il faut faire les États-Unis d'Europe [ ... ] Le premier pas pratique sera un Conseil de l’Europe. Si, tout d'abord, tous les États de l'Europe n'acceptent pas, ou ne sont pas à même, d'en faire

tendances apparaissent : * Une Europe de la Coopération : La coopération d’Etat est l’idée émise par les anglais au lendemain de la 2eme guerre mondiale et essentiellement par W. Churchill. Il va faire un discours sur sa pensée personnelle sur l’avenir de l’Europe le 19 septembre 1946 à l’université de Zurich. La sorte d’Etats-Unis d’Europe prononcé vaut pour la France, pour d’autres Etats mais pas le UK qui va se tenir constamment en dehors du mouvement d’organisation de l’Europe. * Une

l’unité européenne, près de 800 délégués de toutes les tendances politiques européennes se réunissent à la Haye. Quelques représentants du Canada et des Etats-Unis sont également présents. C’est Winston Churchill qui est chargé de présider le congrès. En septembre 1946, lors d’un discours à Zurich, ce dernier avait déjà montré son intérêt pour une éventuelle créationdes "Etats-Unis d’Europe". Ainsi, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’idée d’une unité européenne revient au premier plan

amputant d'un tiers le corps électoral. 10 octobre : affaire du camp de Santory (le gal Neumayer est limogé pour avoir empêché les troupes de crier "Vive l'empereur") 1851 19 janvier : l'Assemblée désapprouve le gouvernement. 1er juin : discours de Dijon du président excluant un retour à l'Ancien Régime. 19 juillet : l'Assemblée refuse de réviser la Constitution en faveur de la rééligibilité du président. 1er novembre : circulaire Saint-Arnaud, rappelant le devoir d'obéissance passive

Mai 1955 1-2 juin 1955 Mars 1957 Janvier 1960 Août 1961 Janvier 1962 Janvier 1963 Janvier 1963 Juin 1965 Janvier 1966 Mai 1967 Novembre 1967 Juillet 1968 Décembre 1969 Avril 1972 Juillet 1972 Janvier 1973 Février 1975 Mars 1975 Mars 1979 6 Discours de Churchill sur les Etats-Unis d’Europe Benelux : Union douanière entre la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg Coordination des mouvements pour l’unification européenne Création de l’OECE Congrès de la Haye Signature du Traité de l’Atlantique Nord

chacune par un parlement, reconnaissaient la suprématie d’un parlement général placé audessus de tous les gouvernements nationaux et investi du pouvoir de juger leurs différends". 21 août 1849: le réveil des nations inspire à Victor Hugo son discours sur les Etats-Unis d’Europe En 1848, une vague de révolutions se diffuse dans toute l’Europe: en Italie, en Autriche, en Allemagne, en France, en Hongrie… les peuples se soulèvent pour réclamer davantage de liberté. Au sein de l’Empire autrichien

sincèrement l’Union soviétique – car, alors, tout serait résolu – devront se poser en amis et protecteurs de la nouvelle Europe, devront défendre son droit à la vie et à la prospérité » Tel est le discours tenu par Winston Churchill, leader de l’opposition conservatrice en Grande Bretagne, à Zurich, le 19 septembre 1946. Il lance ainsi un appel à la réconciliation franco-allemande. C’est à ses yeux « la pierre d’angle d’une organisation européenne ». Il est évident qu’au sortir de la Seconde Guerre

domination américaine et à l’agressivité du nouveau président Truman ; d’autres encore (réalistes) soulignant le caractère inévitable d’une confrontation entre les deux plus grandes puissances du moment. Tous sont cependant d’accord pour voir dans le discours prononcé par Harry Truman, le 11 mars 1947, la concrétisation de la rupture entre les Etats-Unis et l’Union soviétique. Dans cette guerre sans merci, aux aspects souvent inhabituels, les affrontements directs furent de trois natures : idéologiques

américaine et à l’agressivité du nouveau président Truman ; d’autres encore (réalistes) soulignant le caractère inévitable d’une confrontation entre les deux plus grandes puissances du moment. Tous sont cependant d’accord pour voir dans le discours prononcé par Harry Truman, le 11 mars 1947, la concrétisation de la rupture entre les Etats-Unis et l’Union soviétique. Dans cette guerre sans merci, aux aspects souvent inhabituels, les affrontements directs furent de trois natures : idéologiques