Civ 2e 21 Juillet 1982

« Le commerce électronique est l’activité économique par laquelle une personne propose ou assure à distance et par voie électronique la fourniture de biens ou de services », Article 14 alinéa 1er de la Loi pour la Confiance dans l’Economie Numérique (LCEN) du 21 juin 2004. Les entreprises font des offres commerciales pouvant déboucher sur un contrat. Ces offres commerciales, particulièrement lorsqu’elles sont effectuées par voie électronique (via Internet), doivent respecter des obligations imposées tant par

aurait des incidences sur les institutions Dialogue direct entre président de la République et le peuple. (Particulièrement utilisé en ce qui concerne l’Europe, 1er référendum-1992 Traité de Maastricht, adopté ; 2e référendum-2005 pour l’adoption de la constitution Européenne, refusé). 2e : Art 16 de la Constitution, donne très grands pouvoirs au président, il va prendre des mesures tt seul, le Président de la République prend des mesures exigées par les circonstances, dans les cas où les institutions

Cadre du Secrétariat permanent de l’OHADA, du 31-3-06). 1 La défunte UAM (Union Africaine et Malgache) l’avait envisagée et créé à cet effet le Bureau Africain et Mauricien de Recherches et d’Etudes Législatives (BAMREL) par une convention du 5 juillet 1975. 2 Allais M., A la recherche d’une discipline économique. 2 Ce sont les actes uniformes relatifs au droit commercial général, au droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt économique, et à l’organisation des sûretés. 3 Acte uniforme

Aperçu du régime fiscal des fusions et opérations assimilées Régime spécial Historique 60 Les principes qui régissent le régime spécial des fusions et opérations assimilées ont initialement été posés par les articles 14 à 17 de la loi du 12 juillet 1965 dont les dispositions sont reprises dans le Code général des impôts sous les articles : -  210 A à 210 C pour ce qui est de l'impôt sur les sociétés (209, II pour le report des déficits) ; -  115 et 121 pour l'impôt de distribution ; -  816

civil. En réalité les révolutionnaires ont échoué dans leur création du code civil. A l’époque des consuls, la France est dans une stabilité politique et économique, et Bonaparte va en faire une priorité du consulat et fera adopter le code civil le 21 mars 1804. Le code civil s’appelle officiellement le code Napoléon. II/ La dimension politique du code civil A/ L’individualisme Est-ce que le code civil est un code individualisme ? D’après de nombreux auteurs oui. Ernest Renan pense que

d’abord un contrat, il va souvent renvoyer au droit commun des obligations (ex : C du tr ne parle pas de dol, erreur ou violence pourtant contrat peut ê annulé). Le dt précise règles gouvernant l’exé du contrat et celles gouvernant la rupture. 2e problème : à qui s’applique le droit du tr ? ne s’applique pas à l’ensemble du travail humain. Il y a deux grandes exclusions : II.les travailleurs indépendants. Celui qui travaille seul et pour son propre compte n’est pas concerné par le droit du

complexité croissante du monde moderne, l’instabilité de l’histoire. Comme le pouvoir politique a une volonté législative défaillante, crée un nouveau Code civil en intégrant 200 ans de jurisprudence est difficile. Un projet de 2010 : projet du 9 juillet 2010 déposé au Sénat. Cet avant projet de réforme, aujourd'hui, nul ne sait s’il aboutira ou non. Les changements du projet : Les auteurs de la réforme sont favorables au rétablissement de la peine privé, c'est-à-dire, que les dommages et intérêt

conséquence est qu’on ne peut pas invoquer de responsabilité délictuelle (art 1382) si la responsabilité est contractuelle. B) • • • • R EGIMES SPE CI AUX DE RESPO NS AB IL ITE Loi 1998 sur les produits défectueux Directive européenne 25 juillet 1985 Loi Badinter de 1985 Loi Kouchner sur la responsabilité médicale. Ces lois consacrent des « régimes uniformes de responsabilité » : la responsabilité est toujours la même quelque soit la circonstance du préjudice (contrat ou non). C)

toutes les dépenses tuiles ou nécessaires faites : la JP entend largement la notion de « dépenses » : si le gérant a subi un dommage du fait de la gestion d’affaires, elle dit que c’est une dépense et il doit être indemnisé par le maître. = Ccass 1ère civ 14 nov 1978. La gestion d’affaires étant gratuite, le maître n’a aucune obligation de rémunérer le gérant. Il peut ratifier la gestion d’affaires, c'est-à-dire que le maitre sera tenu de toutes ses obligations même si la gestion n’a pas été utile. Au

que le contrat est nul donc sa conséquence est que la clause ne peut pas produire ses effets. La clause attributive de juridiction peut-elle produire ses effets alors que l’une des parties prétend que la clause est nulle ? Réponse avec l’arrêt du 3 juillet 1997 ‘Benincasa’ CJCE, elle considère que la clause attributive de juridiction doit jouer, s’impose aux parties, même pour une action qui vise à faire constater la nullité du contrat. L’argument retenu est que si la CJ avait dit le contraire, tous