Claude Gueux Thèse

MERLAISON........... 300 CHAPITRE XXIII LE RENDEZ-VOUS ............................... 309 CHAPITRE XXIV LE PAVILLON ......................................... 323 CHAPITRE XXV PORTHOS ................................................. 336 CHAPITRE XXVI LA THÈSE D’ARAMIS ........................... 360 CHAPITRE XXVII LA FEMME D’ATHOS ........................... 381 CHAPITRE XXVIII RETOUR .............................................. 406 CHAPITRE XXIX LA CHASSE À L’ÉQUIPEMENT ............ 425 CHAPITRE XXX

MERLAISON........... 300 CHAPITRE XXIII LE RENDEZ-VOUS ............................... 309 CHAPITRE XXIV LE PAVILLON ......................................... 323 CHAPITRE XXV PORTHOS ................................................. 336 CHAPITRE XXVI LA THÈSE D’ARAMIS ........................... 360 CHAPITRE XXVII LA FEMME D’ATHOS ........................... 381 CHAPITRE XXVIII RETOUR .............................................. 406 CHAPITRE XXIX LA CHASSE À L’ÉQUIPEMENT ............ 425 CHAPITRE XXX

psychique d'une personne est représenté par deux existences distinctes, grâce à un état amnésique qui lui permet de se manifester sous deux formes distinctes, le plus souvent contradictoires. Ces cas de double conscience ont été observés 1 2 3 4 Claude Farrère a traité magistralement le motif du vieillissement brusque dans La maison des hommes vivants. Chez Tieck, Arnim, Brentano ce motif est traité par son côté extérieur, soit par la confusion, soit par l'identification des différents personnages

11) Quelle image Kafka nous donne-t-il de la justice ? L’énonciation dans un texte argumentatif Faire le schéma au tableau. 1 étape définition avec les élèves; importance dans l’argumentation par rapport à la défense d’une thèse (à définir avec élèves pour ce texte). 2 étape : analyse de la situation d’énonciation dans le texte. L’énonciation dans le texte d’Amin Mal ouf : le racisme expliqué à ma fille. 1 Qui parle ? Sur quel ton ?L’auteur lui-même mais il ne prend

perte de l'élection de tout le peuple, sa condamnation à l'exil perpétuel. Pour finir nous évoquerons rapidement les aspects historiques de sa thèse, d'après laquelle les juifs seraient asociaux parce qu'on les y force, et qu'ils deviendraient des citoyens actifs, lumineux et de la première utilité dès qu'on leur en donne la possibilité. Cette thèse est fausse, de son propre aveu : il fonde son affirmation, dit-il, sur l'exemple des juifs russes et roumains mais doit admettre (p. 109) [qu']"il

Bournisien n'est qu'un médiocre sans danger, excellent repoussoir pour Homais, puérilement ridicule et inoffensif, dont le péché véniel est le goût des mauvais jeux de mots. En faisant de lui un pauvre homme paisible et ridicule, Flaubert pose en thèse que la religion n'est pas un problème. Elle constitue tout au plus un avatar romantique d'Emma pseudo-mystique en sa première jeunesse et pseudo-visionnaire entre deux adultères. Le curé Bournisien ne sera dangereux que par sottise quand il se méprendra

des visites, dans des lettres bien tournées, qui ne sentaient pas la facture. Quand ils avaient, le dimanche, quelque voisin à dîner, elle trouvait moyen d’offrir un plat coquet, s’entendait à poser sur des feuilles de vigne les pyramides de reines-claudes, servait renversés les pots de confitures dans une assiette, et même elle parlait d’acheter des rince-bouche pour le dessert. Il rejaillissait de tout cela beaucoup de considération sur Bovary. Charles finissait par s’estimer davantage de ce qu’il

des visites, dans des lettres bien tournées, qui ne sentaient pas la facture. Quand ils avaient, le dimanche, quelque voisin à dîner, elle trouvait moyen d'offrir un plat coquet, s'entendait à poser sur des feuilles de vigne les pyramides de reines-claudes, servait renversés les pots de confitures dans une assiette, et même elle parlait d'acheter des rince-bouche pour le dessert. Il rejaillissait de tout cela beaucoup de considération sur Bovary. Charles finissait par s'estimer davantage de ce qu'il

visites, dans des lettres bien tournées, qui ne sentaient pas la facture. Quand ils avaient, le dimanche, quelque voisin à dîner, elle trouvait moyen d’offrir un plat coquet, s’entendait à poser sur des feuilles de vigne les pyramides de reines- claudes, servait renversés les pots de confitures dans une as– 46 – siette, et même elle parlait d’acheter des rince-bouche pour le dessert. Il rejaillissait de tout cela beaucoup de considération sur Bovary. Charles finissait par s’estimer davantage

visites, dans des lettres bien tournées qui ne sentaient pas la facture. Quand ils avaient, le dimanche, quelque voisin à dîner, elle trouvait moyen d’offrir un plat coquet, s’entendait à poser sur des feuilles de vigne les pyramides de reines-claudes, servait renversés les pots de confitures dans une assiette, et même elle parlait d’acheter des rince-bouche pour le dessert. Il rejaillissait de tout cela beaucoup de considération sur Bovary. Charles finissait par s’estimer davantage de ce qu’il