Cinémathèque québécoise

Cinémas, 2, 1 (automne 1991), p . 27-41. Revue de l'Université de Bruxelles, 1-2 (Autour du scénario), 1986. SAVOIE, Jacques, les Portes tournantes, Montréal, Boréal, 1984. et Francis MANKIEWICZ, les Portes tournantes, manuscrit déposé à la Cinémathèque québécoise, 1986. SEGER, Linda, Making a Good Script Great, New York, Dood-Mead, 1987. STEMPEL, Tom (1980), Screenwriter. The Life and Times of Nunnally Johnson, San Diego, A.S. Barnes. (1991), Framework. A History of Screenwriting in the American Film

d’entrepreneur et de répartiteur de ressources 5- A- Dès l’automne 1993, on s’affaire à la préparation de l’exposition Québec plein la vue, qui sera présentée à l’été 1994 en collaboration avec la ville de Québec, le salon du livre de Québec, la Cinémathèque québécoise et l’Université de Laval. B- Rôles d’entrepreneur et d’agent de liaison 6- A- En vue du développement et de la consolidation des réseaux du Musée, on entreprend aussi une tournée de sensibilisation auprès d’une vingtaine de grandes entreprises

Palais Omnisports de Paris-Bercy, la Cinémathèque se situe au cœur d'un quartier parisien dynamique, en plein développement. Conçu initialement pour l'American Center en 1993, le bâtiment de la Cinémathèque française, moderne, lumineux, asymétrique, élégant et déstructuré, est signé Frank Gehry, l'un des architectes contemporains les plus audacieux. On lui doit notamment le musée Guggenheim à Bilbao ou le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles. La Cinémathèque française est un organisme privé français

ficelles, L. Mailhot fait des Mémoires de Claire Martin un « lieu d’exorcisme » (p. 141), ce qu’ils sont assurément. Le chapitre IV, consacré au critique et essayiste Gilles Marcotte, sert de transition entre les « classiques » de la littérature québécoise et les voix plus récentes. En les plaçant sous le signe de « l’intelligence », L. Mailhot parcourt, en les commentant, les plus récents recueils d’essais de G. Marcotte, en attirant l’attention sur leurs parentés. Ces textes, que G. Marcotte qualifie

Censure cléricale et survivance de la littérature Québécoise Introduction La Société québécoise a vécu plus d’un siècle de censure cléricale. L’époque qui nous intéresse ici se situe entre 1810 et 1959. Cette dernière a fait couler beaucoup d’encre et de larmes. Au Québec, la censure principalement du pouvoir religieux du milieu du XIX ième siècle jusqu’à la révolution tranquille s’est affirmée dans les écoles catholiques, les collèges et les couvents du Québec, menaçant même les élèves d’excommunication

 Introduction et Problématique Plusieurs grands débats font en sorte de couler l’encre dans la société québécoise. Que ce soit par rapport aux chefs d’accusations d’un maire, de la corruption au sein des entreprises privées, des éclats qu’ont provoqués des militantes FEMEN à l’assemblée nationale. En revanche, un sujet dont on ne finit pas d’entendre parler est celui des accommodements raisonnables. Il est clair que ce sujet est au cœur des discussions communes puisque le Québec demeure une des

de bec, sans quartier, Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier. Source : Émile Nelligan. Poésies complètes 1896-1899, [En ligne] La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Littérature québécoise », vol. 43 : version 2.01 [http://www.ibiblio.org/beq] (Consulté le 12 mai 2009.)

Que représente, pour vous, l’identité québécoise à travers la littérature? La littérature québécoise a beaucoup évoluée au cours des décennies. Elle est passée du conte écrit à des romans beaucoup plus élaborés. À leur arrivée sur le nouveau continent, les Canadiens-Français n'avaient pas le temps pour se concentrer sur la littérature car ils devaient avant tout s'assurer de survivre. La littérature a donc été " mise de côté " pendant un certain temps. Cependant, les contes et les légendes continuaient

 La question de l’égalité a toujours été très chaude au Québec. On y cherche l’équilibre parfait entre la liberté culturelle et religieuse des nouveaux arrivants et la culture québécoise qu’on s’efforce de préserver. Un grand débat s’effectue aujourd’hui même partout au Québec : Les québécois devraient-ils accepter ou refuser le projet de la charte sur la laïcité proposée par M. Bernard Drainville? Je tiens premièrement à préciser que ce débat est surmédiatisé. Aussi, comme partout ailleurs, les

indispensables : « réaliser son premier court-métrage » par Chris PATMORE, « Les fondamentaux de la réalisation de films » de Jane BARNWELL et « dictionnaire théorique et critique du cinéma » par Jacques AUMONT et Michel MARIE. Je suis également allée à la cinémathèque française située au 12eme arrondissement de Paris, mais malheureusement la quantité d’informations utiles que j’y ai collectées était assez limitée. Parallèlement, j’ai recherché des informations plus précises sur internet a la fois pour une compréhension