Cité

invention littéraire mais on peut la rapprocher d’une réalisation architecturale au XIXème siècle appelée la Familistère de Guise. Monsieur Godin, un grand industriel de l’Aisne, a repris le modèle du phalanstère de Fourier pour créer une sorte de cité idéale, destinée à ses ouvriers. Ce « Palais social » offrait tous les conforts du logement moderne et proposait un mode de vie communautaire compatible avec le développement de chaque individu. Il s’agit donc pratiquement d’une utopie réalisée.

on y retrouve cent fois les mêmes banalités, cent fois les mêmes lacunes ou les mêmes erreurs[1]. » . Son histoire (du XVIe au XVIIIe siècle) . De la renaissance au classicisme : Entre 1602, date de parution de la première version de la cité du soleil de Campanella et l’édition, en 1699, des aventures de Télémaque de Fénelon, on dénombre, en ne comptant que les titres principaux, plus de trente textes utopiques. Publiés en France, en Angleterre, en Italie et ces utopies sont souvent inspirées

LA CONCIERGERIE: La Conciergerie est le principal vestige de l’ancien Palais de la Cité qui fut la résidence et le siège du pouvoirdes rois de Fance, du xe au xive siècle et qui s’étendait sur le site couvrant l’actuel Palais de justice de Paris. De nos jours, l’édifice longe lequai de l'Horloge sur l’ile de la Cité, dans le Ier arrondissement de Paris. Origine du mot Conciergerie: La Conciergerie désigne d’abord le logement du concierge, puis par extension la prison dans laquelle il maintenait

position ne me permettait pas de réaliser, à côté de mon établissement, une cité ouvrière dans laquelle un véritable confort serait accordé à mes ouvriers, eu égard à l’état dans lequel ils vivent. ». Le but est d’offrir à tous les « équivalents de la richesse » grâce à la formule de l’habitat collectif. II / Le Familistère , « palais social » En 1859, commence, à deux pas de l’usine, la construction non pas d’une cité ouvrière, mais d’un « palais social », que Godin baptise très délibérément

son lit de mort, afin d'éffacer ses pêchers car il avait fait exécuter son fils) à cette date l'empire Romain se porte encore bien donc on peut porposer une autre date. En 410, année ou les Goths viennent prendre Rome et que Augustin va écrire “La cité de Dieu” L a date qu'on gardera est celle de 476, le pouvoir impérial de l'empire d'Occident qui était au main de l'empereur Romulus Augustule un très jeune empereure. L'empire Romain d'Orient prend donc fin, il sera remplacé par des petits royaume

il arrive à Hippone dont il deviendra évêque. Son oeuvre est essentiellement pastorale, même si l’on peut signaler quelques textes « philosophiques » importants : De doctrina christiana (396-414), les Confessions (397-401), La Trinité (400-426), La cité de Dieu (412-427). Rédaction des Confessions peu après son accession à la charge d’évêque. L’oeuvre est écrite dans une période assez brève (3 ou 4 ans). C’est une oeuvre apologétique qui vise à la défense de la religion catholique, et à l’éloge du

donc une hiérarchie dans la société, mais aussi la hiérarchie ecclésiastique. En rédigeant ce texte, Adalbèron rappel au roi l'importance de cette société de trois ordres en s'inspirant de « la cité de Dieu » de St. Augustin en opposant ainsi d'un coté la cité divine et de l'autre la cité terrestre. C'est ce qu'il appellera « la loi divine » et « la loi humaine », le fil principal de la rédaction. De même, il s'interroge sur cette société tantôt binaire, tantôt trinitaire. C'est

Beijing, ou Yuan Ming Yuan. Alors que la Cité Interdite fut la résidence officielle de l’empereur, notamment les jours de cérémonie, le Yuan Ming Yuan fut pendant deux cents ans, le lieu de villégiature du souverain. Construit par plusieurs générations, le palais est un complexe de plusieurs centaines de bâtiments dispersés parmi des lacs et montagnes artificielles dont le but est de représenter toutes les provinces de l’empire. Similairement à la Cité Interdite, le Yuan Ming Yuan en tant que résidence

plusieurs parties A/ Au sommet : l’Eglise l’Eglise ne forme qu’un corps, à lui seule, une forme une partie de l’Etat. Car la « loi humaine » c’est à dire celle découlant de la constitution en distingue deux autres. Ce qui signifie que la Cité de Dieu est régit par une loi Divines. La théorie du droit divin dit que l’Eglise de France considère non seulement que le principe du pouvoir est d’origine divine, mais que le roi tient sa couronne directement de Dieu. « Dieu gouverne tous les peuples

Les deux personnages de dos sont le peintre et son frère Hubert regardant le paysage, entre mondes divin et terrestre. Enfin, on peut s’attarder sur la stricte séparation entre d'un côté la cité des hommes, figurée par le pouvoir politique du Chancelier, et de l'autre la pureté ainsi que la grandeur de la cité de Dieu, vers laquelle les mortels doivent tendre. Conclusion Dans ce tableau apparaissent les principales valeurs de l’Humanisme et la Renaissance : Malgré un thème religieux ce tableau