Citigroup

bancaire Banco Popular Espagnol, pour le rachat de leur filiale française Banco Popular France. Ce rachat permettrait au client du groupe espagnol d'avoir un accès vers la France, et vice-versa. En 2008, le Crédit mutuel a acquis le réseau d´agences de Citigroup en Allemagne et a changé le nom en Targobank. 2009 : Le Crédit mutuel possède également la filiale mobile de NRJ (nommée NRJ Mobile) et propose des offres de téléphonie développées par sa filiale informatique (NRJ Mobile et C Le Mobile pour les

plus précise, les causes immédiates de la forte volatilité boursière étaient à la fois les doutes sur la reprise américaine, les inquiétudes géopolitiques (risque d’une guerre en Irak), et la révélation de pratiques de très grandes banques comme Citigroup. La découverte de ces dérivés révélés au cours de la crise ne faisait qu’alimenter une certaine défiance vis-à-vis d’institutions très réputées. Ainsi, la crise de confiance du marché à l’égard des entreprises apparaissait comme durable malgré

Maroc  Groupe BP 10 048 12 % 3 063 6 % 950 2010 2 BMCE Bank  Finance Com 7 552 18 % 819 113 % 613 2010 3 BMCI  BNP Paribas 2 849 8 % 818 1 % 250 2010 5 CIH  Groupe CDG 1 235 2 % 233 134 % 170 2010 8 Citibank Maghreb  Citigroup 248 22 % 98 37 % 2 2010 9 Crédit agricole du Maroc  État Marocain 2 120 11 % 345 53 % 400 2009 6 Crédit du Maroc  Crédit agricole 2 000 11 % 363 14 % 308 2010 7 Société générale Maroc  Société générale 3 613 12 % 1 068

entre le 6 et le 7 septembre pour atteindre plus de 5900 contrats (Bloomberg News, 3/10/01). Le secteur de l’assurance qui dut payer des milliards pour couvrir les pertes dues aux attentats fut également le théâtre d’activités de même nature. Citigroup, qui estime à 500 millions de dollars le coût des attentats pour sa branche assurance, a accumulé un volume d’options de vente 45 fois supérieur à sa moyenne quotidienne entre le 6 et le 10 septembre. Même chose pour le courtier d’assurances Marsh

boursière supérieure à 50 milliards de dollars (55,5 milliards d'euros, 364 milliards de francs), les deux établissements helvétiques ont eu l’honneur d’appartenir à l’élite économique des seize élus, aux côtés de prestigieux groupes américains (Citigroup, Bank America, J.P.Morgan-Chase Manhattan) ou britanniques (HSBC, Lloyds TSB et Royal Bank of Scotland). Autant d’éléments sont révélateurs d’une seule et même réalité, qui traduit l’attrait manifesté envers la place helvétique. La tendance actuelle

privatisation de l'une des grandes banques publiques (qui a duré plus de deux années de préparation intensive et de travail laborieux) a été entravé par le retrait de la course de l'un des candidats les plus solides qui est la banque américaine Citigroup qui a subi des pertes considérables suite à la crise des subprimes qui a profondément affecté sa position financière. Son geste a été suivi par la banque française le Crédit Agricole, ce qui a contraint le gouvernement algérien à interrompre le

financiers américains le 1er mai 1975, le Glass-Steagall Act est tombé progressivement [réf. nécessaire] en désuétude et a fini par disparaître à l’automne 1999 pour permettre la constitution aux États-Unis de grandes banques universelles, comme Citigroup. Il existe des banques spécialisées dans un segment d’activité spécifique, souvent issues d’une ancienne règlementation ou, en France, de la distribution dans le passé de certains prêts bonifiés : * banques spécialistes du crédit à la consommation

assistance and advisory programs. PlaNet Finance is supported by the sector’s large funding agencies (World Bank, European Commission, AFD [French Agency of Development]) as well as by Foundations (Bill & Melinda Gates Foundation, Orange Foundation, Citigroup Foundation, etc.). Each year PlaNet University educates over 600 people and manages several academic curricula in partnership with Dauphine, ESCP, Solvay Business School, etc. The PlaNet Finance Foundation Thanks to donations from sponsors, they

Émirats-Arabes-Unis pour un crédit syndiqué conforme à la charia de 2,35 milliards de dollars. Cette opération avait pour but de financer une licence de téléphonie mobile en Arabie saoudite. En 2005, BNP Paribas a participé, notamment avec ABN AMRO, Citigroup, Dubai Islamic Bank et Gulf International Bank, à l’un des plus importants financements islamiques réalisés sur le secteur énergétique pour le compte de l’entreprise Dolphin (1 milliard de dollars). Dans cette opération de financement syndiqué de

américaine prédite plus haut vient à se matérialiser, le degré d’imbrication des marchés financiers justifie nos craintes d’une crise majeure. Dans la foulée des pertes titanesques encaissées par les grandes banques, on retiendra celles de Merrill Lynch, Citigroup, UBS et HSBC. Celles-là, parmi bien d’autres en désarroi de liquidité, ont dû recourir aux fonds souverains d’Abu Dhabi, d’Arabie Saoudite, du Koweït, de Chine, de Singapour et de Corée du Sud pour remplir leurs coffres. Certes, à court terme