Ciel nocturne

2008 Rues de Dieulouard Je marche, enfin… J’erre. J’ai l’impression de chercher quelque chose, de vouloir le trouver. Mais je ne sais pas ce que c’est. Je m’arrête au bout d’une heure de marche, je m’assois sur un bout de muret. J’admire le ciel devant moi, les oiseaux volent librement, entouré par ce paysage de campagne, ce champs de blé, ces vieilles fermes, le petit ruisseau…Le calme était là, je tournoyer souvent la tête, puis replacer mes cheveux derrières mon oreilles. Des pas approchèrent

outre, que des 11 Cf. Traité du Ciel, III, 2, 300b 8. 53 nombres exprimaient les propriétés et les proportions musicales ; comme, enfin, toutes les autres choses leur paraissaient, dans leur nature entière, être formées à la ressemblance des nombres, 986a et que les nombres semblaient être les réalités primordiales de l'Univers  : dans ces conditions, ils considérèrent que les principes des nombres sont les éléments de tous les êtres, et que le Ciel tout entier est harmonie et nombre

qu’il lui sembla que les quadrupèdes allaient être vainqueurs, elle se glissa dans leurs rangs. Mais, comme on dit, même le plus malin peut se tromper. C’est ce qui arriva à notre chauve-souris. Un aigle immense, s’éleva soudain très haut dans le ciel, et comme s’il avait retrouvé là-haut des forces nouvelles, il fonça tête baissée sur l’ennemi, entraînant avec lui tous les autres oiseaux. Cette attaque était si soudaine que l’armée des quadrupèdes fut défaite et que la chauve-souris n’eut plus

plan plus rapproché sur ce qui lui parait essentiel, une petite scène de comédie amoureuse (v.12) puis le poème s'achève sur un gros plan, celui de l'expression d'un visage. Verlaine place ses personnages dans des « costumes clairs » (v.2), sous un « ciel si pâle » (v.1) et sous des « arbres si grêles », ce qui correspond exactement au décor de Watteau où les personnages sont dominés par les arbres qui réfléchissent une douce lumière de fin de journée ou de fin de saison. Le personnage central de l’assemblée

Poème de Victor Hugo : Le manteau impérial O ! vous dont le travail est joie, Vous qui n'avez pas d'autre proie Que les parfums, souffles du ciel, Vous qui fuyez quand vient décembre, Vous qui dérobez aux fleurs l'ambre Pour donner aux hommes le miel, Chastes buveuses de rosée, Qui, pareilles à l'épousée, Visitez le lys du coteau, Ô sœurs des corolles vermeilles, Filles de la lumière, abeilles, Envolez-vous de ce manteau ! Ruez-vous sur l'homme, guerrières ! Ô généreuses ouvrières

ses larmes d'argent n'enrichit plus les fleurs, Que l'anémone frêle, au vent froid exposée, Avant le soir n'a plus ses brillantes couleurs ? Ne voit-on pas qu'une onde, à sa source limpide, En passant par la fange y perd sa pureté ; Que d'un ciel d'abord pur un nuage rapide Bientôt ternit l'éclat et la sérénité ? Le monde est fait ainsi : loi suprême et funeste ! Comme l'ombre d'un songe au bout de peu d'instants, Ce qui charme s'en va, ce qui fait peine reste : La rose vit une heure

l'office de tourisme pour obtenir une carte de la ville. Vers onze heures dix nous rentrons l'église qui est pleine.La célébration commence.A la fin de la messe,les vitres de l' église deviennent lumineuses grâce au soleil qui fête sa victoire contre le ciel gris.Nous sortons de l'église.C'est l'heure de manger.Les enfants ont faim.Après avoir mangé nous nous dirigeons vers la plage.Les vagues se colorisent sous les rayons du soleil. Quelle image!Quelle belle vue! C'est très émouvant de voir l'océan pour

recommence Oh ma douce souffrance Je remue le ciel le jour, la nuit Je danse avec le vent la pluie Un peu d'amour un brin de miel Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse Et dans le bruit, je cours et j'ai peur Est-ce mon tour? Vient la douleur. Dans tout Paris, je m'abandonne Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole Que d'espérance Sur ce chemin en ton absence J'ai beau trimer, sans toi ma vie n'est qu'un décor qui brille, Vide de sens Je remue le ciel le jour, la nuit Je danse avec le vent

les principales figures de style employés dans ce poème sont : les personnifications : « ciel triste et beau », les métaphores : « le soleil s’est noyé dans le sang qui se fige »et les antithèse : « triste et beau ». plusieurs champs lexicaux sont utilisé dans se poème : lexique du mouvement : « venir, vibrant, tournent, valse, vertige, encensoir, frémit, vestige »,lexique de la nature : « tige, fleur, air, ciel, soleil »,lexique des sensations : « vibrant, sons, parfum, vertige, harmonie, lumineux

sûrement dans la sainte lecture de l'Evangile, que les versets me soient de longs traits d'Amour et de compassion pour tous. Conduis-moi sûrement jour et nuit, dans la Volonté du Père, sur la terre ingrate que nous sommes, comme celle accomplie au Ciel et, glorifiée par Notre Seigneur le Christ. Quand je ressens les difficultés du chemin de la vie qui m'est donné, quand j'appréhende de marcher encore un pas, alors élève la Lampe au-devant de mon chemin fait d'espérance, pressemoi dans tes bras quand