Citigroup

Investisseurs privés 51 % 46 % 49 % 54 % 42 % Source : Banque des règlements internationaux • Aux États-Unis, le plan Paulson (ou Troubled Asset Relief Program — TARP), comportait également un volet de renforcement des fonds propres des banques Citigroup et Bank of America. • Au Royaume-Uni, dès février 2008, le gouvernement britannique a placé l’une de ses banques menacée de faillite — Northern Rock — sous contrôle public. En octobre 2008, il a injecté 37 milliards de livres de capital directement

européennes opérée en urgence par les Etats en 2008 en souligne les limites. Le gouvernement en France alloue 40 milliards à la recapitalisation des banques et aux Etats-Unis, le plan de sauvetage concerne trois des grandes banques américaines, Citigroup, JP Morgan et Bank of America. La régulation prudentielle, telle qu’existante, est largement critiquée par l’économiste Michel Aglietta. Jugée insuffisante, elle n’a pas empêché l’éclatement de la crise financière en 2007 et sa propagation à l’échelle

provisoirement par le gouvernement, n’ont procédé qu’à moins de 5% de dépréciations de leurs actifs, mais la situation pourrait se renverser avec le retournement du marché immobilier anglais. Les banques françaises résistent mieux même si, d’après Citigroup, elles devraient passer 4,2 milliards d’euros de dépréciations sur l’année 2008. * L’impact sur l’économie américaine Les dépenses des ménages américains ont été extrêmement soutenues ces dernières années grâce à plusieurs facteurs positifs

la firme Canon au Mexique et Siemens au Brésil. Dans le secteur financier, surtout en Argentine, mais aussi au Mexique, Bolivie et Chili, il y a une vague de réduction de postes de travail en 2001 dans des entreprises multinationales telles que Citigroup, Goldman Sachs, JP Morgan Chase et ABN Amro, entre autres. Selon les données antérieures recueillies par l’experte de la CEPAL, le Costa Rica, le Pérou, le Venezuela, Trinidad y Tobago et la Jamaïque ont également connu des suppressions de postes

faillite de Lehman provoque un malaise généralisé, Merrill Lynch se revend, en urgence, le même jour, à la Bank of America. Le 16 septembre AIG doit être sauvé de toute urgence. Le 26 septembre JP Morgan doit racheter Washington Mutual et le 29 Citigroup en fait autant avec Wachovia. Dans le monde entier les banques n’ont plus confiance entre elles, les crédits interbancaires disparaissent. Le Dow Jones baisse jusqu’à 7552 le 20 novembre, et le CAC 40 à 2881 le 21 novembre. La situation continue

en Asie du Sud-Est puis en Afrique du Nord. Au cours de cette période, certaines grandes banques internationales se sont positionnées sur ce marché, ouvrant des filiales islamiques. HSBC créé en 1998 le HSBC Amanah, tandis que Deutsche Bank et Citigroup se lancent aussi et proposent des produits financiers compatibles avec la Chari’a. Au Royaume-Uni, les autorités ont cherché à faciliter le développement de la finance islamique vers les années 2000. Les premières demandes d’agrément de banques

bombs had been placed in those buildings. In 2005, a number of large financial firms purchased stakes in the exchange as a hedge against growing consolidation of stock trading by the New York Stock Exchange and Nasdaq. These firms—Morgan Stanley, Citigroup, Credit Suisse First Boston, UBS, Merrill Lynch and Citadel Investment Group—collectively owned about 89% of the exchange. On October 20, 2007, The Wall Street Journal reported that the exchange was for sale by a group of its shareholders, and was

seconde guerre mondiale entre en régression. La chute est extrêmement brutale. La ruée généralisée vers les dépôts est évitée de peu. Les banques les plus frappées sont celles qui se sont le plus fortement exposées aux risques de la finance moderne : Citigroup, Lehman Brothers, RBS ou encore UBS... La course à la taille, à la polyvalence, à l'internationalisation et à la haute technicité tous azimuts, ont eu de graves conséquences pour certains acteurs. La crise financière sévère qui se développe

Ministre de la justice de l'Etat de New York, Eliot Spitzer a décidé d'assainir le monde de la finance. Impitoyablement. Un mandat retentissant pour cet ambitieux démocrate de 43 ans. Dimanche 16 mars, Sanford (Sandy) Weill, alors président de Citigroup, la première banque du monde, organisait à Carnegie Hall un gala pour fêter son 70e anniversaire. Tout ce que New York compte de personnalités du monde de la finance et de la politique se bousculait ce soir-là en smoking et robe du soir : George

AstraZeneca, Bristol Myers Squibb, GlaxoSmithKline, Lily, Novartis, Pfizer, sanofiaventis, Schering Plough, Wyeth - Les services financiers et autres American Express, British Airways, Citigroup, Continental Airlines, GDF-Suez, InterContinental Hotels Group, UBS, United, Visa international Concurrence : Publicis Groupe se classe premier sur le marché européen