Claquettes

Les claquettes aux états unis au 19ème siècle Les claquettes américaines, (tap-dance), naîtront d’un mélange d’influences entre la danse africaine et un rytme ternaire ( qui a donné naissance au jazz ) . Les claquettes ne s’apprenaient pas dans les écoles, elles s’apprenaient en allant voir danser les autres. Certains copient et d’autres, plus intelligemment, s’inspirent et créent leurs propres styles. ( on peut faire le lien avec une sorte d’aide à l’intégration , de sociabilisation ) . Tant

Les claquettes sont une danse qui se pratique en tapant avec ses pieds. Des fers sont donc fixés sous le talon et sous la pointe de la chaussure pour permettre aux danseurs de frapper les pieds en rythme, comme des percussionnistes ! L’un des pirates, tout en haut du mât, surveillait l’horizon avec une longue vue. Il informait les pirates sur le pont de la présence d’un navire et quelle était sa distance. On l’appelle le guetteur ou la vigie. La baleine est le mammifère marin le plus grand au monde

UE Libre Stage Professionnel RAPPORT DE STAGE : Création d’une chorégraphie de claquettes américaines destinée à figurer dans le spectacle de fin d’année de l’école de danse « ClapOlé Dance Center » | Entreprise : Iara FONSECA SCHMIDT 2ème année de Licence en Arts du Spectacle Années 2009/2010 Remerciements Je tiens à remercier tout particulièrement Mme Henriette CROUZET, ma tutrice de stage, propriétaire gérante de l’école ClapOlé Dance Center, pour son accueil chaleureux et

pour que le spectateur puisse entendre les claquettes que porte les musiciens. La lumière et le décor ont ici une importance cruciale : en effet, des danseurs habillés en balayeurs de rue dans un décor de chantier animent leurs balais et produisent une chorégraphie assortie des différents timbres que l'on peut extraire de l'ustensile en empruntant à divers styles de musique. Le corps lui-même est utilisé comme source sonore (exclamations, claquettes, pas combinés aux sons de l'accessoire).

LIM_ On vis comme des bandits Dédicace aux dealers de barettes, aux clandos qui rackettent en chausettes, claquettes les poches pleines de pépettes Tous les jours (tous les jours) c'est la fête tous les jours, tous les jours on gerbe des traitres Dédicace aux dealers de barettes, aux clandos qui rackettent en chausettes, claquettes les poches pleines de pépettes Tous les jours tous les jours c'est la fête tous les jours, tous les jours on gerbe des traitres On mène une vie de bandits (bandits)

parfois indispensable pour survivre. A Auschwitz, les chaussures n'étaient pas rares à cause de la présence d'un abondant "Canada" alimenté en chaussures par l'extermination des arrivants. Dans d'autres camps, on portait parfois des galoches ou claquettes dont la semelle seule était en bois et le dessus en cuir ou en un tissu, qui finissait par se déchirer. Certains déportés évoquent des "galoches" à semelle de bois. Ainsi Rudolf Vrba : « Ensuite, vinrent les vêtements, les tenues zébrées. Une

assayant sur un « chieu », chante en tapant sur le claquette. Plutard, on fabrique le « dan day », « dan tinh », le tambour et le flûte Pilao pour accompagner la parole. Dans une séance, il y a au moins 3 personnes : « co dau » tappe le claquette et chante, « kep » pince, « quan vien » frappe le tambour. Fait le « ca tru », c’est un fait assez difficile. Les personnes les plus intelligentes et laborieuses devraient perdre 3 ans pour se faire au claquettes et 5 ans pour chanter. Les artistes doivent observer

danses sous différents points de vus. On s’aperçoit par la suite, qu’il y a un rebord sur le devant de la scène, qui permet d’éviter que l’eau se repende de partout mais pas seulement. Effectivement, cette partie est aussi utilisée pour y faire des claquettes, sans quoi le danseur aurait glissé. Il a tout de même confié qu’il avait essayé dans l’eau pour s’amuser. Et comme l’eau est le moteur de cette pièce, on la retrouve également en projection sur les murs, notamment sur le mur droit où il y a une

représente une courtisane bourgeoise dans sa chambre qui reçoit, par l’intermédiaire d’une servante noire de peau, un bouquet de fleurs d’un de ses amants. Au premier plan, pose une femme nue portant des bijoux, le pied gauche encore chaussé d’une claquette, allongée sur un divan. Sur deux oreillers satinés, elle est accoudée sur son bras droit, la main gauche posée sur son sexe. Ses cheveux bruns attachés dégagent son visage, laissant apparaître un regard hautain porté vers le spectateur. Au plan

est une entreprise spécialisée dans la fabrication et la vente de chaussures et claquette en utilisant le cuir. L’entreprise dispose d’un seul atelier dans lequel le cuir est transformé en chaussures et claquettes. Les charges du mois de juillet de cet atelier s’élèvent à 64 000d dont 35% de charges fixes. La consommations de matière première est évaluée à 159 600d pour les chaussures et 33 120d pour les claquettes. Les charges de cet atelier sont imputées aux deux produits proportionnellement