Cicatrisation

pour antécédents : diabète de type 2 traité (Diamicron), insuffisance veineuse (bas de contention), ulcère variqueux, phlébite jambe droite en 2011, Hyper-tension artérielle traitée. (Ténormine). Ces pathologies sont un risque potentiel à une cicatrisation difficile. Au 5 ème jour de sa prise en charge, l’infirmière madame A. me dit : Corinne à partir de maintenant si tu veux, réalise le pansement de Monsieur M. J’accepte avec un grand intérêt. Nous décidons que l’infirmière interviendrait au

Fiche de révisions soins inf exam 1Note évolutif, asepsie des plaies et examen clinique respiratoire I. Note evolutif lire note cours les surlignageII. PlaieIII. Examen clinique respiratoire I. Phase de cicatrisation des plaies =1) HEMOSTASE = 1ère réaction de l’organisme consécutive à une lésion, un bris de la peau Réponse systémique (local) rapideLa vasoconstriction formation du clou plaquettaire (la croute) 2- INFLAMMATIONnettoyage de la plaie. Signes associés : rougeur

des espèces bactériennes peu virulentes, issues de la flore commensale cutanée, des flores endogènes ou de l’environnement. Toute plaie est obligatoirement colonisée et pour certains, cette flore de colonisation aurait un rôle bénéfique sur la cicatrisation. L’infection, processus pathologique caractérisé par une destruction tissulaire avec réaction de l’hôte, est à distinguer de la colonisation. Cette distinction est parfois délicate à faire, notamment dans les plaies du diabétique, chez qui la

plus, je me suis renseigné sur le protocole du service au niveau du traitement des plaies d’ulcère, la physiopathologie de l’ulcère veineux (« l’ulcère de jambe se définit comme une plaie cutanée chronique n’ayant pas, de tendance spontanée à la cicatrisation. Il constitue dans la majorité des cas (>90%) une complication d’une maladie vasculaire sous jacente souvent ancienne qui conditionne le pronostic et la conduite thérapeutique »*1) ainsi que sur les risques d’accidents d’exposition au sang (« Accident

qui ne sont pas des escarres. L’hypoxie ne se voit pas directement, on s’en aperçoit lorsque l’escarre apparaît. L’apparition de la plaie est brutale L’escarre est une plaie qui se développe en profondeur avant de s’ouvrir vers l’extérieur. La cicatrisation ne peut être spontanée et est donc médicale ; elle est chirurgicale dans les cas les plus graves. La prévention reste le meilleur "traitement". Voici les régions du corps qui peuvent être touchées : Stades de l’escarre Au stade

Le pansement est un acte réalisé par l’infirmière diplômée d’état et ne peut être confié à l’aide-soignante. Pour pouvoir effectuer un pansement, il me faut certaines informations. Avoir des connaissances concernant la plaie et la cicatrisation, l’application des règles d’hygiène, d’asepsie et d’ergonomie et une organisation adaptée en fonction du: - Type de pansement (où se trouve la plaie et sa taille), - Patient - Fonctionnement de l’unité Contraintes

La mobilisation sous le plâtre permet également d’améliorer du même coup le pouvoir de cicatrisation et de récupération. C'est l'absence de douleurs et la reprise d'un appui possible qui indiquent si la cicatrisation osseuse est terminée ou pas. Photo 1 : C’est la fracture oblique de l’humérus gauche (bras) Photo 2 : C’est une fracture comminutive du tibia et d’un péroné de la jambe droite. La cicatrisation osseuse est variable suivant la localisation anatomique : - Avant -bras (radius, cubitus)

désobstruction de la jonction femoro-poplitée gauche avec pose de stent qui n’as pas été efficace et qui a causé une amputation trans-tibiale gauche a la suite de troubles trophiques n’évoluant pas vers la cicatrisation en raison d’un défaut d’irrigation tissulaire du membre inférieur, retard de cicatrisation majoré par le diabète. En mai 2012, Mr G a bénéficié d’un pontage femoro poplité droit suite a un mal perforant plantaire évolutif. Malgré ce pontage, il a perduré un défaut d’irrigation tissulaire

charge des plaies chroniques (escarre, « pied diabétique » et ulcère veineux). Ce statut d’infirmière référente a été permis suite à une formation au sein de l’hôpital et à l’obtention de trois diplômes universitaire (DU), notamment le DU plaie et cicatrisation 2; ainsi que le DU douleur. Ces derniers lui confèrent un statut particulier dans l’équipe soignante. J’ai pu repérer en particulier le travail qu’effectue l’infirmière référente pour les plaies de pied diabétique. Lorsqu’un patient diabétique

contient un gel qui permet une meilleur cicatrisation de la plaie et un retrait indolore, elle ajoute ensuite deux compresse pour maintenir l'urgotull. L'infirmière met ensuite par dessus un pansement americain (pansement hydrophile qui a un excellent pouvoir d'absorption) et pour finir une bande afin de maintenir en place les différentes étapes du pansement. Observation et étonnements : L'infirmière me demande d'observer l'état de la cicatrisation je ne constate aucun odeur pouvant traduire