Cimetière de la Croix-Rousse

baby-sitter », pensa Bonnie d’un air abattu. Meredith avait aussi troqué ses habituelles ballerines contre des chaussures à talons. Comparée à elle, Bonnie se sentait plus petite que jamais, dans tous les sens du terme. Elle passa la main dans ses boucles rousses, essayant de les faire bouffer un peu, pour gagner un précieux centimètre. – J’ai pas peur, j’ai… froid, affirma-t-elle avec toute la dignité dont elle fut capable. – Je sais. Tu ressens de mauvaises ondes, n’est-ce pas ? devina Meredith en indiquant

spécialement chargée des confections. Et jamais elle n’avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d’un prix considérable, élargissait un voile d’autel, deux ailes déployées, d’une blancheur rousse ; des volants de point d’alençon se trouvaient jetés en guirlandes ; puis, c’était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les marines, les valenciennes, 11 les applications de Bruxelles, les points de Venise, comme une tombée

des Dames des confections. Et jamais elle n'avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse ; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes ; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les malines, les Valenciennes, les applications de Bruxelles, les points de Venise, comme une tombée de

spécialement chargée des confections. Et jamais elle n'avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse ; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les malines, les Valenciennes, les applications de Bruxelles, les points de Venise, comme une tombée de neige

juges, ses hôpitaux qui remplaceront vos bagnes. La liberté et la santé se ressembleront. On versera le baume et l’huile où l’on appliquait le fer et le feu. On traitera par la charité ce mal qu’on traitait par la colère. Ce sera simple et sublime. La croix substituée au gibet. Voilà tout. 15 mars 1832. 48 Une comédie à propos d’une tragédie Nous avons cru devoir réimprimer ici l’espèce de préface en dialogue qu’on va lire, et qui accompagnait la troisième édition du Dernier Jour d’un condamné. Il

centrale de la ville natale du dictateur, les nostalgiques se placent sous l’autoritéd’un chef tout particulier, Don Giulio Maria Tam (dit « Padre Tam »), prêtre lefebvriste traditionaliste, et se mettent en rang pour une marche silencieuse vers le cimetière où se trouve la crypte de la famille Mussolini. Là, Padre Tam dit un rosaire, suivi d’un prêche au cours duquel il chante les louanges de Mussolini, Franco et Hitler, « ces hommes envoyés par Dieu pour sauver l’Europe de l’invasion communiste». Il

Jacques Cœur une somme colossale. On peut remarquer ici une caractéristique constante des rois de France : l’ingratitude. Jacques Cœur est emprisonné. Ses juges se partagent ses biens tandis qu’il est torturé. Il est flétri, c’est-à-dire qu’on trace une croix sur sa joue avec un couteau chauffé au rouge. Après trois ans de geôle, Jacques Cœur parvient à s’échapper. Il se réfugie à Rome, chez le pape. Celui-ci l’envoie en croisade contre les Ottomans. Regardez par là, cette petite île grecque blanche et

décès Obsèques du mardi 14 septembre BOQUÉHO. À 14 h 30, église de Boquého, M. Jean-Paul LE VACON, décédé dans sa 55e année. CALLAC. À 14 h 30, église de Callac, M. Jean-François LE CAM, décédé à l’âge de 86 ans. CAOUËNNEC-LANVÉZÉAC. À 10 h 30, cimetière de Caouënnec-Lanvézéac, M. Jean-Marie ANDRÉ, décédé dans sa 93e année. CHÂTELAUDREN. À 14 h 30, église Saint-Magloire de Châtelaudren, M. Daniel CONNEN, décédé à l’âge de 61 ans. COATRÉVEN. À 14 h 30, église de Langoat, M. Yves OLLIVIER, décédé à

Les preuves que j’ai recueillies sont irréfutables... Ŕ Mais le corps ? Ŕ Le corps n’a pas été retrouvé, ce qui d’ailleurs ne saurait nous surprendre outre mesure. La piste suivie m’a conduit, en effet, jusqu’à l’église de Varengeville, à l’ancien cimetière suspendu au sommet de la falaise. Là, c’est le précipice... un gouffre de plus de cent 50 mètres. Et, en bas, les rochers, la mer. Dans un jour ou deux, une marée plus forte ramènera le corps sur la grève. Ŕ Evidemment, tout cela est fort simple

début de la guerre, Charleroi à Ulm. Enfin pour les principes il les croira altérés par la guerre du Transvaal et la guerre de Mandchourie (et la guerre balkanique?). Je montrerai à sa femme qu'il se trompait à demi (peut-être [...] général de la Croix). Mais pourtant un peu de vrai! (Pétain: c'est de la guerre d'avant la guerre). (La feinte de Falkenhayn -manoeuvre par le Prehovember en direction de Campolny trompe même après coup jusqu'à Bidou qui appelle le 23 échec de cette manoeuvre ce qu'il