Ciceron De L Amitie

sans grande preuve : si La Fontaine est lié de façon éloignée à la famille de Racine, leurs relations sont épisodiques ; les rapports avec Molière ne sont pas connus si tant est qu’ils existent ; quant à Boileau, il n’y a guère de trace d’une telle amitié. Après sa participation à un Recueil de poésies chrétiennes et diverses édité en 1670 par Port-Royal, La Fontaine publie successivement, en 1671, un troisième recueil de Contes et nouvelles en vers, et un recueil bigarré, contenant des contes, des

sans grande preuve : si La Fontaine est lié de façon éloignée à la famille de Racine, leurs relations sont épisodiques ; les rapports avec Molière ne sont pas connus si tant est qu’ils existent ; quant à Boileau, il n’y a guère de trace d’une telle amitié. Après sa participation à un Recueil de poésies chrétiennes et diverses édité en 1670 par Port-Royal, La Fontaine publie successivement, en 1671, un troisième recueil de Contes et nouvelles en vers, et un recueil bigarré, contenant des contes,

sans grande preuve : si La Fontaine est lié de façon éloignée à la famille de Racine, leurs relations sont épisodiques ; les rapports avec Molière ne sont pas connus si tant est qu’ils existent ; quant à Boileau, il n’y a guère de trace d’une telle amitié. Après sa participation à un Recueil de poésies chrétiennes et diverses édité en 1670 par Port-Royal, La Fontaine publie successivement, en 1671, un troisième recueil de Contes et nouvelles en vers, et un recueil bigarré, contenant des contes, des

sans grande preuve : si La Fontaine est lié de façon éloignée à la famille de Racine, leurs relations sont épisodiques ; les rapports avec Molière ne sont pas connus si tant est qu’ils existent ; quant à Boileau, il n’y a guère de trace d’une telle amitié. Après sa participation à un Recueil de poésies chrétiennes et diverses édité en 1670 par Port-Royal, La Fontaine publie successivement, en 1671, un troisième recueil de Contes et nouvelles en vers, et un recueil bigarré, contenant des contes, des

d'Etienne de La Boétie : à l'origine, il avait écrit les Essais comme écrin pour le Discours de la servitude volontaire de son meilleur ami, qui y faisait l'éloge de l'amitié contre la corruption du pouvoir et des courtisans. Admirateur de Virgile et de Cicéron, il est un humaniste qui prend l'homme, et en particulier lui-même, comme objet d'étude dans son principal travail, Les Essais, entrepris à partir de 1571 à l'âge de 37 ans. Il y annonce « Je veux qu'on m'y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire

"Je m'intéresse à l'avenir parce que c'est là que je vais passer le reste de ma vie". "il est agréable d'être important mais il est encore plus important d'être agréable" "Pour moi c'est ravir au monde le soleil que d'ôter de la vie l'amitié"  (Cicéron) "Être avec les gens qu'on aime, cela suffit; rêver, leur parler, ne leur parler point, penser à eux, penser à des choses plus indifférentes, mais auprès d'eux, tout est égal".  (La Bruyère) "L’amitié c'est la chaleur du coeur contre les intempéries

sans grande preuve : si La Fontaine est lié de façon éloignée à la famille de Racine, leurs relations sont épisodiques ; les rapports avec Molière ne sont pas connus si tant est qu’ils existent ; quant à Boileau, il n’y a guère de trace d’une telle amitié. Après sa participation à un Recueil de poésies chrétiennes et diverses édité en 1670 par Port-Royal, La Fontaine publie successivement, en 1671, un troisième recueil de Contes et nouvelles en vers, et un recueil bigarré, contenant des contes, des

conception de l’amitié sincère et noble, fondée sur des qualités morales avérées « mutuelle estime » (l. 2), « intégrité », « son bon naturel, la foi et la constance » (l. 5). Ce passage peut être complété par la célèbre page de Montaigne évoquant son amitié avec La Boétie. Le tyran est défini par des valeurs négatives qui font contrepoint  à l’amitié: « la cruauté », « la déloyauté » ou « l’injustice » (l. 5 et 6). Il est seul dans l’exercice du pouvoir « n’avoir compagnon aucun » (l.  18) et omnipotent

successeurs. Tous les nobles, qui ne cessent d’être en compétition font tous pour faire barrage aux hommes nouveaux (homines novi). Ces hommes nouveaux sont des hommes issus de famille qui n’ont jamais exercé de fonction politique de consul. Exemple : Cicéron = homo novus. Il s’est distingué par sa présence, son éloquence. - Les sénateurs vivent dans de somptueuses demeures, inspirées du monde grec. La fortune est, en effet, indispensable pour la noblesse. Le sénateur doit payer sa campagne. La fortune

Prendre acte de la naissance d’une nouvelle grandeur, la grandeur Française. - Diffusion des idées humanistes : A l’écart des institutions traditionnel ; Etienne Dolet à Lyon, Robert Estienne à Paris. Amitié et correspondance avec tous les grands de son temps. Ce qui énerve les université, les faculté de théologie comme la Sorbonne que Rabelais conchie. Imprimerie : aug. Du nombre de livre + annotation car on peut écrire sur les