Clavecin

le frais oubli de ce qui nous exile ! Soyons deux enfants, soyons deux jeunes filles Éprises de rien et de tout étonnées Qui s'en vont pâlir sous les chastes charmilles Sans même savoir qu'elles sont pardonnées. 3 V Son joyeux, importun, d'un clavecin sonore. (Pétrus Borel) Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vaguement, Tandis qu'avec un très léger bruit d'aile Un air bien vieux, bien faible et bien charmant Rôde discret, épeuré quasiment, Par le boudoir longtemps

Ornementalité. Synesthésie nerologiquement déterminée – celle qu’éprouvent les sujets dits synetshètes – et la synesthésie artistique. La première est un fait clinique, la seconde un fait d’époque, si l’on met à part des éléments isolés, par exemple le clavecin oculaire etc. La synesthésie comme fait d’époque est portée par des poètes et des écrivains dans la seconde moitié du 19ème siècle. Rimbaud, Baudelaire, + compositeur russe : à chaque touche de son clavier, couleur. Poème symphonique. Si les synesthésies

| |Ce poème est le cinquième poème de la section des Ariettes oubliées du recueil Romances sans paroles. | |L’épigraphe est tiré de Doléance du poète romantique Pétrus Borel, pièce dans laquelle celui-ci se plaint du| |son agaçant d’un clavecin qui l’empêche de se laisser aller à la mélancolie. | |Le thème de la musique, évident dès le premier mot du texte, Le piano, est dominant tout au long du poème. | |La musique est aussi très présente dans

l’ouverture des Indes galantes ; jamais entendu chanter, Profonds Abîmes du Ténare, Nuit, éternelle Nuit, sans me dire avec douleur ; voilà ce que tu ne feras jamais. J’étais donc jaloux de mon oncle, et s’il y avait eu à sa mort, quelques belles pièces de clavecin, dans son portefeuille, je n’aurais pas balancé à rester moi, et à être lui. MOI. – S’il n’y a que cela qui vous chagrine, cela n’en vaut pas trop la peine. LUI. – Ce n’est rien. Ce sont des moments qui passent. Puis il se remettait à chanter

moderne : mélodie accompagnée, récit chanté ou récitatif, cantate, opéra, oratorio. Mais la musique instrumentale n’est pas délaissée pour autant. Les luthiers italiens apportent à la famille des violes d’ultimes perfectionnements. L’orgue et le clavecin vont connaître la plus grande faveur. Les musiciens classiques : Charpentier Marc-Antoine (1634 – 1704) : compositeur français, auteur avant tout de musique religieuse. Il collabora avec Molière. Œuvre célèbre Te Deum. (Voir Annexe) Haendel

employé qu'après sa mort. Dès l'âge de trois ans, Mozart révèle des dons prodigieux pour la musique : il a l'oreille absolue et certainement une mémoire eidétique10. Ses facultés déconcertent son entourage, et incitent son père à lui apprendre le clavecin dès sa cinquième année. Le jeune Mozart apprend par la suite le violon, l'orgue et la composition. Il sait déchiffrer une partition a prima vista et jouer en mesure avant même de savoir lire, écrire ou compter. À l'âge de six ans (1762), il compose

La seule description physique que l’on a d’elle est faite par la supérieure du couvent d’Arpajon dont on ignore le nom, cette dernière la décrit comme une très jolie fille. Elle a aussi un talent pour la musique et le champ, elle joue également du clavecin. Elle est tellement gentille qu’elle se sacrifie pour sa mère et rentre au couvent. Elle croit également en dieu, mais ne supporte pas les couvents. D’une grande naïveté elle se laisse approcher par la supérieure d’Arpajon et ce n’est qu’après un

Soyons deux enfants, soyons deux jeunes filles  Eprises de rien et de tout étonnées  Qui s'en vont pâlir sous les chastes charmilles  Sans même savoir qu'elles sont pardonnées.  Le piano que baise une main frêle Son joyeux, importun, d'un clavecin sonore.  (Petrus Borel) Le piano que baise une main frêle  Luit dans le soir rose et gris vaguement,  Tandis qu'avec un très léger bruit d'aile  Un air bien vieux, bien faible et bien charmant  Rôde discret, épeuré quasiment,  Par le boudoir

transcription pour piano Quelques œuvres illustrant cette thématique En Musique - BACH: Choral BWV 478 « Komm, SüBer Tod » - Immortal Bach: Knut NYSTEDT (compositeur norvégien 1915) - LIGETI: Lux Aeterna - LIGETI: Continuum pour clavecin - PÄRT: Miserere En Peinture, quelques tableaux illustrant La Passion du Christ : - ALDORFER Albrecht(1480-1538): La Crucifixion - ENGELBRECHT (XVIe siècle): La Passion du Christ - CAMBIASO Ottavio : St Augustin et Ste Marie

à bouleverser. Comme les auteurs romantiques, le compositeur s’inspire de ses souffrances et de ses sentiments pour composer. La musique romantique vient après la période de la musique classique et les instruments changent : le piano remplace le clavecin, le cor se développe, ainsi que d’autres instruments. Les sonorités et l’orchestration deviennent donc de plus en plus audacieuses et « colorées ». On peut écouter les différences des deux styles grâce au compositeur Ludwig van Beethoven (1770-1827)