Civ 1ère 20 Juin 1995

déterminer la date de la conception, pour cela le code civil fixe 2 règles énoncées à l’art 311 du code. Il énonce 2 présomptions. La présomption est une technique de raisonnement juridique qui permet de déduire un fait inconnu à partir un fait connu. 1ère présomption est l’art 311 alinéa 1er ou l’on présume que la période de conception est comprise entre le 300ème jour et le 180ème jour inclusivement avant la naissance. On a donc une période légale de conception de 121 jours. 2ème présomption : art

aptitude à la vie. On voit les limites du droit, il faut se référer à la médicine (ex : s’il manque un organe vital à l’enfant). Il y a eu une circulaire (non obligatoire) qui préconise qu’un enfant est viable s’il a atteint 500g ou s’il est nait après 20 semaines de grossesses. Si on doit prouver la viabilité d’un enfant, on le fera par tous les moyens, notamment par expertise médicale. (Important pour héritage et succession). Que ce passe-t-il si une des conditions n’est pas remplie ? L’enfant ne se

s’étant acquitté d’une véritable dette et donc s’étant acquitté d’une véritable obligation civile. La jurisprudence énonce que la promesse d’exécution d’une obligation naturelle transforme celle-ci en obligation civile. (Voir décisions 10 oct 1995, 22 juin 2004 1ère civil 4 janvier 2005). Le code civil ne définit pas les obligations civiles. On peut dire aujourd’hui que parmi ces obligations naturelles on peut distinguer deux catégories. Constitue des obligations naturelles certains devoirs moraux ou

professionnelle. Plus de 30 ans après les lois Auroux, les institutions représentatives du personnel connaissent leur évolution la plus marquante. La richesse de ce dialogue dépend de la légitimité de ses acteurs. Ainsi, les évolutions introduites par la loi du 20 août 2008, portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail, ont placé les élections professionnelles au cœur de nouveaux enjeux, plus larges que leur vocation première qui est de mettre en place une représentation du personnel

question d’appréciation. L’article 1375 du Code civil parle de « bonne administration par le gérant ». En toute hypothèse, l’utilité ou l’opportunité de l’intervention du gérant s’apprécie au moment où l’acte est passé, et non pas a posteriori. Arrêt 1ère civ. 26 janvier 1988, « Cash & Carry » : un magasin subit un braquage ; un client intervient et se lance à la poursuite des malfaiteurs, qui sont armés et viennent de s’emparer de la recette du magasin. Le client parvient à récupérer une partie de la

appliqué une de ses dispositions édictant que les actes de procédure doivent être rédigés en langage maternel français (il s’agissait d’une assignation déclarée nulle parce que comportant des passages en anglais non traduits en français : Cass., 2ème civ., 11 janv. 1989). 2) l’ordonnance d’avril 1667 : elle fut l’œuvre du Chancelier LAMOIGNON ; le Code de 1806 s’en est fortement inspiré. 3) Le Code de Procédure Civile de 1806 : élaboré par 5 praticiens (quatre magistrats et un avocat), qui

saisit une affaire et a déclarée l'adoption. Le procureur a fait un pourvoi afin de prouver le caractère illicite de ces conventions de mères porteuses car contraire à la notion d'indisponibilité du corps humain. Cass. Ass. Plén. 31/05/1991- Art 16-7 C. Civ : les conventions de mères porteuses sont nuls. b) L'homicide involontaire sur la personne d'autrui Protection pénale de l'enfant à naître ( art 221-6 C. Pen ). Il réprime l'homicide involontaire d'autrui. La question : Est ce que la qualité d'autrui

le jour à Rome le 20 Avril 1986  But : harmoniser le Droit privé. On lui doit les principes relatifs aux Contrats du Commerce International qui sont une source d’inspiration pour les législateurs nationaux afin de permettre la suppression des disparités et les conflits de lois relatives aux contrats de commerce internationaux. En leur donnant la même inspiration, cet organisme favorise l’harmonisation des législations. Ces principes ont été publiés en trois versions, la 1ère en 1994, en 2004

créateur et en use en diverses circonstances. Les décisions par lesquelles elle pose un nouveau principe ou encore retient une interprétation innovante, distincte de celle qui prévalait jusque là, ont indéniablement vocation à avoir un effet normatif[20]. Dès lors que la portée créatrice de ses décisions est admise, on doit en prendre acte pour envisager dans quelle mesure l’effet rétroactif qui y est attaché est, ou non, source d’insécurité juridique[21]. C’est à cette seule condition qu’il sera éventuellement

identifiables par rapport au but qu'elle vise : a. Des conventions portant unification des règles de conflit de loi ou de juridiction : Les plus nombreux émanent de la Haye, ils touchent des domaines variés. Exemple : Convention de la Haye du ● 15 juin 1955 sur la loi applicable aux ventes à caractère international d'objet mobiliers corporels ● 5 octobre 1961 relative au conflit de loi en matière de forme des testaments. ● 4 mai 1971 sur la loi applicable en matière d'accident de la circulation routière