Claes Oldenburg

| |Ronde bosse / |Pablo Picasso – Gros oiseau visage noir - | |Techniques |Claes Thure Oldenburg – 2 cheeseburgers – 1962 | | |George Segal – Un homme sur une échelle – 1970 | |Modelage

Robert Rauschenberg, Canyon. Andy Warhol, Marilyn. Tom Wesselmann, Smoker Study. James Rosenquist, Rainbow. Claes Oldenburg, Spoonbridge and Cherry. Roy Lichtenstein, L’Atelier du peintre. Les Anglais: Eduardo Paolozzi, Bunk. Richard Hamilton, Just what is it that makes today's homes so different, so appealing

1960 Otto Muehl, Hermann Nitsch moyen de performances rituelles. L' importance est donnée à l'artiste en tant que participant dans le processus de production, comme un témoignage de création plutôt que celui d'un créateur. Allan Kaprow, Claes Oldenburg, Al Hansen, Jim Dine Sorte d'intervention publique. Collage d'actions faites ou vues à divers endroits en même temps et à divers moments. Les manifestations de Happening mêlent peinture, musique, films, danses, poésie, et sont souvent des improvisations

habitants décorent les rues de guirlandes et installent des chapiteaux toujours pleins d’animation. Quant aux monuments, signalons l’église Sant Josep qui fut celle d’un couvent de Carmélites au Le labyrinthe d’Horta «Mistos», sculpture de Claes Oldenburg et Coosje van Bruggen Sculpture-poème de Joan Brossa XVIIe s., la structure métallique qui couvre le marché de La Llibertat, quelques maisons modernistes dont la Casa Vicens, l’une des premières réalisations de Gaudí (1889), et certaines

Jasper Johns, Wesselmann se caractérise par un intérêt pour les objets ordinaires, l'ironie, ainsi que par la confiance en la puissance des images. Le foyer du Pop Art américain est localisé à New York, où exposent tout d’abord des artistes comme Claes Oldenburg, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, puis James Rosenquist et Tom Wesselman. Inventé par Lawrence Alloway à la fin des années cinquante, ce terme indique que l’art prend appui sur la culture populaire de son temps, lui empruntant sa foi dans le pouvoir

réservée à l’élite et ne couvrait que des sujets dit "importants". La culture publicitaire de la société de consommation est une autre source d'inspiration. Les principaux artistes du pop art sont : Allan d'Arcangelo, Allen Jones, Andy Warhol, Claes Oldenburg, Christian Guy, David Hockney, Ed Ruscha, George Segal, Gérard Guyomard, Greg Berben dit GéBé, James Rizzi, James Rosenquist, Jasper Johns, Jeff Koons, Jim Dine, Myriam Baudin, Joe Tilson, Keith Haring, Martial Raysse, Pauline Boty, Peter Blake

sens. C’est le Pop art américain dont le foyer est situé à New York, qui rendra vraiment ce mouvement populaire. [pic] « Trois Drapeaux », Jasper Johns, 1958 New York est une véritable fourmilière de tendances ; des artistes tels que Claes Oldenburg, Jim Dine, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, Jasper Johns, James Rosenquist, George Segal, Tom Wesselman...., s’y côtoient, exposent leurs œuvres dans la galerie de Leo Castelli, un des grands promoteurs du Pop art, ouverte en 1957 sur Lexington

apparaît au sein d’une société de consommation en plein boom : par le réemploi et le détournement plus ou moins dénonciateur des signaux les plus emblématiques d’une culture dorénavant liée au fait économique, Robert Rauschenberg, Jasper Johns, puis Claes Oldenburg, Roy Lichtenstein, Andy Warhol ou David Hockney magnifient par le formalisme de leurs œuvres les éléments les plus triviaux et les plus artificiels de cette culture. La critique reste cependant légère, et la réaction au Pop Art sera violente

banalité de l’objet de sa transposition artistique. Robert Rauschenberg: Principal initiateur du Pop Art Américain. Il opte pour le métissage des pratiques artistiques mêlant la photo, la danse, la musique et la peinture « Combine paintings ». Claes Oldenburg: Il traque les icônes de masse de la société américaine et les désacralise. Il joue avec les nouvelles valeurs de la vie moderne américaine que sont l'alimentation et l'hygiène (fastfood et salle de bain). Roy Lichtenstein: Ready-mades

introduit tel quel. Il est reproduit en trompe-l’œil ou sous une forme grotesque par des agrandissements qui en altèrent le sens, en soulignent la trame, paraissant parfois plus réel que le réel lui-même jusqu’à toucher l’irréel et l’inquiétant. Claes Oldenburg (1929) imite des objets quotidiens, liés à l’univers de la marchandise alimentaire ou vestimentaire, qu’on achète dans des échoppes ou des boutiques « bas de gamme ». Les répliques qu’Oldenburg propose de ces objets sont agrandies, avec une mise