Civilisation Britannique Commonwealth

du conseil de sécurité de l’ONU A quoi sert le G8 ? Atouts et faiblesses respectifs de la Chine et l’Inde Place du Brésil dans le monde Les frontières de l’UE Géopolitique de l’Asie centrale Sports et géopolitique Y-a-t-il un choc des civilisations ? Réchauffement climatique et géopolitique Le problème de Chypre Enjeux de l’immigration clandestine Le risque des grandes pandémies La prolifération nucléaire Les conflits asymétriques Piraterie en mer Enjeux des relations euro-russes

ne se perçoivent pas comme des européens. Les grecs de cette époque ont parfaitement conscience de leur identité et d’ailleurs ils ont l’habitude de se distinguer des barbares (étrangers). Le terme barbare désigne par expansion les étrangers de civilisation différente mais plus exactement ce qui ignore la démocratie dont jouissait la plupart des cités. En fait pour les grecs de l’antiquité il n’existe pas de clivage entre européen et asiatique mais plutôt entre grecs et barbares que ces barbares soient

des pôles moteurs de la mondialisation. lative faiblesse de l’influence européenne dans ces régions. Le continent américain a obtenu ses indépendances au XIXe siècle, et le Pacifique reste en grande partie fermée aux Européens, même à la marine britannique. Le rayonnement de l’Europe se heurte encore à l’immensité du globe, malgré la révolution des transports ; même après l’ouverture du canal de Suez en 1869, il faut encore deux mois (contre six auparavant) pour que les steamers anglais relient les

social, permettent une élévation générale 4 lative faiblesse de l’influence européenne dans ces régions. Le continent américain a obtenu ses indépendances au XIXe siècle, et le Pacifique reste en grande partie fermée aux Européens, même à la marine britannique. Le rayonnement de l’Europe se heurte encore à l’immensité du globe, malgré la révolution des transports ; même après l’ouverture du canal de Suez en 1869, il faut encore deux mois (contre six auparavant) pour que les steamers anglais relient les

qu'Adolf Hitler avait lu à plusieurs reprises le livre de De Gaulle et qu'il affirmait avoir beaucoup appris grâce à lui[24]. Idées et fréquentations politiques avant la guerre[modifier]Partant des idées du général Fuller et du critique militaire britannique Liddell Hart, Charles de Gaulle défend une guerre de mouvement menée par des soldats de métier, et appuyée par des blindés. Il fait une conférence à la Sorbonne au printemps 1934, sous l'égide du cercle Fustel de Coulanges, une vitrine de l’Action

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .117 A. T. Mahan, théoricien de l’hégémonisme naval . . . . . . . . . . . . .126 LA PENSÉE DE MACKINDER PRÉCÈDE LA GÉOSTRATÉGIE GLOBALE . . . . . . . . .134 L’inquiétude de Mackinder : le déclin britannique . . . . . . . . . . . .134 Le stress du Heartland et de la domination mondiale . . . . . . . . .136 La discussion autour de la notion du Heartland et ses critiques . .142 Révision et actualité de Mackinder . . . . . . . . . . . . . . . . . .

........................................................................................................................................................................................................... 7 7 8 Londres, cœur de l’économie-monde britannique à la fin du XIXe siècle New York, la ville mondiale Ford, un modèle industriel confronté à la mondialisation .....................................................................................................................................

ouvert, favorable à une réforme de la stratégie : l'état-major ne doit pas se contenter d'une stratégie défensive derrière la ligne Maginot. Cependant, ni l'un ni l'autre ne sont écoutés. Partant des idées du général Fuller et du critique militaire britannique Liddell Hart, Charles de Gaulle défend une guerre de mouvement menée par des soldats de métier, et appuyée par des blindés. Il fait sa première conférence à la Sorbonne au printemps 1934, sous l'égide du cercle Fustel de Coulanges, une vitrine de

solides de défense et partant de pratique d’élaboration des politiques de défense pendant la période précoloniale, car, dans la suite, au mépris des organisations militaires et de la civilisation africaine autochtones, la puissance coloniale a créée de toutes pièces une armée africaine, à l’image de la civilisation européenne. Elle a foulé aux pieds les traditions, les coutumes, les usages et les mentalités guerrières propres aux peuples africains. A l’accession à « l’indépendance », les leaders

presqu’ïle arabique, Egypte Autriche-Hongrie : nord de l’île de Chypre. Après la guerre : chaque puissance a tenté de mettre main sur les pays sur laquelle elle avait déjà une zone d’influence (hormis les empires perdants). 2) L’hégémonie britannique sur Suez et la vallée du Nil Sur le plan géographique, l’Angleterre n’est pas une puissance méditerranéenne, ms elle l’était sur le plan historique depuis le début du 18e s, date à laquelle elle s’était établie à Gibraltar (1704). Bonaparte