Claque

choisi de traiter un sujet portant sur la musique et les sons car notre groupe est composé de deux jeunes gens très proche de la musique. Un son est , avant d’être une sensation auditive , une onde mécanique physique. Une cordes tendue , Une porte qui claque , Un oiseau qui siffle. Tout ceci n’est en réalité ni plus ni moins qu’une déformation de l’air. Cette onde une fois émise , va se propager jusqu'à rencontré notre oreille , organe auditif de l’homme permettant de percevoir et de traduire ces ondes

qu’il faut savoir se maîtriser parfois. - Voulez-vous un yaourt à la place !!! 5. Deux messages verbaux. - qu’est ce que ça sent bon. - c’est très gentil Mr. Lattes. 6. Deux messages non-verbaux. - ah !!! - mmh !!! - kiss kiss kiss. - claque etc… 7. Notre ressenti.(sentiment, émotion). - que la fonction d’aslo ne doit pas être de tout repos tous les jours. - qu’il faut savoir garder son calme, se maîtriser dans toutes circonstances. - mais qu’il y à aussi de bonnes choses comme le

________________ ____________________________________________________________________________________ 5 6 7 Exercice 3 : Classe ces mots dans l’ordre alphabétique /2,5 couverture – cadre – carte – cerf – chat – cirage – claque – criquet – couette – cuvette ____________________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________________ Exercice 4 : Réponds aux questions en

« Papa, c’est quoi être éduc’ ? » « Être éduc’ spé mon fils c’est t’occuper... ….des drogués, des clodos, des ruinés, des claqués, des violés, des battus, des maltraités, des perdus, des disjonctés, des perdants, des illuminés, des délirants, des tarés, des mangeurs de caca, des taulards, des tordus, des accidentés, des inconscients, des pauvres, des très pauvres, des très très pauvres, des miséreux, des traînées, des qui se traînent, des malades, des condamnés, des sanctionnés, des fatigués, des

C'est dans ce film, dont le scénario est de Françoise Giroud, qu'il embrasse pour la première fois Michèle Morgan, dans une scène tournée dans un ascenseur. Un baiser de cinéma qui n'enflamme pas l'actrice. Dans Le Passe-Muraille, il reçoit des claques de la part de Bourvil, « le meilleur homme qu'il m'ait été donné de connaître », disait-il. On le voit encore dans La nuit est mon royaume (1951) de Georges Lacombe, La Fille du fleuve (1954) de Mario Soldati, La Meilleure part (1955) d'Yves Allégret

événements d’une même grandeur, mais que peut de monde reconnaisse, les hommes battu. L’homme battu est une réalité impensée car impensable selon les représentations actuelles de la société Une femme mettant une claque à son conjoint cela ne suscitent aucune réaction, mais une femme recevant une claque par son conjoint est un acte ignoble ! De nos jours, pour la plus part des individus, de notre société, le pouvoir mal et la société patriacale semblerait ne plus avoir cour. Les revendications du mouvement

Régulier, blessant et éternel.
 La vieille dame assise et courbée
 N'est plus la jeune fille si belle
 D'autrefois: les rides sont creusées.
 Le métronome claque,
 Les années s'écoulent.
 L'incessant tic-tac
 Dans ma tête devient trouble.
 Les souvenirs s'envolent
 Tels des feuilles d'automne
 Vers une terre frivole.
 Tic-tac, claque le métronome. « Heure après heure, tout le temps s'envole » Proverbes italiens (1882) Chrono de Schedder

Lily. Ma tante rentrait tard et mon frère devait encore traîner. Je prépare vite fais à manger et monte dans ma chambre. Je prend un livre et m'allonge sur mon lit en attendant que mon frère rentre. Deux heures plus tard j'entends la porte d'entré claquer, je décents et voit Justin rentrer avec une fille, ils sont complètement défoncés et puent l'alcool. Justin plaque la fille contre le mur de l'entré, l'embrasse à pleine bouche et commence à lui retirer son t-shirt. Moi en faisant semblant de tousser:

certaines anecdotes et délivrées de façon artificielle, - rapport titre/scène : aucun rapport => aucune hypothèse de lecture possible.  - Abondance de didascalies dans le dialogue, qui sont toujours les mêmes : « M.Smith continuant sa lecture, fait claquer sa langue » Donc Ionesco construit ici une exposition, sous certains aspects classique mais totalement artificielle car rien n’est réaliste et tout est exagéré, ce qui augmente la présence de l’absurde. Il est présent au cœur même du texte,

multicolores : pour confectionner leurs sacs de terre, les Allemands s’étaient servis de draps, de cotonnades, de lainages à dessins bariolés, pillés dans quelque magasin d’ameublement. Tout ce méli-mélo de lambeaux de couleurs, déchiquetés, effilochés, pend, claque et danse aux yeux. Henri Barbusse, Le feu (1916), chapitre 20