Citation Pessoa

internet, telle est la définition de l’art. Dès la création de l’homme sur terre, l’art est apparu. Les hommes préhistoriques pratiquaient déjà une certaine forme d’art dans leur caverne en dessinant des peintures sur les murs. C’est en 1950 que Fernando Pessoa nous dit : « La littérature, comme toute forme d'art, est l'aveu que la vie ne suffit pas ». De ce fait, nous pouvons nous poser quelques questions à propos de l’art et du sens qu’il peut donner à la vie ; est-ce que la nécessité de l’art se ressent

Hélène Aubry 2M10 18.11.09 Enoncé 1 – Fonction de l’art et littérature « La littérature, comme toute forme d’art, est l’aveu que la vie ne suffit pas. » Fernando Pessoa, Fragments d’un voyage immobile, 1950 Qu’est ce que l’art tout d’abord? C’est l’expression par les œuvres de l’homme, d’un idéal esthétique ; c’est l’ensemble des activités humaines créatrices visant à cette expression, telle est la définition

Les citations sur la presse « La presse est un élément jadis ignoré, une force jadis inconnue […] ; c’est la parole à l’état de foudre ; c’est l’électricité sociale […] Plus vous prétendez la comprimer, plus l’explosion sera violente. Il faut donc vous résoudre à vivre avec elle. » François-René de Chateaubriand (1768-1848) « La presse est une bouche forcée d’être toujours ouverte et de parler toujours. De là vient qu’elle dit mille fois plus qu’elle n’a à dire, et qu’elle divague souvent et

superposer une autre, certainement imperceptible pour le plus grand nombre de ses visiteurs (les vidéotouristes), car faite essentiellement de mots. Cette Lisbonne-là émerge dans le texte par l’utilisation d’un procédé qu’annonce déjà l’épigraphe – une citation de Cervantès qui parle de Lisbonne – et qui va se généraliser par la suite, on le verra (cela concerne par ailleurs non seulement l’extrait que nous commentons, mais la totalité du texte). Il s’agit là, encore une fois, d’une vision toute subjective

Comme le dit Roland Pessoa, «La littérature est la preuve que la vie ne suffit pas». Cette citation fait écho à celle de Claude Roy, «La littérature est parfaitement inutile, sa seule utilité est qu’elle aide à vivre». Cette citation est un paradoxe, en effet, la littérature n’est pas vitale pour l’homme mais elle lui est utile. Nous nous demanderons donc, dans quelle mesure, bien qu’elle ne soit pas un besoin vital, la littérature aide à vivre. Premièrement, nous montrerons comment la littérature

la réalité. Ces désirs sont refoulés dans l’inconscient. C’est une parenthèse diurne dans laquelle l’imagination vagabonde. Exemple le personnage de la chanson de Nougaro le cinéma qui s’imagine séduire une femme et être physiquement avantagé et Pessoa le rêve est une trêve de l’action « de l’art de bien rêver, ajourne toutes choses, on ne doit jamais faire aujourd’hui ce que l’on peut aussi négliger de faire demain ». Oui quand cette parenthèse bascule dans la folie quand la frontière entre rêve

anciens, aux monuments]. “Antes de vir para a França a passeio, em 2001, pensava nas imagens comuns aos turistas: a torre Eiffel, o Arco do Triunfo, o Sena... Antes de vir morar na França, em 2008, pensava muito no comportamento e na postura das pessoas, nos metrôs eficientes, porém sujos, de Paris, na paisagem formada pelos prédios construídos nos estilos franceses”. (Victor) [Avant de venir me promener en France, en 2001, j’avais des images communes à tous les touristes : la tour Eiffel, l’Arc

révélant des antinomies nombreuses à ce sujet : entre le mouvement ou l'action et le repos par exemple, le sentiment et la raison, l'individu et la société. Comment s'étonner qu'un critique contemporain, Marcel Raymond, observe à propos de Rousseau : « citation ». b) définition négative du bonheur : sémantique du lexique et construction sur une opposition double pour mieux révéler, dénoncer l'effort de Rousseau pour déterminer sa position par rapport à autrui, ce qui met le doute sur cette même détermination

s’agit du livre d’un amoureux de la littérature, d’un homme que la littérature aide à penser sa vie, et à en tirer des enseignements généralisables. La littérature, comme l’art tout entier est la preuve que la vie ne suffit pas. (Tabucci, citant Pessoa) Une des grandes richesses de Dominique Rabaté est aussi, à mon sens, de toujours appuyer sa démonstration sur de parlants exemples. C’est à ce titre qu’il met le doigt sur la saturation en récit du monde occidental. Il montre à quel point les

rapport au désir, les objets ne sont que des images, d’une satisfaction qui va bien au-delà de leur possession. Le problème apparait lorsque nous confondons nos désirs avec nos besoins. Pour souligner ce fait nous pouvons reprendre une citation de Fernando Pessoa : « Il est humain de vouloir ce qui nous est nécessaire, et il est humain aussi de désirer, non ce qui est nécessaire, mais ce que nous trouvons désirable. Ce qui est maladif, c’est de désirer avec la même intensité le nécessaire et le désirable