Clarinette basse

discrètement les bois et la trompette ainsi que vers la fin les cors et un roulement de timbale. Ce développement s’achève par de longs et doux accords de l’orgue. Troisième thème : .Sur un accompagnement doux et régulier des violons, hautbois et clarinettes présentent la 3ème thème de façon calme mais rythmée. C’est une phrase binaire dont on remarquera les notes détachées. Transition : .S’ensuit une brève transition qui présente des réminiscences de motifs du troisième thème. Troisième thème

New England Conservatory, 2007 1. Check It Out ~6' 2. Pile Driver/Alarm ~4' 3. It's Been a Honeymoon-Can't Take It No Mo' ~5 4. Heartbeats ~4' 5. Heavy Smoke ~4' City Life est écrit pour deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux pianos, deux claviers à échantillons, trois ou quatre percussions, un quatuor à cordes et une contrebasse[2]. L'œuvre adopte une forme classique ABCBA chez Reich avec un premier et un dernier mouvement rapide, et un mouvement central plus

entrée dans l’orchestre « toutes sortes d'instruments à vent en cuivre et en bois, tous rutilants. Je distingue successivement un énorme tuba hélicon, un trombone, quelques trompettes, des cors à piston, des hautbois altos, des saxophones, des clarinettes et deux flûtes dont un piccolo […] une contrebasse impressionnante avec un archet glissé sous les cordes. Dans un autre, une grosse caisse avec des cymbales et une percussion avec tous les accessoires […] quelques accordéons et quelques violons

répétitive est donc aussi un retour à la musique tonale. La répétition des variations mélodiques crée un état d’envoûtement chez l’auditeur, bien que cette répétition ne soit qu’apparente. City Life est écrit pour deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux pianos, deux synthétiseurs numériques, trois (ou quatre) percussions et un quatuor à cordes. Comme plusieurs de ses oeuvres précédentes, City Life possède une structure en arche selon le schéma A- B –C- B -A. Le premier et le dernier mouvement

rapprochés, la création de déphasages - L'utilisation d'instruments de la famille des percussions L'oeuvre est jouée par un orchestre de chambre (un petit orchestre) comprenant des instruments de la famille des bois (deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes), de la famille des cordes (deux pianos, deux violons, un alto, un violoncelle et une contrebasse) et de la famille des percussions (deux vibraphones, des accessoires et percussions diverses). Ainsi que par deux claviers échantilloneurs (sampler)

du chant de Anita. Toute cette partie est chantée par les filles. 2eme partie Le chant est en alternance entre les filles et les garçons. Toutes les familles de l’orchestre symphonique sont présentes : Vents bois (Piccolo, Flûte, hautbois, clarinette, saxophone, basson), Vents cuivres (cors, trompettes, trombones), Cordes frottées (Violons, altos, violoncelles, contrebasses), Cordes pincées (guitare électrique, guitare espagnole, mandoline), Percussions (timbales, triangle, guiro, claves…).

du mouvement, jouée par la clarinette solo à découvert, dans une nuance pianissimo qui contraste avec le tutti fortissimo qui précède. Dans le Songe d'une nuit de Sabbat, on entend deux présentations de l'Idée fixe séparées par un bref tutti fortissimo. Le thème, qui est joué sur un rythme de saltarelle à la clarinette solo, avec seulement l'accompagnement rythmique des timbales. Dans la seconde présentation, l'Idée fixe est exposée en entier par la petite clarinette sur un accompagnement de hautbois

- Canon avec entrées successives des basson - violoncelles - cors - clarinettes - Sur la suite de ce canon apparaît 2 fois un contrechant (hautbois puis hautbois/petite clarinette) - Dissolution progressive se terminant par 3 accords de ré mineur. Andante - Thème 2A aux hautbois (globalement à la tierce) avec contrechant des trompettes dans l'accompagnement (Sol mineur) - Thème 2B aux petites clarinettes et bassons (La M avec degré 6 baissé d'un 1/2 ton) avec imitations aux

de lui trois portraits célèbres. 22) Cette œuvre a été composée sur un texte de Charles-Ferdinand Ramuz pour trois récitants (le Lecteur, le Soldat et le Diable) et sept instrumentistes (violon, contrebasse, basson, cornet à pistons, trombone, clarinette et percussions). L'argument de la pièce est d'inspiration faustienne mais reprend un vieux conte russe compilé par Alexandre Afanasiev : un Soldat pauvre vend son âme (représentée par le violon) au Diable contre un livre qui permet de prédire l'avenir

Honeymoon/Can’t Take it No Mo’, qui dure 5min. 4. Heartbeats/Boats&Buoys, qui dure 4min. 5. Heavy Smoke, qui dure environ 4min30s. De nombreux instruments composent cette œuvre. Il y a des instruments à vent (deux flutes, deux hautbois, et deux clarinettes), des cordes (deux pianos, deux claviers à échantillons, un quatuor à cordes, une contrebasse et deux vibraphones) et des percussions. Les sons échantillonnés joués en direct sont attachés en général à un instrument (comme les bois pour les klaxons