Civilisation Et Sauvagerie Une Argumentation Du

définition de la sauvagerie »IntroductionAuteur Montaigne est un écrivain et philosophe français de la deuxième moitié du 16ème siècle, époque des guerres de religions. Il a fait des études de droit, mais décide de consacrer sa vie à l'écriture Il entame la rédaction de ses Essais en 1572, des œuvres moralistes à caractère philosophique.Œuvre Il consacre une partie de ses essais à la découverte du nouveau monde, et particulièrement la confrontation brutale entre la sauvagerie et la civilisation dans le chapitre des

fr/lyclipedia/document/MzMwBAAlecture-analytique--des-cannibales--essais-i-31-montaigne l V II- La nature est suprieure la culture HYPERLINK http//lyclic.fr/lyclipedia/document/MzMwBAAlecture-analytique--des-cannibales--essais-i-31-montaigne l VI 1- La nature est abme par la civilisation HYPERLINK http//lyclic.fr/lyclipedia/document/MzMwBAAlecture-analytique--des-cannibales--essais-i-31-montaigne l VII 2- Eloge du naturel HYPERLINK http//lyclic.fr/lyclipedia/document/MzMwBAAlecture-analytique--des-cannibales--essais-i-31-montaigne

de « barbarie » et de « sauvagerie ». Sa thèse est que les peuples récemment découverts ne sont pas des sauvages : « il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation. » (l.1). Il nie d’emblée de suite cette proposition en s’opposant à une idée commune en personnalisant son propos « je trouve », « mon propos » (l.1). Ce faisant, il réfute déjà la thèse adverse implicite selon laquelle les indiens seraient des barbares et des sauvages. Comment fonctionne son argumentation ? Il propose une analyse

de « barbarie » et de « sauvagerie ». Sa thèse est que les peuples récemment découverts ne sont pas des sauvages : « il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation. » (l.1). Il nie d’emblée de suite cette proposition en s’opposant à une idée commune en personnalisant son propos « je trouve », « mon propos » (l.1). Ce faisant, il réfute déjà la thèse adverse implicite selon laquelle les indiens seraient des barbares et des sauvages. Comment fonctionne son argumentation ? Il propose une analyse

« barbarie » et de « sauvagerie ». Sa thèse est que les peuples récemment découverts ne sont pas des sauvages : « il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation. » (l.1). Il nie d’emblée de suite cette proposition en s’opposant à une idée commune en personnalisant son propos « je trouve », « mon propos » (l.1). Ce faisant, il réfute déjà la thèse adverse implicite selon laquelle les indiens seraient des barbares et des sauvages. Comment fonctionne son argumentation ? Il propose une analyse

de « barbarie » et de « sauvagerie ». Sa thèse est que les peuples récemment découverts ne sont pas des sauvages : « il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation. » (l.1). Il nie d’emblée de suite cette proposition en s’opposant à une idée commune en personnalisant son propos « je trouve », « mon propos » (l.1). Ce faisant, il réfute déjà la thèse adverse implicite selon laquelle les indiens seraient des barbares et des sauvages. Comment fonctionne son argumentation ? Il propose une analyse

de « barbarie » et de « sauvagerie ». Sa thèse est que les peuples récemment découverts ne sont pas des sauvages : « il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation. » (l.1). Il nie d’emblée de suite cette proposition en s’opposant à une idée commune en personnalisant son propos « je trouve », « mon propos » (l.1). Ce faisant, il réfute déjà la thèse adverse implicite selon laquelle les indiens seraient des barbares et des sauvages. Comment fonctionne son argumentation ? Il propose une analyse

altérité – Objet d’étude principal : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation du XVIe à nos jours. Texte 2 : MONTAIGNE – Qui sont les sauvages ? Question : De quelle manière Montaigne remet-il en cause les notions de civilisation et de sauvagerie ? Introduction : 1) Montaigne est considéré comme un des plus grands penseurs du mouvement humaniste. Son livre modestement intitulé Essais, publié à partir de 1580, aborde de façon personnelle toutes sortes de sujet moraux, philosophiques

pour l'agneau → Réfutation de l'accusation du loup = argument lié à la physique= « plus de vingt pas en dessous » - « troubler » répété de façon affirmative par le loup v 7 & 18: aucune argumentation négative par l'agneau - Une seule phrase v 10 à 17: argumentation logique → « considère » constat+analyse → « par conséquent » = lien logique question rhétorique logique: v 20 « je n'étais pas né » } Brièveté de l'argument irréfutable «  je n'en

Sépulvéda. A moyen de toutes ces techniques, le penseur donne une vision négative des Indiens à travers un rapprochement avec les civilisations européennes. Il commence part décrire les Indiens eux-même comme ignorants ("ignorent l’usage du métal"), et "incapables de toute initiative". Sépulvéda use également du champ lexical de l’animal ("bêtes, animaux, sauvagerie") et d’adjectifs péjoratifs ("détestable, affreuses, haïssable, offensante") afin de critiquer leur culture et leurs traditions. Il